Dix ans après la parution de « Résurrection », la première partie d’un diptyque accouché dans la douleur, voici enfin « Révélations » : conclusion du dernier récit du regretté Philippe Tome, décédé alors qu’il travaillait sur les dernières pages de son scénario. Les éditions Dupuis proposent, enfin, l’intégralité de cette aventure magistralement dessinée par Dan Verlinden, digne successeur de ses deux prédécesseurs : Luc Warnant et Bruno Gazzotti.
Lire la suite...René Pellos : l’homme qui savait tout dessiner (première partie)…
René Pellos est un dessinateur inclassable, capable de tout dessiner : des coureurs du Tour de France au délirant trio des Pieds nickelés, en passant par Durga Râni (la reine de la jungle) et Monsieur Petipon, l’aviateur farfelu ; de l’adaptation rigoureuse de « La Guerre du feu » à — bien sûr ! — « Futuropolis » (sa série culte), il a brillé dans tous les genres. Dessinateur du sport qu’il a magnifié par son trait dynamique, maître en caricatures, précurseur de la BD d’anticipation et expert dans l’art du mouvement, il est aujourd’hui bien oublié.
Fils d’un père électricien, originaire de Cruseilles, et d’une mère venant de Morzine, René Pellarin — le futur Pellos —, bien que Savoyard, est né à Lyon le 22 janvier 1900.
C’est pour lui éviter le climat lyonnais trop humide pour sa santé fragile que sa famille se fixe à Mézières, en Suisse.
Tenté très tôt par le dessin, il confiera à Jean-Paul Tibéri : « Je me souviens de mon premier dessin : j’avais cinq ans. J’avais représenté des fantassins français qui, en patins sur glace, chargeaient des cavaliers dont les chevaux avaient des patins russes : c’était déjà un commencement de dessin humoristique et sportif. »
C’est avec le concours du futur cinéaste franco-américain Robert Florey — son ami de collège — qu’il crée à 16 ans Le Tas de blagues, Mille Gueules, Pilouit… : ses premiers journaux, imprimés par ses soins en hectographie.
Un travail de dingue pour réaliser les 60 exemplaires vendus dix centimes pièce. Le tirage finit par atteindre les 400 exemplaires, heureusement imprimés en lithographie.
Bravant les réticences familiales, il réalise des affiches, de la lithographie sur pierre, des vitrines de magasins… et collabore, de 1917 à 1922, au journal humoristique Le Gugusse, vendu à 18 000 exemplaires.
Sportif accompli, il pratique le rugby, le football à l’association de Varembé, à Genève, tout en collaborant comme dessinateur au bulletin Les Alpes sportives, de 1916 à 1923, puis à La Semaine sportive de Genève, en 1928.
Il effectue son service militaire en 1922, à Grenoble. Bien vite, le jeune dessinateur souhaite donner un coup de fouet à sa carrière. Il gagne Paris à la fin des années 1920, travaillant pour la publicité, les catalogues de confection…
C’est à l’occasion d’une exposition de ses dessins sportifs qu’il est remarqué par Jean de Lascoumettes, le rédacteur en chef de Match, où il entre en 1931.
Du dessin sportif à la bande dessinée
Afin de sublimer la photo, qui déjà commence à concurrencer le dessin, Pellos apporte le dynamisme : dramatisant l’événement de son trait élégant et caricaturant les sportifs sur le vif, dans l’effort, sans les ridiculiser.
Ses montagnes qui rient deviennent des références.
Lui-même sportif — il bénéficie de l’estime des champions —, il sera sélectionné aux JO d’Amsterdam en hockey sur terre, en 1928.
Il collabore à Match de 1931 à 1939 et à L’Intransigeant de 1931 à 1934, livrant couvertures, caricatures, dessins sportifs et illustrations, mais aussi ses premières bandes dessinées.
Sous forme de strips, il crée « Les Aventures de Riri, Golo et Lolo », en 1931, et surtout « Monsieur Bizut », en 1935 et 1936, dont les gags sont en rapport avec l’actualité sportive du moment.
Il est présent sur 13 Tours de France, côtoyant les grands champions qu’il croque avec passion.
