Dix ans après la parution de « Résurrection », la première partie d’un diptyque accouché dans la douleur, voici enfin « Révélations » : conclusion du dernier récit du regretté Philippe Tome, décédé alors qu’il travaillait sur les dernières pages de son scénario. Les éditions Dupuis proposent, enfin, l’intégralité de cette aventure magistralement dessinée par Dan Verlinden, digne successeur de ses deux prédécesseurs : Luc Warnant et Bruno Gazzotti.
Lire la suite...Mireille, un hebdomadaire pour le lectorat juvénile féminin… (première partie)
Ce dossier conséquent de Michel Denni (le « D » du « BDM ») a déjà été publié en 2002 dans les n° 96 et 97 du Collectionneur de bandes dessinées. Il nous a paru opportun de le reproposer légèrement réactualisé, dans le cadre du « Coin du patrimoine » de BDzoom.com pour lui donner une nouvelle visibilité et, surtout, lui permettre d’être plus largement illustré : ceci afin que vous puissiez vous rendre compte des pages proposées alors aux jeunes filles des années cinquante et soixante par l’équipe de dessinateurs virtuoses dirigée par l’homme-orchestre de ce mythique magazine qu’était Marijac : éditeur et rédacteur en chef, il était aussi, tour à tour, scénariste, journaliste, traducteur et dessinateur.
Lorsque le n° 1 de Mireille est publié, le 1er avril 1953, quatre hebdomadaires se partagent le lectorat juvénile féminin : Fillette édité par la SPE (Société parisienne d’édition), Lisette des éditions de Montsouris, La Semaine de Suzette des éditions Gautier-Languereau et Bernadette de la Bonne Presse. Ils ont à leur actif, depuis leur reparution en 1946, déjà plus de 350 numéros.
Line (publié par les éditions du Lombard) ne naîtra que deux ans plus tard, en mars 1955 ; quant à Dimanche Fillette et Vaillante, éphémères tentatives des éditions Vaillant, il y a bien longtemps qu’elles ont disparu.
Ces quatre journaux sont, par ailleurs, les lointains héritiers de publications paraissant déjà avant la guerre (La Semaine de Suzette depuis 1905, Fillette depuis 1909, Lisette depuis 1921 et Bernadette depuis 1923).
Les jeunes lectrices les lisent donc par accoutumance familiale et tout laisse à croire qu’un magazine un peu plus moderne, plus dynamique, plus en prise sur l’actualité de ce début des années 1950, pourrait s’imposer face à des concurrents essoufflés.
C’est l’opinion de Marijac (1908-1994), patron de presse, dessinateur et scénariste, qui vient de « rebondir » en fondant les éditions de Châteaudun, à la suite du rachat de son Coq hardi (voir Coq hardi : vie et mort d’un journal [première partie] et Coq hardi : vie et mort d’un journal [deuxième partie]) par les éditions de Montsouris (1).
Il crée Mireille en ce mois d’avril 1953, mais avec prudence : mensuellement dans un premier temps, en format normal avec une première page couleurs où l’héroïne principale éponyme du titre se présente comme une fillette moderne adepte de musique, de danse et de patinage… Avant de glisser pourtant sur une peau de banane.
Dans une lettre aux lectrices, Mireille, le personnage, s’annonce aussi comme dynamique, exubérante, émotive et sentimentale : « Petite fille moderne, j’ai le respect du passé, ajoute-t-elle, mais de là à me complaire dans les lectures de mes arrière-grand-mères, il y a un monde !… » Ce n’est pas très sympathique pour les publications concurrentes évoquées plus haut, mais Marijac n’a jamais été un modèle de bonté. Il est vrai qu’on avait fait bien des misères à son Coq hardi, de saintes mains allant jusqu’à placarder des affiches à la porte des églises le dénonçant comme immoral.
LES TROIS MIREILLE
En ce premier numéro de 36 pages, dont seulement 2 en couleurs, Mireille, l’héroïne, va vivre en de courts épisodes réalistes une existence de jeune fille brune, élégante et pleine de charmes, partageant son emploi du temps entre la mode, les amitiés masculines et féminines, la scolarité et ses parents.
