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L’Épatant d’avant-guerre (première série 1908-1937) : deuxième partie

Deuxième partie d’un long article de Michel Denni sur le magazine L’Épatant publié, à l’origine (sans les illustrations), dans la revue spécialisée Le Collectionneur de bandes dessinées, du n° 101 daté du printemps 2004 au n° 104 daté du printemps 2005. On y parle de Louis Forton, André Galland, Georges Bigot, Lucien de Beauvais, P. Silva, Tybalt… Des dessinateurs bien oubliés aujourd’hui… Pour consulter la première partie, cliquez ici : L’Épatant d’avant-guerre (première série 1908-1937) : première partie.

L’Épatant d’avant-guerre (première série 1908-1937) : première partie

Première partie d’un long article de Michel Denni sur le magazine L’Épatant publié, à l’origine (sans les illustrations), dans la revue spécialisée Le Collectionneur de bandes dessinées, du n° 101 daté du printemps 2004 au n° 104 daté du printemps 2005. On y parle de Louis Forton, Albert Lanmour, Thomen, André Vallet, Marcel Arnac, E. Nicolson, Harry Gonel… Des dessinateurs bien oubliés aujourd’hui…

Johnny Red vole sur Stalingrad…

Le label Delirium continue son travail d’exhumation de classiques de la bande dessinée anglo-saxonne en publiant le troisième et dernier tome d’un récit de guerre publié à l’origine dans la revue anglaise Battle Action, en 1977. (1) L’occasion de conclure la partie sûrement la plus attrayante d’une série forte, précédemment présentée sur ce site, et se déroulant à cette occasion sur le front russe de Stalingrad. En effet, seuls les premiers épisodes dessinés par Joe Colquhoun sont ici rassemblés.

Les grands auteurs de la bande dessinée européenne, premier chapitre. Les origines : caricatures et histoires en images…

Cette série d’articles a pour but de proposer une chronologie illustrée de la bande dessinée européenne, complétée par une bibliographie en langue française — tendant à l’exhaustivité — sur la période et les auteurs concernés : un recensement destiné à tous ceux qui veulent en savoir plus sur l’histoire du 9e art européen. Malgré tout le soin que nous avons pu apporter à ce travail minutieux, nous avons peut-être omis tels ou tels ouvrages, œuvres et créateurs qui ont marqué leur époque : merci d’avance de nous signaler tout ce qui vous semble être un oubli ou une erreur de notre part.

Chouchou : un hebdo XXL !

Le jeudi 12 novembre 1964, les lecteurs de bandes dessinées sont à la fête. Ces heureux veinards ont la surprise de découvrir, chez leurs marchands de journaux, un nouveau magazine (le plus souvent plié en deux) : Chouchou. Huit pages XXL (un format géant de 40 x 55 cm, celui des quotidiens de l’époque) tout en couleurs, pour 1 franc !

« Le Passeur » par Hermann et Yves H.

Mais où s’arrêtera Hermann ? Depuis le Grand Prix obtenu en janvier 2016 pour l’ensemble de son oeuvre, l’infatigable auteur de « Bernard Prince » et « Comanche » a déjà bouclé deux autres tomes et débuté un « Jeremiah » pas comme les autres consacré à la jeunesse de Kurdy ! Autour de ces nouveautés, c’est une foule de rééditions qui viendra également satisfaire la passion des bédéphiles, lesquels pourront admirer en 2017 l’exposition angoumoisine consacrée à ce géant du 9ème art. Dans le one-shot proposé ce mois-ci, Hermann et son fils Yves H. étendent encore les frontières de l’univers post-apocalyptique de Jeremiah : épuisé mais déterminé à franchir la frontière en quête d’un hypothétique paradis, un couple va pénétrer dans le territoire cauchemardesque du « Passeur »…

« 13/11 : reconstitution d’un attentat, Paris 13 novembre 2015 » par Luc Brahy et Anne Giudicelli

Un an après les sanglants attentats parisiens du 13 novembre 2015, documentaires et ouvrages commencent à revenir en détails sur l’effroyable soirée, livrant de nouveaux témoignages des victimes ou de nouvelles réflexions sur les enjeux sociaux-politiques de la tragédie. Avec « 13/11 », Anne Giudicelli (spécialiste du monde arabo-musulman et directrice du cabinet de conseil Terrorisc) et Luc Brahy (« Imago Mundi » ou « Cognac » avec Corbeyran) reconstituent, heure par heure et image par image, les différentes séquences des attentats. Sous tension, leur album (dont la trame se déroule jusqu’au 18 novembre) se base notamment sur des confidences exclusives, recueillies par la scénariste auprès des services de renseignement français et étrangers.

Antonio Hernández Palacios

Les éditions du Long Bec, sises à Strasbourg et éditant, jusqu’à présent, quelques bandes dessinées de factures plutôt classiques — dont des scénarios pour la plupart dus au local Roger Seiter —, ont eu la bonne idée de proposer une imposante intégrale des aventures de Manos Kelly : un western superbement illustré par l’artiste espagnol Antonio Hernández Palacios. Comme le galeriste Daniel Maghen vient, en plus, de consacrer (c’était jusqu’au 8 octobre !) une exposition à ce dessinateur qui fait partie des plus brillants de l’école hispanique, nous nous sommes dit qu’il était temps de revenir sur sa riche carrière !

« Guiby T3 : Double face-à-face » par Sampar

La nuit, quand les gens dorment, un monde s’agite dans l’ombre des bas-fonds de la ville. Une bande de chats mafieux, des meutes de rats sur deux pattes et de surprenantes créatures monstrueuses s’affrontent, alors, dans de sombres rues et de dangereux égouts. Seul, Guiby, un courageux petit garçon de 3/4 ans, part à l’aventure dans cet univers inconnu où le danger se cache à chaque recoin. Un périlleux récit initiatique venu du Québec.

« Sambre T1 : Plus ne m’est rien… » par Yslaire et Balac : analyse de planche

Devenu éditeur à partir de 1972, le grenoblois Jacques Glénat compose dans les années 1980 et 1990 un exceptionnel catalogue appuyé sur un genre en vogue, celui de la bande dessinée historique, bientôt complété par la puissance et le dynamisme du manga (« Akira » en 1990). Prépublié à partir du 1er juin 1985 dans le 86e numéro du mensuel Circus (les séries phares étant replacées dans le nouveau magazine Vécu dès janvier 1985), « Sambre T1 : Plus ne m’est rien… » rejoint d’emblée les plus grandes séries Glénat : citons en particulier ce quatuor composé par « Les Passagers du vent » (François Bourgeon, 1979), « Les 7 Vies de l’épervier » (Patrick Cothias et André Juillard, 1983), « Les Tours de Bois-Maury » (Hermann, 1984) et « Les Chemins de Malefosse » (Bardet et Dermaut,). Retour cette semaine sur une 17e planche de « Sambre » particulièrement sombre et intrigante…

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