Les westerns de Christian Rossi (première partie)

Entre fantastique et psychanalyse, le sixième opus de « W.E.S.T », aux éditions Dargaud, marque, somptueusement, la fin du troisième diptyque de cette paranormale série western, située au début du XXe siècle : une véritable leçon de scénario (Xavier Dorison et Fabien Nury sont vraiment bluffant sur cette histoire où Morton Chapel tente de chasser le démon qui possède sa fille Megan, alors qu’une partie de son équipe va obéir aux ordres du président Roosevelt : le tuer !), mais aussi de dessin !

En effet, Christian Rossi y est, plus que jamais, au sommet de son art : son trait ayant atteint la perfection, réussissant l’osmose entre mouvement et élégance, et même entre réalisme et expérimentation !

Bien entendu, nous allons en profiter pour revenir sur la carrière de cet extraordinaire dessinateur (1) qui a dû attendre cette série, créée pour les albums des éditions Dargaud (en août 2003), pour obtenir, enfin, la reconnaissance publique et le succès qui lui étaient dus : en effet, Christian Rossi a dû galérer pas mal dans le milieu de la bande dessinée avant d’être, aujourd’hui, consacré. Il a toutefois réussi à se forger son propre style, en se débarrassant de ses influences premières : comme celle, manifeste, de Jean Giraud ! Par ailleurs, ce dessinateur prolifique est l’auteur de nombreuses séries, publiées chez divers éditeurs. C’est aussi, pour nous, l’occasion de ressortir une ancienne et émouvante interview que nous avions réalisée, pendant le dix-huitième salon international de la bande dessinée d’Angoulême, pour le n° 50 de Hop ! (numéro paru au troisième trimestre 1991 et complètement épuisé, aujourd’hui)

Christian Rossi est né le 31 décembre 1954 à Saint Denis et commence très tôt à savoir tenir un crayon : « J’ai commencé à dessiner vers l’âge de cinq ans et j’ai découvert la bande dessinée un an après ! J’ai une mémoire des dates assez bizarre, mais dans l’idée, c’est ça! J’avais flashé sur un vieil album de « Tarzan » dessiné par Burne Hogarth que ma mère avait acheté. Le contenu représentait Tarzan avec des requins et ça m’avait impressionné. Cela devait correspondre à un appel érotique ou à un truc dans le même genre. Toujours est-il que c’est à partir de ce moment que je me suis mis à réaliser des petites bandes dessinées.

J’ai continué, ainsi, jusqu’à l’âge de quatorze ans où je me suis présenté à Pilote avec un petit recueil dessiné au format d’un pocket. Évidemment, c’était un western : je venais de tomber sur « Tonnerre à l’Ouest » et ce « Blueberry » m’avait liquéfié… À Pilote, j’ai rencontré Gérard Pradal (le grand de la rédaction, celui qui n’était jamais cadré dans les bandes dessinées où il apparaissait) et j’ai même vu René Goscinny, en coup de vent ! Bref, j’étais au maximum de mon émotion et Pradal m’a sorti des planches originales qui étaient dans un format gigantesque : pour moi c’était une révélation ! ! Je me souviens d’avoir vu une gouache de Jean Giraud pour « Le Général Tête Jaune » : c’était des cavaliers en ligne dans la neige et qui se faisaient face. Je ne l’ai jamais vu publiée ! Je suis revenu la semaine suivante avec une planche de mon western en grand format, mais là Pradal m’a éconduit assez vite. ».

Le jeune dessinateur poursuit alors ses études à l’école Estienne, d’où il sort diplômé d’un B.T.S. d’expression visuelle. « Mes parents s’inquiétant pour mon avenir professionnel, je me suis décidé à suivre des cours de dessin! J’ai fait l’école Estienne qui est, contrairement à ce qu’on croît ou à ce qu’on dit, une école des arts et industries graphiques. J’en suis sorti avec un C.A.P. de photograveur et un brevet de technicien supérieur en publicité. J’y suis resté six ans et j’ai appris des tas de trucs qui me servent encore, mais je n’ai jamais exercé les métiers pour lesquels j’ai suivi cet enseignement technique. ».