Cette « Mireille » est née en Espagne, sous le nom de « Florita » en 1947, dans l’hebdomadaire El Coyote. Son créateur, le Catalan Vicente Roso (1920-1996), a débuté avec « Leyendas Infantiles » dans El Castillo Maldito, en 1944.
Il est aussi l’auteur de « Pepin y Rosina » dans Topolino en Italie (en 1955), des premiers « Petits Conseils de Tante Chiffon » (rubrique didactique proposée dans Mireille à partir du n° 9 de 10 novembre 1953) et de différentes séries dont « Blondinette » (qui sera aussi traduit dans Mireille), avant d’abandonner la bande dessinée pour la peinture et l’illustration au début des années 1960.
Mais Mireille présente aussi la particularité de se dédoubler dans son propre journal. En effet, à partir de novembre 1957, alors que le personnage de Vicente Roso est toujours présent, une autre Mireille, semi-réaliste cette fois, à l’allure volontairement caricaturale, va voir le jour sous le crayon de Claude Marin (1931-2001, voir Claude Marin), scénarisée par Marijac.
Participant à des aventures policières et humoristiques, plus gamine et toute en rondeurs, elle se déplace en scooter et joue les détectives amateurs.
Créateur par ailleurs du « Père Noël » dans Coq hardi (à partir de 1950) et futur auteur des « Bébés Disney » dans Le Journal de Mickey, à partir de 1986, Claude Marin publiera aussi « Éva » dans Mireille. Nous y reviendrons.
Plus tard, alors que le journal a été racheté par Cino Del Duca, les deux premières « Mireille » vont disparaître et une troisième, très réaliste, sera animée par Jean Sidobre.
Devenue la fille d’un explorateur, elle tombera amoureuse et participera à des aventures exotiques, policières et sentimentales, en n’oubliant jamais de mettre en avant ses formes avantageuses.
Il est vrai que Jean Sidobre est l’un des futurs grands de la bande dessinée érotique !
Sous le pseudonyme de G. Lévis, il concoctera au cours des années 1970-80 d’affriolantes créatures comme Liz et Beth, Jelly Shawn et autre Dodo avec beaucoup de talent et d’humour (sur ce dessinateur né en 1924 et décédé en 1988, voir « Liz & Beth » et Bédéadult’).
ORPHELINE DU CIRQUE, FILLE AU CŒUR D’OR ET COLLÉGIENNE MODÈLE
Autre bande débutant dans le premier numéro de Mireille : « L’Orpheline du cirque » par Le Guen et Marijac. Une jeune écuyère, Marie-Christine, assiste au décès tragique de sa mère trapéziste. L’abominable directeur du Mondial Circus cherche à la persuader de reprendre le saut de la mort qui a pourtant coûté la vie à l’auteur de ses jours. Heureusement, le clown Pipo veille… Marijac (qui signe ici Jacques François) a écrit un scénario prenant avec de multiples rebondissements et Le Guen dessine honnêtement ce terrible mélodrame. Il a amorcé sa carrière en 1947-49 dans le journal O. K avec « Tangor ». À la fin de l’année 1953, il va reprendre « Nasdine Hodja » dans Vaillant et laisser « L’Orpheline du cirque » à Christian Mathelot qui continuera l’épisode jusqu’en juillet 1954, avant de réaliser une suite : « L’Étoile du cirque », entre décembre 1954 et septembre 1955, toujours aussi mélodramatique, toujours sur scénario de Marijac.
Artiste très talentueux, Christian Mathelot (voir Pour ne pas oublier Christian Mathelot) a commencé dans Gavroche dès 1940 et s’est fait connaître comme dessinateur de nombreux récits complets aux éditions Mondiales et aux éditions Marcel Daubin dans les collections Jeunesse, Prouesse et Vaillance.
Mais il est surtout l’auteur de la superbe adaptation en bandes dessinées du « Grand Cirque » de Pierre Clostermann (en 1948-1949) dans Coq hardi, hebdomadaire où il a aussi signé un épisode de « Colonel X » (en 1949) et une excellente bande de science-fiction : « Alerte à la terre » (en 1952).
À noter que « L’Orpheline du cirque » a été rééditée plus tard dans Frimousse magazine, en 1963-1964, et est disponible aujourd’hui aux éditions Taupinambour (diffusion Le Coffre à BD).
