Dix ans après la parution de « Résurrection », la première partie d’un diptyque accouché dans la douleur, voici enfin « Révélations » : conclusion du dernier récit du regretté Philippe Tome, décédé alors qu’il travaillait sur les dernières pages de son scénario. Les éditions Dupuis proposent, enfin, l’intégralité de cette aventure magistralement dessinée par Dan Verlinden, digne successeur de ses deux prédécesseurs : Luc Warnant et Bruno Gazzotti.
Lire la suite...UN MUSEE ANGELO DI MARCO A TROYES !
En effet samedi 10 octobre 2004, il sera inauguré, à 17 h,.par le maire François Barroin le Musée du fait divers et de la presse Angelo Di Marco à Troyes
La rédaction de www.bdzoom.com vous renra compte de cette manifetation.
DI MARCO, Angelo
France
1927 à Paris
D’origine italienne, Di Marco débute dans la bande dessinée avec Le Mystère de la tête couronnée dans Ce Soir (1950). Il publie ensuite Capitaine Ardant dans Bravo !, puis dans Le Parisien libéré (1951), quotidien où il conçoit aussi Catamount au début des années soixante. Il signe Amande fille de Paris en 1955 dans Radar où il dessine par ailleurs d’angoissantes pages réalistes au lavis dans le style du Journal des Voyages de la fin du XIXème siècle.
Pour la presse des jeunes, il reprend Rock l’invincible dans L’Intrépide 2e série (1960-1961), dans Hurrah, puis Mireille (1962). Pour ce dernier magazine, il publie aussi à partir de 1958 : Jenny. Davy Crockett et l’Eau qui brûle. Cet épisode de Davy Crockett sera suivi des Aventures de Jenny, fille de Davy Crockett, une intéressante tentative de féminisation du western. Il travaille à la même époque dans Télé 7 Jours avec Ivanhoé (1960), Télé-Poche avec Le Petit Shérif (1964) et Les Trois Mousquetaires.
En 1972, Di Marco reprend Janique Aimée dans Le Parisien, L’Union et L’Écho du Centre. Il signe quelques épisodes de Nasdine Hodja dans Pif-Gadget (1969-1972) et crée Arthur et Stéphane dans Triolo en 1989. Sur un scénario de Claude Moliterni, il dessine K 2000 publié chez Dargaud.Chez Claude Lefrancq, il conçoit Yankee (1991).En 2004, il illustre le CD Allo Police en présentant quatre pièces radiophoniques programmées sur RTL écrites par Claude Moliterni.
Auteur dans Paris-Jour des premiers portraits-robots en 1960, il se fait connaître dans les années 80 comme dessinateur érotique sous le pseudonyme d’Arcor, notamment dans « Bédé Adult » avec en 1996 une version coquine de Pot Bouille d’après Emile Zola.
Talentueux illustrateur protéiforme, Di Marco a exposé une partie de ses dessins au lavis au musée Galliera, à Paris, en 1990. MD
Bonjour,
Je suis à la recherche de la bd des trois mousquetaires dessinée par Angello di Marco. (télépoche année 70).
Vous serait-il possible de me faire savoir si elle est sortie en livre et où l’obtenir ?
Je vous remercie par avance de votre réponse.
Bien cordialement
Bonjour Marie-Christine !
Comme vous pouvez le lire dans l’article suivant (Angelo Di Marco : disparition du roi des reporters-dessinateurs !), cette adaptation d’Alexandre Dumas sur trois cent cinquante-sept pages a seulement fait l’objet d’une partition dans l’hebdomadaire de télévision Télé poche.
Cela ne va pas être simple d’en trouver l’intégralité !
Bon courage quand même dans vos recherches…
Bien cordialement !
Gilles Ratier