Cette période correspond à sa première publication dans l’hebdomadaire Formule 1 des éditions Fleurus (un descendant de Cœurs vaillants et ancêtre de Triolo) : « La Contre-preuve », trois pages scénarisées par Jean-Marie Pélaprat (alias Guy Hempay), dans le n° 26 du 27 juin 1973 : « Je devais avoir dix-sept ans et j’étais sur un petit nuage. Je me rappelle avoir fait la moitié des pages chez Marc Malès, un copain que je connais depuis l’enfance. Je dessinais en grand, sur du bristol, cela avait une certaine pêche, et puis surtout j’y croyais! Il ne s’agissait pas, hélas, d’un western ! Je ne voyais que par « Blueberry » : mon rêve secret était de rencontrer Jean Giraud, ce qui a été différé pendant des années puisque, finalement, je ne l’ai vu qu’en 1987 : comme quoi, tout arrive ! ».

Cependant, il s’est alors passé un certain temps avant que Christian Rossi ne soit, de nouveau, publié : « À Estienne, j’ai fait trois ans d’apprentissage, en publicité, qui m’ont éloigné de la bande dessinée. Parallèlement, j’allais chez Jijé (Joseph Gillain) pour faire du croquis et j’y apprenais la richesse du dessin. Il m’avait déclaré : « Vous êtes habile comme un singe, mais vous ne ferez jamais de bande dessinée, car vous n’êtes pas assez rigoureux ! ». Je dessinais avec plaisir mais il fallait apprendre tellement de choses pour arriver à faire une bonne bande que j’ai un peu laissé tomber. Et puis, je commençais à m’orienter vers le  » rough  » : l’exécution de croquis, de mise en place pour la publicité : cela me correspondait bien ! J’étais vraiment taillé pour ça et, en plus, c’était bien payé ! J’avais pourtant pris contact avec Philippe Manoeuvre aux Humanoïdes associés et, après mon service militaire en 1977, je me suis remis à mes premières amours, dans une optique plus professionnelle. Du coup, j’avais perdu ma candeur et ma pêche et cela n’intéressait plus les gens de Métal hurlant : J’ai alors répondu à une petite annonce qui demandait un dessinateur réaliste : c’était signé Didier Convard, mais ce nom m’était étranger. Je suis donc allé voir ce type avec mon dossier et il a été impressionné. Il m’a présenté aux gens de Twin Cam qui éditaient une revue, Plein Pot, et j’ai recommencé pour de bon, cette fois-ci, à faire de la bande dessinée. ».

Pour la première série de Plein Pot, Christian Rossi va dessiner « Alec vous salue bien » (onze pages intitulées « Le Jour du saigneur » et publiées dans les n° 7, 8 et 9, entre décembre 1977 et mars 1978, et dont les neuf dernières seront reprises dans les n° 1 à 3 de la deuxième série, de décembre 1978 à février 1979, avec onze planches supplémentaires et un épisode inédit de trois planches au n° 2 : « Les Camisards »), sur scénarios d’un certain J.P. Lennon : « Il s’agissait de Jean-Pierre Liot, l’un des quatre associés de Twin Cam, qui signait Lennon par admiration pour ce Beatles. Il y a eu des dissensions dans leur organisation et j’ai eu l’impression d’être un peu évincé ; c’est d’ailleurs Roland Gremet qui m’a succédé sur « Alec ». J’ai alors proposé un western : « Tim O’Callaghan » ; mais comme il fallait la présence des motos, j’ai remplacé les chevaux par des bécanes ! Je prenais un plaisir fou, mais cela n’a pas du tout été compris par le lectorat motard : il devait y avoir trop de  » private-joke « . En fait, j’espérais, en secret, que Giraud lirait ça ! ».