« Martine, la fille au cœur d’or » occupe 20 pages sur 36 dans ce premier numéro et va rester omniprésente dans Mireille, pendant six années.
Il s’agit de « Belinda Blue Eyes », une bande anglaise créée le 30 septembre 1935, en strips quotidiens dans le quotidien Daily Mirror, par le dessinateur Steve Dowling (1904-1986) et le scénariste Bill Connor qui signaient du pseudonyme commun Gloria.
En 1943, Tony Royle prend la relève sur le plan graphique et narratif.
Pendant la Seconde Guerre mondiale, le titre est raccourci en « Belinda » et Tony Royle s’adjoint les services scénaristiques de l’écrivain Don Freeman, jusqu’à la fin de la série, le 17 octobre 1959.
Inspirée de « Shirley Temple » et de « Little Orphan Annie », « Martine la fille au cœur d’or » conte les pérégrinations d’une jeune Anglaise blonde aux yeux bleus, accompagnée d’un fox-terrier.
Elle se laisse continuellement attendrir par les enfants ou les animaux maltraités, tout en s’opposant courageusement à des bandits ou à des policiers véreux.
Outre les trois bandes à suivre évoquées plus haut, le premier numéro de Mireille comporte aussi une histoire en une planche : « Trotinette moineau de Paris » par Claude Marin, aventures d’une jolie Parisienne qui n’auront pas de suite.
Côté rédactionnel, on rencontre le courrier aux lectrices évoqué plus haut, les débuts d’un roman western : « Plume Blanche » écrit par M.-J. Dumas (pseudonyme de Marijac, de son vrai nom Jacques Dumas), « La Vie de Suzanne Lenglen, championne de tennis à 15 ans » racontée par Louis Saurel et un petit article sur Elisabeth Taylor alors âgée de 22 ans par J. Kobel.
Au n° 3, une autre bande anglaise fait son apparition dans Mireille. Il s’agit de « Nicole Brave et cie », connue sous le nom de « Billy Brave » en Grande-Bretagne : le personnage principal est un collégien modèle, sportif et détective à l’occasion.
Il deviendra l’ami de la belle Gigfrecks (Nicole en français et l’héroïne principale dans Mireille) ce qui permettra des variations sentimentales d’une haute vertu morale.
Plusieurs épisodes de ces aventures collégiennes sont publiés ici.
Dans le premier, « Nicole et cie et les exilés de Mannington », un collège de garçons est hébergé dans un collège de filles, en tout bien tout honneur, ce qui est prétexte à des moqueries, mais aussi à des compétitions scolaires et sportives. Dans un autre il s’agit de retrouver une caméra dérobée à Nicole, dans un troisième Brave et Nicole sont soupçonnés de vol, etc.
« Billy Brave » a été créé dans Mickey Mouse Weekly en 1950, par le dessinateur Tony Weare (1912-1994) qui réalisera aussi « Pride of the Circus » (« Cirque S.O.S. » dans Mireille, en 1954 et 1955) et se fera connaître plus tard avec le célèbre « Buck John » dans Cow-Boy Comics. Le scénario est de Reg Taylor, adapté française dans Mireille de J. Dumas : encore un pseudonyme de Marijac !
Au n° 7, en septembre 1953, alors que le journal est devenu bimensuel, Marijac reçoit une proposition d’association à 50 % de Cino del Duca (1899-1967), le roi de la presse du cœur qui cherche ainsi à se dédouaner de l’accusation de corrompre la jeunesse dans ses magazines Nous Deux ou Festival (voir à ce sujet Walter Molino : un maître oublié de la bande dessinée italienne). Les négociations vont durer un an et, entre-temps, au n° 11, une nouvelle bande fait son apparition : « Angèle et Petit Charles ». Comme « Mireille », cette série est d’origine espagnole : Marijac n’hésitant pas à se rendre fréquemment à Barcelone pour prendre contact avec des dessinateurs, Catalans pour la plupart, exploités sans vergogne avec des revenus quatre fois inférieurs à ceux des Français, sans aucun droit syndical en pleine dictature franquiste. (2) Certains, d’ailleurs, viendront s’installer en France : Francisco Batet, José Ramón Larraz, Julio Ribera, etc. « Angèle et Petit Charles » (« Angelita » en Espagne) content les aventures humoristiques d’une petite fille blonde, toujours impeccablement coiffée et habillée, et de son gentil compagnon. Elles ont été créées dans Florita en 1949 par Ramon Sabatès (1915-2003), dessinateur, scénariste et peintre de talent qui a débuté en 1935, avec « Aventuras de Don Zorro » dans Mapa Mundi.