Lancé en janvier 1937 par les éditions de Montsouris, l’hebdomadaire Jeunesse magazine est la suite de Guignol.
Il propose « Monsieur Petipon veut faire de l’aviation ».
Imaginée par Jean Laneuville, cette série humoristique — commencée dès le premier numéro — prend fin dans le n° 8 de 1938.
Elle a pour héros un bricoleur farfelu s’envolant pour un tour du monde, à bord d’un avion bricolé de son invention, qui le conduit en Afrique, puis au pôle Nord.
Le personnage revient dans Pierrot du n° 49 de 1939 au n° 37 de 1940.
Les pages de cette première version sont réunies en 1941 dans un album aux Éditions pour la jeunesse.
L’ensemble des pages est repris, dans une version modernisée, par la nouvelle série d’après-guerre de Pierrot, de 1955 à 1957. Cette histoire sera rééditée à faible tirage par les éditions Regards en 2004.
Présent dans Pierrot en 1939 et 1940, il propose des illustrations de nouvelles et de romans (« Vélotin le joyeux lutin », « Gigi, as du contre-espionnage »…).
Pellos est l’un des principaux collaborateurs de Jeunesse magazine, de janvier 1937 à décembre 1939.
Il signe des couvertures, des illustrations de rubriques, de nouvelles et de romans.
Outre « Monsieur Petitpon », on lui doit « Monsieur Danslalune », du n° 18 de 1938 au n° 5 de 1939, et des illustrations de nouvelles, rubriques sportives et romans (« Face à face avec les monstres », « La Guerre des forces »…).
Avant-guerre, c’est surtout dans les illustrés de la Société parisienne d’édition (SPE) qu’il confirme sa passion pour la bande dessinée.
Présent dans Junior, l’hebdomadaire au format géant dont il rêvait, il assure la mise en pages dès le premier numéro (02/04/1936), tout en illustrant des rubriques, des nouvelles, des articles sportifs… jusqu’en 1940.
C’est dans ces pages au format XXL qu’il crée son chef-d’œuvre : « Futuropolis », dont les 56 planches sont publiées du n° 54 (08/04/1937) au n° 110 (05/05/1938).
Impressionné par le film « Metropolis » de Fritz Lang, il imagine ce récit de science-fiction au trait réaliste et aux textes — hélas ! — parfois un peu envahissants, confiés à Martial Cendres : l’un des pseudonymes de l’écrivain René Thévenin.
Dans un monde futuriste en déclin où règnent les Maîtres, Raô tombe amoureux de la belle primitive Iaona.
Cet hymne à la nature est proposé pour la première fois en album par les éditions Glénat en 1977, réédité avec jaquette en 1999.
« Futuropolis » terminé, toujours dans un style réaliste, il crée, dans le n° 126 (25/09/1938), « Jean-Jacques Ardent, athlète » : unesérie sportive imaginée par Pierre Fallot (1909–1976), laquelle prend fin dans le n° 183 (02/11/1939). Un second épisode, « Jean-Jacques Ardent à la guerre », écrit par RoDaly, paraît du n° 189 au n° 219 (06/06/1940). Cette série est rééditée à faible tirage par les éditions Regards en 1996. On lui doit aussi des illustrations de nouvelles, ainsi que l’animation du supplément Junior sport en 1940 et du roman « Le Solitaire du Grand Nord ».
Pour L’Épatant (deuxième série), il adapte en 1939, du n° 93 au n° 104 et dernier, « Les Cinq Sous de Lavarède » : un film à succès avec Fernandel d’après le roman de Paul d’Ivoi. Inachevée dans cet hebdomadaire, la conclusion est présentée dans L’As, du n° 127 au n° 155. Cette histoire est éditée en album par l’éditeur Angoulême CRD en 1982, puis par les éditions Regards en 2001.
Toujours avant-guerre, il illustre — de 1936 à 1938 — « Mâli l’hippopotame » dans Paris-soir dimanche, des récits pour enfants d’Henry Clérisse qui lui permettent d’offrir une nouvelle facette de son talent.