Il y eu en tout trois aventures de Tim O’Callaghan (de quatre ou six planches chacune) publiées dans la deuxième série de Plein Pot, du n° 4 de mars 1979 au n° 6 de mai 1979, mais un épisode de six planches (« Alors la poudre parla ») resta inédit pendant des années, avant qu’il ne soit publiés dans le n° 50 de Hop !, en noir et blanc !!! Cependant, ce ne furent pas les seules bandes que réalisa Christian Rossi pour les gens de Twin Cam : « En 1978, la France était qualifiée pour la Coupe du Monde de football, en Argentine : c’était la grande percée de l’équipe française dirigée par Michel Hidalgo. Les Twin Cam étaient en train de déposer le bilan mais ils se sont trouvés en relation avec le milieu du foot et avec Hidalgo. Ils ont pris leur équipe de dessineux (Érik Arnoux, Christian Debarre alias Bar2, Claude Goherel…), à laquelle j’ai fait entrer Marc Malès, pour créer une sorte de mensuel qui n’a duré que le temps de cinq numéros : Les Aventures de l’équipe de France
Le but était de faire du blé afin de remonter Plein Pot. J’y faisais les couvertures, des histoires vécues, je crayonnais certaines planches encrées par Gohérel, etc. Ces éditeurs avaient aussi essayé de faire paraître un trimestriel avec des reprises d’« Isabelle Fantouri », la série publiée dans Djin, l’hebdomadaire pour les filles de chez Fleurus, et qui était dessinée, à quatre mains, par André Juillard et Didier Convard : c’était pour cela que ce dernier était dans le coup ! Pour eux, j’ai également illustré des pubs et un disque en couleurs directes ; les chansons étaient d’Éric Charden [il s'agit de « L'opéra vert ou les fantastiques aventures de Spax et Aldemar », un disque Philips de 1979] !!! Cela m’avait beaucoup plu à réaliser, mais j’ai dû négocier bec et ongles pour me faire payer !
Il faut dire qu’à cette époque, je ne mangeais qu’une fois par jour ! Après le disque, j’ai même dessiné du «
Scouby-Doo » (ou initialement « Scoubidou » dans sa déclinaison française), comme Érik Arnoux d’ailleurs ! J’en ai dessiné huit pages (publiée dans le n° 2 de Télé Bédé, en novembre 1978, scénario de Rémy) qui ne correspondaient pas du tout à ce qu’ils voulaient, mais à un prix défiant toute concurrence ! Je me suis alors fait interpeller, avec raison, par un syndicat parce que je cassais les prix. Ils étaient marrants… J’avais besoin de bouffer ! Je ne faisais plus de pub et la bande dessinée, ça ne payait pas… ».

Pourtant, tout en reprenant contact avec les éditions Fleurus (il se retrouve alors au sommaire d’Historiques, éphémère mensuel didactique où il illustre « Valdivia le conquistador », au n° 6 de l’été 1980, puis de Djin, leur hebdomadaire destiné aux jeunes filles, avec « Les Aventures de Claire » : deux histoires de quarante-quatre planches scénarisées par l’omniprésent Guy Hempay), Christian Rossi se retrouve embauché par les éditions Glénat (dans Circus, puis dans Gomme !, avec un autre western atypique : « Le Chariot de Thespis ») : « En 1979, j’ai démarché à Angoulême et je me suis retrouvé en train de réaliser trois séries en même temps ! J’ai rencontré Henri Filippini qui avait remarqué mes travaux dans Plein Pot et qui cherchait un dessinateur pour son « Frédéric Joubert ». J’ai vu aussi Robert Gigi qui m’a présenté au scénariste Jean Sanitas avec qui j’allais faire « Le Maraudeur » dans Le Journal de Captain Fulgur-Albator (du franga ou manfra avant l’heure : quarante-six planches, dont les dix premières ont été publiées aux n° 10 et 11 de décembre 1980 et janvier 1981, pour un album chez Dargaud, en 1981)…