Plusieurs bandes enfantines humoristiques espagnoles vont se succéder dont « Les Aventures de Caroline » de Pili Blasco au n° 13 du 5 janvier 1954 (il s’agit, en fait d’une page de gags créée en 1949 et proposée dans Florita en Espagne, sous le titre « Aventuras de Lalita ») ou encore « Blondinette » par Vicente Roso, le créateur de « Florita » (« Mireille ») au n° 14 du janvier 1954, en dernière page couleurs. C’est un peu Mireille en blonde, mais en beaucoup plus jeune : la gamine et l’adolescente se rencontrant d’ailleurs au n° 25, dans un épisode de dessin plagié qui tourne mal. À noter aussi « Rosy » par Julio Ribera (1927), qui ne va durer que quatre numéros, d’avril à juin 1954. Le futur créateur du « Vagabond des limbes », choisissant d’émigrer en France à partir du mois de septembre suivant, reviendra dans Mireille en mai 1955 avec « Dominique et son tyran », aventures humoristiques d’une petite fille blonde et de son jeune frère gaffeur.
« Sophie » (« Little Debbie »), une autre bande enfantine humoristique, mais américaine cette fois, va débuter en juin 1954. Elle met en scène une petite fille portant couettes et jupe noire qui passe son temps à faire des farces à son entourage et particulièrement à son oncle Elm (son père dans Mireille). Il s’agit d’un strip créé en 1946 pour le Register and Tribune Syndicate par Cecil Jensen, d’abord sous le titre « Elmo », qui deviendra « Debbie » en 1949. La bande s’arrêtera en 1957 dans Mireille, mais se continuera jusqu’en 1961 aux États-Unis.
AVENTURES HÉROÏQUES AU VIETNAM, CI-DEVANT ET RÉPUBLICAINS
Alors que la première guerre d’Indochine s’achève et que l’hégémonie française au Vietnam va être remplacée par celle des États-Unis, l’héroïsme est à l’honneur en ce mois de juin 1954 où débute « Liliane hôtesse de l’air » dans Mireille. Cette honnête bande d’aventure militaire démarre au bar de l’aérodrome de Saïgon en 1954 alors que Liliane, Lili pour les intimes, va bientôt fêter son vingtième anniversaire. Il s’agit d’aller chercher des blessés dans un camp retranché assiégé par le Viet-Minh. On pense évidemment à Diên Biên Phu encerclé du 13 mars au 7 mai 1954.
Pendant trois années, cette jolie brune va se retrouver mêlée dans Mireille à des situations dramatiques en compagnie des pilotes Marc et Jacques. Les scénarios de Marijac sont suffisamment bien agencés pour passionner les jeunes lectrices et le graphisme dynamique de Christian Mathelot (1923-2013) emporte l’adhésion avec des décors particulièrement soignés.
En même temps que « Lili hôtesse de l’air », commence une excellente bande historique : « Mademoiselle Ci-devant ». Toujours sur scénario de Marijac (qui signe JacquesFrançois), il s’agit des vicissitudes d’une jeune aristocrate, Anne de La Rochejaquelein, séparée de son père général royaliste. En pleine Terreur, elle est sauvée par un jeune tambour républicain nommé Petit-Jean, puis recueillie par le conventionnel Chabot qui monte peu après sur l’échafaud en compagnie de Danton. Après bien des malheurs, elle rejoint son père à la tête de l’armée vendéenne avant qu’il ne meure au combat. Nommée chef des Compagnons de Jéhu, elle rencontre le petit tambour devenu entre-temps colonel républicain et tous deux doivent affronter Fouché et ses sbires. À nouveau séparés, ils se retrouvent enfin en Amérique, après avoir échappé aux pirates et aux Indiens et tout se terminera par un mariage à Prairies-aux-Chiens.