Deux albums sont publiés, sous les titres « Mâli le jeune » et « L’Opéra de Mâli » (en 1936), par la Nouvelle Collection d’auteurs français, réédités à Alger par Charlot (en 1948), puis par les Amis de Pellos (en 1991) et les éditions Regards (en 2009).
Apprécié par les enfants, ce personnage a été décliné en album à colorier.
Sa notoriété au sein de Match lui ouvre les pages de nombreux journaux où il publie des dessins, dans tous les genres : L’Auto de 1932 à 1941, Sporting de 1936 à 1938, Le Petit Parisien de 1937 à 1940, Le Hérisson de 1936 à 1947, Marius de 1938 à 1949, Pour vous de 1933 à 1946, Le Figaro illustré, Mon Programme…
Infatigable et passionné par son métier, il travaille jusqu’à 14 heures par jour.
Ses dessins sont exposés aux Humoristes, à Satire 35, aux Humoristes sportifs et à Humour 41-42.
Ses principaux employeurs, les frères Offenstadt, juifs, devant quitter Paris avec l’arrivée de l’occupant allemand, ils lui règlent les sommes qu’ils lui doivent : « Ils furent bien les seuls à avoir ce geste qui les honore », confiera-t-il plus tard.
Démobilisé en 1940, René Pellos s’installe à Lyon, où il occupe le poste d’administrateur de l’hebdomadaire Compagnon. La zone Sud à son tour occupée, il trouve refuge en Haute-Savoie où il travaille au commissariat des sports, tout en sculptant et découpant des jouets en bois et aidant au passage des clandestins. Il signe des dessins dans Compagnons, Sport-La Vie au grand air… Il travaille pour Le Journal de Toto, où il dessine « Boule de Neige, tirailleur sénégalais » (du n° 156 au n° 170) en 1940 – un scénario de RoDaly, réédité par l’association Regards, en 1999 -,
pour Jumbo où il anime « Kosto Kid » et des illustrations pour la rubrique sportive de Georges Briquet en 1941 et 1942, Le Journal de Mickey avec de nouveaux strips de « Bizut sportif » de 1941 à 1943…
Enfin, pour Robinson, il propose les aventures sportives de « Compagnon Michel » du n° 295 au n° 395 de 1942 à 1944, mais aussi des récits plus courts : « Aventures sous l’équateur », « Le Justicier du ciel »… Michel est un adolescent vivant dans les Alpes, passionné par la montagne, qu’il parcourt en long et en large,croisant la route de personnages inquiétants et découvrant de mystérieux trésors. Ces pages sont réunies dans des albums aux tirages limités par les éditions Regards en 1992.
Signalons — pour terminer — « Électropolis », saga de science-fiction prometteuse, mais inachevée, dont seulement quelques pages sont parues dans Jean-Pierre du n° 106 au n° 115 en 1940.
Retour à la SPE
La guerre terminée, les éditeurs de journaux n’ont pas oublié René Pellos qui est sollicité de toute part.
Entre la reprise de ses collaborations passées et les nouvelles propositions, il est présent dans de nombreux journaux ou albums illustrés pour enfants (comme « Hoppy la nmarmotte » aux éditions Mythra, en 1945).
Fidèle à la SPE, il retrouve avec plaisir la famille Offenstadt, de retour dans ses locaux de la rue de Dunkerque, non loin de la gare du Nord.
Présent dès le no 24 (19/12/1946) de la nouvelle série de Fillette (1), il illustre « Durga-Râni, reine des jungles » : un interminable roman de Jean Sylvère (encore un pseudonyme de Robert Thévenin).
Les aventures de ce Tarzan au féminin se poursuivent jusqu’au n° 383 (19/11/1953).
Proposée sous forme de bande dessinée, avec le texte placé sous les images, l’histoire se termine en simple texte illustré.
Pellos, qui propose de nombreuses couvertures, campe une jolie brune au corps musclé de sportive, vêtue d’une peau de bête : « J’ai beaucoup aimé faire “Durga Râni”. Cette série m’a plu parce que j’aimais beaucoup Kipling ! Il y avait des animaux et une femme qui me plaisait, parce que je voyais un peu ma femme à travers l’héroïne. »
Trois albums souples sont publiés par la SPE au milieu des années 1950, réédités en deux albums par les éditions SERG en 1976, puis (à faible tirage) par les éditions Les Amis de Pellos de 1992 à 1994 ; enfin, deux autres albums sont publiés par les éditions Regards en 2003.