« Puis, les gens de chez Fleurus m’ont proposé « Les Aventures de Claire » qui devaient, à l’origine, être dessinées par André Juillard et Didier Convard (ceux-ci étaient partis, en claquant la porte, pour une histoire de fric ! ). J’ai dû faire soixante planches en deux mois, dont la moitié en couleurs directes : je ne sais pas comment je faisais ! Pendant ce temps-là, Filippini découpait huit pages le week-end, un peu en dilettante, et me filait le résultat en début de semaine. J’étais fort marri de voir ce « Frédéric Joubert » paraître en album : je trouvais que cela me desservait car ce n’était pas mûr ; mais, en même temps, j’étais heureux de pouvoir travailler. Au fur et à mesure, j’ai mis des distances dans nos rapports : il y a eu un froid entre nous mais, maintenant, ça va beaucoup mieux. Et puis, j’ai quand même appris des trucs : j’avais rencontré Michel Rouge qui venait de collaborer à « La Longue marche » (un épisode de « Blueberry ») avec Giraud. Il m’a encré des parties de cases dans les dernières pages du premier « Chariot de Thespis » et j’ai vu, sur mes dessins, un encrage au pinceau tel que j’en rêvais ! J’ai pigé le truc en deux ou trois jours et j’ai réinvesti ce travail, sur le trait, dans le troisième « Frédéric Joubert ». J’avais senti l’ombre du maître à travers le travail de Michel et c’était une bouffée de joie de vivre. Je crois que cela correspondait aussi à une sortie de tunnel, à un moment où j’ai pris des résolutions sur le plan affectif. ».

Christian Rossi réalise aussi de nombreuses illustrations ou planches didactiques pour des livres de cours et cahiers d’exercices suédois pour apprendre le français (« C’est la vie » en 1979 ou « Tour de France » de 1984 à 1986, aux éditions Läromedel).
Dans le même genre, il illustrera, dans un but uniquement lucratif (c’est-à-dire sans aucune conviction religieuse), plusieurs petites publications catholiques distribuées dans les églises, entre 1984 et 1987, comme celles de la collection Ça fait Tilt aux éditions Droguet & Ardent et Le Rameau : « C’était une période où la qualité n’était pas au rendez-vous, mais je n’en étais pas le seul responsable : en ce qui concernait « Les Aventures de Claire », par exemple, j’avais investi beaucoup de documentation et je faisais les couleurs la nuit, mais la photogravure était lamentable. Seul le texte sortait net car il était sur calque, comme l’on fait pour les couleurs directes. J’étais effaré devant ce résultat ! J’avais pourtant pris contact avec Yves Chagnaud (le frère de Jean-Jacques) qui m’avait fait une partie de ces couleurs ainsi que celles du « Maraudeur ».


Mais ces déconvenues m’ont permis d’apprendre mon métier. À l’époque, il y avait encore des magazines et j’ai fait comme mes aînés, les Bourgeon, Mézières et autres Giraud qui ont, eux aussi, travaillé chez Fleurus : j’étais payé à la pige et j’alignais des pages et des pages avant d’avoir un travail passable. Mon style était plein de hachures en relation avec des déboires affectifs et familiaux : un type qui travaille chez lui et qui ne peut pas se défaire de sa planche à dessin finit par sacrifier sa vie de famille ; j’ai rencontré beaucoup de dessinateurs dans ce cas-là !
».

Pour le mensuel Circus des éditions Glénat (2) (qui a pré-publié les trois longues aventures du chauffeur de taxi « Frédéric Joubert », lesquelles seront reprises en albums de 1981 à 1983), notre dessinateur livre également un récit complet de quatre pages dont il écrit le scénario (« Le Bossu », paru au n° HS4 de 1982 et repris dans le n° 104HS de décembre 1986)et se fait embarquer dans l’aventure Gomme ! : un mensuel qui fût publié de novembre 1981 à janvier 1984 et qui était censé être destiné à de plus jeunes lecteurs que ceux qui achetaient Circus.

Toujours pour cet éditeur, il illustrera un roman policier (« Faut pas croire tout ce qu’on raconte » de Philippe A. Novo (pseudonyme de Philippe Vandooren), dans la collection Train d’enfer, en 1980) et réalisera également, pour leur filiale Glénat Concept, quelques pages de publicité : « Pour Gomme ! (puis pour Circus), Filippini me propose d’animer un western : enfin ! Ce sera « Le Chariot de Thespis » (3) que je crée avec Philippe Bonifay : un copain dont le nom n’apparaît pas sur la couverture du premier album, d’un commun accord.