Noël Gloesner (1917-1995, voir Noël Gloesner), le dessinateur de ce sublime mélodrame, a débuté sa carrière aux éditions Fleurus dans le journal Fripounet et Marisette, fin 1945, avec « Les Indégonflables de Chantovent », a travaillé dans Cœurs vaillantsoù il signe Yann le Vaillant (en 1948),
et aussi dans le Pierrot des éditions de Montsouris pour « Les Compagnons de Fo-hi » (en 1951), sans oublier Coq hardioù il a participé au « Colonel X » de Marijac.
Aussi à l’aise dans le réalisme que dans l’humoristique, Gloesner est un artiste de grand talent, « mon meilleur dessinateur » disait Marijac (3), dont la virtuosité du trait se reconnaît entre tous.
À l’égal d’un René Giffey, il soigne particulièrement les décors et costumes de cette passionnante fresque historique et romantique où, dans les deux camps, chacun accepte de mourir avec panache pour ses idées. À noter qu’une reprise de « Mademoiselle Ci-devant » a été publiée dans Frimousse Magazine, dans les années 1960, ainsi que dans Jeunes Frimousses, sous le titre « Les Enfants de la tourmente », en 1985.
À suivre…
Michel DENNI (qui remercie Louis Cance)
Mise en pages, scans des documents et mise à jour du texte : Gilles Ratier
(1) Voir « Souvenirs de Marijac » aux éditions Glénat, en 1978, page 78.
(2) Voir « Souvenirs de Marijac » aux éditions Glénat, en 1978, page 57 et « Les Professionnels », bande dessinée de Carlos Giménez publiée en France aux éditions Audie (intégrale en 2012).
(3) voir la notule sur Marijac dans le n° 4 de Hop ! (1975), page 29.
FICHE SIGNALÉTIQUE
Titre : Mireille, puis Mireille le magazine de Mademoiselle, puis Mireille L’Intrépide au n° 370 du 15 septembre 1962, avant de terminer Mireille le journal des filles de mon âge.
Éditeur : éditions de Châteaudun, puis Éditions Mireille, puis Éditions mondiales.
Premier n° : n° 1 du 1er avril 1953
Dernier n° : n° 415 de septembre 1964
Numérotation : continue
Parution : mensuel, puis bimensuel au n° 7 (25-09-53), puis hebdomadaire au n° 31 (02-09-54), puis à nouveau bimensuel au n° 310, avant de terminer mensuel.
Tirage : 200 000 exemplaires en 1959
Nombre de pages : 36 du n° 1 au n° 30, 28 du n° 31 au n° 160, 36 du n° 161 au n° 172, 32 du n° 173 au n° 309, 96 du n° 310 au n° 369, 120 du n° 370 au n° 373, 96 du n° 374 au n° 397, 84 du n° 398 au n° 403, 68 au n° 404, 92 au n° 415 et dernier.
Format : 18,5 x 27 jusqu’au n° 238, puis 23,5 X 31 au n° 239, puis à nouveau 18,5 x 27 jusqu’au n° 309, 17 x 24 au n° 310, pour finir à 21,5 x 27.
Parenté : absorbe L’Intrépide 2ème série, en septembre 1962
Reliures éditeur : voir le recensement dans le B.D.M. 1997-1998
Excellente idée que la rediffusion des ces articles. Beaucoup de bédéphiles, depuis quelques années et « malgré » le support féminin, s’y intéressent et découvrent en fait un contenu de qualité produit par de grands artistes ou futurs grands artistes.
Ah, Claude Marin, par exemple.
Salut Mariano,
Si tu as dans ta collection le n° 13 de Mireille, je figure en page 2 sous le pseudo de « Coquelicot », dans un concours de ressemblance à Mireille. Marijac m’avait envoyée d’urgence chez le photographe en disant à mon père « ta fille lui ressemble un peu, coiffe-la comme Mireille et fais la vite photographier, j’en ai besoin pour une nouvelle rubrique ! »
A bient^ot.
Bisous
Chantal
Je n’ai pas. Snif !
quelqu un aurait-il à vendre le dernier numéro de Mireille soit le 415 .bonne journée à vous tous .cordialement christianstrub66@yahoo.fr