Pour l’éphémère retour de Junior en janvier 1947, Pellos livre des illustrations et deux courtes BD réalistes : « Les Missions du capitaine Bruce », écrites par Jean Vexin, puis Henri d’Alzon, du n° 1 au n° 22, et « Patrice Ducrocq, champion sportif », du n° 18 au n° 27 et dernier (31/07/1947). Réédition a été faite de ces deux récits en un album à petit tirage par les éditions Regards en 1998.
Sous-titré Journal des Pieds nickelés, L’Épatant (2) ressort dans une formule mensuelle de 34 numéros, de juillet 1948 à avril 1951.
Les lecteurs découvrent dans le premier numéro le retour des « Pieds nickelés » sous le crayon de René Pellos.
Dans un premier temps, la série est proposée avec le texte placé sous les images, puis avec des bulles. « C’est Georges Offenstadt qui m’a demandé de reprendre cette bande. C’était vraiment un ami pour moi. Il avait suivi tout ce que j’avais fait avant-guerre, “Futuropolis”, “Jean-Jacques Ardent”… et après-guerre il a voulu reformer l’équipe. J’ai une série à vous proposer, m’a-t-il dit, ce sont “Les Pieds nickelés”. (3)
Ma première réaction a tout de suite été négative. Tout simplement parce que je n’avais jamais aimé le dessin de Forton, pas plus que ses histoires et, de plus, bien que travaillant pour la SPE, je n’avais jamais connu Forton. J’ai fini par accepter, parce qu’à cette époque-là il y avait une censure qui démolissait le style Forton. On ne pouvait plus faire du Forton, il était interdit de faire du Forton, il était interdit de faire une littérature grossière, de faire des dessins grossiers… Georges Offenstadt m’a dit : “Alors, là, faites-les comme vous voudrez”, et comme cela ça m’intéressait… Si vous avez suivi mes “Pieds nickelés”, il y a quatre ou cinq styles différents. J’ai voulu faire des personnages plus typiques que chez Forton. C’est pour cela que mes héros sont devenus trois personnages différents. Je crois que c’est aussi plus facile pour les textes ; du reste, les premiers temps, c’est moi aussi qui faisais les scénarios. »
Apparus sous le crayon de Louis Forton dans L’Épatant en 1908, poursuivis à sa mort par Aristide Perré, puis A. G. Badert, « Les Pieds nickelés » se sont retirés en 1940 pour cause de guerre. Ils reviennent avec l’épisode « Les Pieds nickelés font fortune », dont le scénario est attribué à Lortac (Robert Collard, 1884–1973).
Avec l’album n° 12 des Beaux Albums de la jeunesse joyeuse, le trio est de retour, et pour longtemps. Sous le crayon de René Pellos, Ribouldingue, Croquignol et Filochard retrouvent le succès de leurs débuts, mieux ils le dépassent. La série se poursuit dans les 32 numéros de l’hebdomadaire L’Épatant, publiés d’avril à novembre 1951.
Pellos trouve le temps de réaliser des histoires complètes réalistes : « La Vipère de nuit », « La Tête et les Muscles », « Un Combat dramatique », « Le Bateau fou »…
Il faut attendre 1955 pour retrouver le trio dans le mensuel Pschitt aventures/Joyeuses lectures, dont 93 numéros sont proposés de mars 1956 à septembre 1964 ; les derniers numéros devenant Pschitt junior.
Le magazine poursuit sa route mensuelle sous le titre Le Journal des Pieds nickelés de 1964 à 1976, puis enfin Trio jusqu’en 1979.
Pellos et ses fameux personnages sont présents dans tous les numéros de ces journaux aux nombreuses formules.
Ils sont aussi les héros de plus de 4 000 strips quotidiens destinés à la presse de 1954 à 1968 : Le Populaire du Centre, La République du Centre, L’Yonne républicaine, Le Bien public, L’Éclair, L’Aurore, Le Parisien… et le mensuel Sport mondial, du n° 1 au n° 15 en 1956 et 1957.