Il n’était pas du tout dans la bande dessinée, mais cela l’amusait de voir ça de près. C’est lui qui a eu l’idée de ce chariot de comédiens. Le chariot de Thespis, qu’évoquait Jean-Michel Charlier dans « L’Homme au poing d’acier » (page 3, case 3 de cet épisode de « Blueberry »), reste une énigme pour ceux qui n’ont pas lu « Le Capitaine Fracasse » ! C’est donc la carriole des comédiens ambulants. Dans la BD, on a à faire à beaucoup d’inculture, je m’en suis rendu compte en évoquant « Léa » (le premier tome des « Errances de Julius Antoine ») : on me citait Hitchcock alors que je parlais de Nabokov ! On avait du mal à se comprendre. Bon ! Bonifay sera quand même crédité pour un court épisode paru dans un numéro spécial de Gomme ! : il avait entièrement découpé le scénario, comme lorsqu’il a repris la série au tome 3. J’avais scénarisé le tome 2, tout seul, car j’avais besoin de savoir où j’en étais de mes talents de conteur… J’en ai d’ailleurs tiré les conséquences puisque je l’ai sollicité pour le troisième ! Je ne me revendique pas auteur complet ! L’auteur qui fait son truc tout seul, c’est certainement super ; mais Giraud était un auteur quand il faisait « Blueberry » avec Charlier : cela me semble tellement évident !

Si j’étais simplement un bon dessinateur de bandes dessinées, cela serait déjà beaucoup ! L’auteur, c’est la formule qu’utilisent certains éditeurs pour mieux nous flatter… Ceci dit, je comprends que l’on ait envie de tout contrôler seul ; mais ce n’est pas une tare que d’illustrer les scénarios des autres ! C’est difficile de se battre sur plusieurs fronts : l’histoire, la construction, la narration, la mise en images, la couleur, etc. N’en jetez plus ! Moi je suis un boulimique, je travaille vite, je pallie ainsi à mon angoisse ; quand le scénario est pré-découpé, je n’illustre pas automatiquement le découpage que l’on me présente : Pierre Makyo en a fait les frais, par exemple, sur « Le Cycle des deux horizons » chez Delcourt. Je crée les séquences pour servir le récit, je me sers des trouvailles des scénaristes comme d’un marchepied pour faire émerger mes images. Ce qui m’intéresse, dans la collaboration, c’est le plan affectif. Je dessine seul et répugne à travailler en studio. Il faut alors que je rompe le silence grâce à une collaboration… ».

À suivre…

Gilles RATIER

(1) Pour tout savoir sur Christian Rossi, on peut aussi consulter Circus n° 88 et n° 119, Bulles dingues n° 18, La Lettre de Dargaud n° 17, n° 30, n° 73 et n° 91, Auracan n° 15, Rêve-en-Bulles n° 14, DBD n° 11, Bo Doï n° 55, n° 73 et n° 114, Swof (HS) n° 2, Bandes dessinée magazine n° 6, CaseMate n° 15 et n° 25, dBD (nouvelle formule) n° 33 et On a marché sur la bulle n° 20.

(2) Ce qui veulent plus de détails sur les publications de Christian Rossi dans les magazines des éditions Glénat peuvent se reporter au n° 50 de Hop ! ou au site bdoubliees.com.

(3) Une intégrale des quatre albums du « Chariot de Thespis » est disponible, en petit format, aux éditions Glénat, depuis septembre 2009. Hélas, elle ne contient pas les illustrations, les jeux et les strips-annonce que Christian Rossi a réalisés pour cette série et qui ont été publiées dans Gomme !, ni l’histoire « La Leçon d’Hermès » : trois pages proposées dans le premier hors série de ce mensuel, en août 1982 ! Ne reculant toujours devant rien, bdzoom.com vous les reproduit ci-dessous !

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