Majoritairement écrites par le juge de paix et auteur de polars Montaubert (Pierre Colin, 1913–1983), mais aussi par Lortac, Janoti (Jean-Paul Tibéri, 1942), Raymond Maric (Raymond Chiavarino, 1927–2005)…, ces histoires de 44 pages sont issues des épisodes publiés par les journaux, mais aussi de strips remontés, et enfin d’inédits pour les derniers.
Pellos a signé 97 albums de 44 pages de la collection des Beaux Albums de la jeunesse joyeuse, de 1948 à 1981, jusqu’à l’album n° 114 intitulé « Les Pieds nickelés banquiers ».
Pellos signe encore l’album n° 120 en 1988 (« Les Pieds Nickelés contre la pollution »), où Pellos abandonne ses personnages.
De nombreux dessinateurs tentent de poursuivre la série, sans succès, écrasés par la puissance du trait de Pellos : Jean-Louis Pesch, Jacques Laval, Jika (Jacques Kalaydjian), Gen-Clo (Claude Chebille), André Manguin, Michel Rodrigue, Stéphane Oiry, Gérald Forton…
Certains épisodes sont remontés au format poche de 1964 à 1969.
Quelques histoires non reprises dans ces albums sont éditées à faible tirage par les éditions Regards/Les Amis de Pellos — une société sans but lucratif animée par Jean-Paul Tibéri —, dans sept albums, entre 1995 et 2000.
Une intégrale des « Pieds nickelés » de Pellos en 32 volumes est proposée par les éditions Vents d’ouest, de 1989 à 1993.
Une autre intégrale en huit volumes est éditée par Rombaldi, de 1990 à 1993.
Notons la publication d’épisodes inédits dans Les Pieds nickelés magazine, en 1972 et 1973.
À suivre ici René Pellos : l’homme qui savait tout dessiner (seconde partie)….
Henri FILIPPINI
Relecture, corrections, rajouts, compléments d’information et mise en pages : Gilles RATIER
Merci à Fred Fabre et Gwenaël Jacquet pour leurs divers coups de main.
(1) Sur Fillette, voir sur BDzoom : Fillette avant-guerre : 1909-1942 [première partie], Fillette avant-guerre : 1909-1942 [deuxième partie], Fillette avant-guerre : 1909-1942 [troisième et dernière partie], Fillette après-guerre, première série : 1946-1953 (1re partie), Fillette après-guerre, première série : 1946-1953 (2e partie), Fillette, suite et fin : 1954-1964 (première partie) et Fillette, suite et fin : 1954-1964 (deuxième partie).
(2) Sur L’Épatant, voir sur BDzoom : L’Épatant d’avant-guerre (première série 1908-1937) : première partie, L’Épatant d’avant-guerre (première série 1908-1937) : deuxième partie,
L’Épatant d’avant-guerre (première série 1908-1937) : troisième partie, L’Épatant d’avant-guerre (première série 1908-1937) : quatrième partie, L’Épatant d’avant-guerre (première série 1908-1937) : cinquième partie, L’Épatant d’avant-guerre (première série 1908-1937) : sixième partie, L’Épatant d’avant-guerre (deuxième série 1937-1939) : septième partie, L’Épatant d’avant-guerre (deuxième série 1937-1939) : huitième et dernière partie et L’Épatant d’après-guerre (1re série).
(3) Sur « Les Pieds nickelés », voir sur BDzoom : Les Pieds nickelés ont 100 ans !, Les 100 ans des Pieds niickelés, Les nouveaux Pieds nickelés, Les Pieds nickelés… repartent du bon pied !, Inusables Pieds nickelés……
Merci pour cet article et de remettre un projecteur sur ce dessinateur de génie. Peut-être lui a-t-il manqué un scénariste de génie pour sortir de sa confidentialité éditoriale.
bonjour ;
PELLOS , un de mes déssinateur préféré de tout les temps ;
un bel ouvrage de luxe serait le bienvenu ;
Merci bea
Il y a eu un petit bug. J’avais commencé à écrire un remerciement pour ce bel article. Quel plaisir de revoir tous ces dessins de Pellos.