Jean Ray/John Flanders, scénariste de bandes dessinées (3/3)

Voici la troisième et dernière partie de cet article qui évoque l’activité peu connue de scénariste de bande dessinée du romancier Jean Ray/John Flanders, de son vrai nom Jean Raymond Marie de Kremer, entre 1947 et 1952 : un dossier riche en découvertes de toutes sortes, même pour les historiens les plus pointus du 9e art…

        4/ Les années Averbode : Zonneland et Petits Belges (1948-1952)

Quelques collaborateurs d’Averbode : 1/ Jean Ray – 2/ Albert Van Hageland – 3/ Renaat Demoen.

             En 1948, Jean Ray interrompt sa collaboration avec Buth sur la série « Thomas Pips ». Si on évoque souvent une collaboration difficile, comme nous l’avons vu dans notre deuxième partie, les deux hommes ne se sont pas pour autant séparés par désaccord.

Le père Pierre Jean De Smet

Dans une vision globale de tous les scénarios réalisés par Jean Ray, on constate que ce dernier a relativement bien géré son travail et alterné ses collaborations avec différents dessinateurs. Ainsi, après les quatre aventures de Thomas Pips, Jean Ray retrouve à nouveau son ami Renaat Demoen pour la biographie en bandes dessinées du père Pierre De Smet.

Ce missionnaire belge fut un interlocuteur important entre différentes tribus d’indiens d’Amérique et entre les indiens et le gouvernement américain, lors de la conquête de l’Ouest. « De Zwarte veroveraar » – « Le Conquérant noir », qui paraît aux éditions Averbode simultanément, en néerlandais dans la revue Zonneland et en français dans la revue Petits Belges en 1948 et 1949, fait donc référence à ce personnage surnommé « Robe-noire » par les indiens.

Le scénario, qui se contente d’énumérer les grandes actions du père De Smet auprès des indiens, nous présente aussi, en arrière-plan, un personnage typiquement ‘rayen’ de justicier solitaire : le Djibenö.

Rencontre avec le Djibenö.

Anonyme, masqué et habillé de noir, il sauve le père De Smet, tel un « ange noir ». C’est le genre de personnage que l’on croise assez souvent dans l’œuvre de Jean Ray. Derrière ce justicier mystérieux, ce héros modèle, on distingue un caractère religieux, une « main de Dieu » qui sauve celui qui fait le bien : le message passe très bien.

Planche 23 du « Conquérant noir ».

            Le dessin de Demoen, avouons-le, est assez mauvais. Un trait rapide, peu précis, peu descriptif et des personnages comme taillés dans la pierre, font que le rythme visuel en reste assez lent. Le scénario, basé sur la vie de De Smet, donne heureusement du rythme de part les nombreuses actions du missionnaire.

La couverture de « De Zwarte eiland » (« L'Île noire ») par Renaat Demoen – 1948.

Demoen fait publier en parallèle, dans les mêmes revues, « Les aventures de Johnny et Annie », dont il réalise lui-même le scénario, proposant là un dessin  plus travaillé et un découpage plus maîtrisé. On doit pouvoir attribuer la faiblesse du dessin du « Conquérant » à la surcharge de travail de Demoen ou, peut-être, à une désynchronisation entre le scénariste et le dessinateur ; ce dernier se contentant de suivre à la lettre le script de Jean Ray, et non d’enjoliver la description, peut-être faute de temps.

            Il s’agit de la seule bande dessinée que Jean Ray réalisera avec Demoen ; toutefois, leur collaboration continue en arrière-plan avec de nombreuses et somptueuses illustrations que Demoen  réalise – et il était très doué pour cela – pour illustrer des contes ou des couvertures d’ouvrages de Jean Ray.

  • « De Zwarte veroveraar » – « Le Conquérant noir ». 42 planches couleurs dans ZonnelandPetits Belges du 06/06/1948 au 03/04/1949. (Signé : J. Flanders) [Rééd. en album – N&B - De Dageraad -  1978]

             Une histoire à peine finie, une autre commence. Jean Ray continue son rôle de scénariste, et retrouve Buth – ce qui montre que l’entente était toujours là – pour un tout autre genre d’histoires. « Op zoek naar de zonne-eilanden » – « Vers les îles du soleil » – est construit avec les ingrédients suivants : deux orphelins (Doudou et Léna),  un trésor caché, un bateau n’ayant jamais navigué, un robot humanoïde, des monstres marins, un secret de famille et une galerie de personnages typiques.

Première planche de « Vers les îles du soleil ».

Tout cela est agencé avec des raccourcis scénaristiques improbables, des coïncidences et des faits incroyables, et surtout un charme immortel. Malgré les personnages caricaturaux que l’on croisent et le déroulement saccadé de l’histoire, on reste toutefois captivé à la lecture du récit ; le contexte d’époque avec ces références évidentes aux aventures de Tintin, qui n’est pas loin, vont faire de vous un(e) jeune « de 7 à 77 ans ». Il est certain que le lecteur de Jean Ray y retrouve tout son univers tel qu’il a pu le croiser une dizaine d’années auparavant dans ses récits destinés à la jeunesse. Jean Ray n’oublie pas dans quelle revue paraît « Vers les îles du soleil », ce qui lui impose parfois des rappels aux bons sentiments et à la foi qu’il doit communiquer à ses lecteurs.

Un message important à faire passer au jeune lecteur.

            Le style de Buth reste toujours assez figé. Les cases semblent parfois être des captures aléatoires d’images d’un film ; il y a des manques certains, mais le lecteur les comble rapidement.

            Le scénario nous emmène en mer et nous fait finalement débarquer sur une île. C’est là la fin de l’histoire et un petit bandeau informatif nous annonce que la suite de l’aventure nous sera « peut-être » racontée plus tard. Malheureusement, même si le scénario de cette suite en a été complètement écrit par Jean Ray, les dessins ne seront jamais réalisés. Pour quelle raison ? Nous ne le savons pas.

Un robot rencontre un "Capitaine Haddock" ?

Buth continuait en même temps, de son côté, ses aventures de Thomas Pips. Jean Ray a donc travaillé seul sur la suite du scénario, attendant un éventuel nouveau dessinateur.

  • « Op zoek naar de zonne-eilanden : de wondere avonturen van de « Zeester » » – « Vers les îles du soleil : les aventures de « L’étoile de mer » ». 50 planches couleurs dans ZonnelandPetits Belges du 17/04/1949 au 26/03/1950. (Signé : J. Flanders)
  • « Op zoek naar de zonne-eilanden » (suite). Scénario tapuscrit de 46 pages. Inédit.

Antoon Herckenrath.

             Le dernier épisode de « Vers les îles du soleil » paraît le 26 mars 1950 et, la semaine suivante, dans Zonneland et Petits Belges paraît « In de greep van den octopus » – « Le Secret de l’octopus », une nouvelle bande dessinée scénarisée par Jean Ray qui s’associe, pour l’occasion, à un nouveau dessinateur : Antoon Herckenrath.

Né à Anvers le 20 février 1907, il y meurt le 12 octobre 1977. Herckenrath est issu de l’Académie d’Anvers, où étudia Bob de Moor et, plus tôt, un certain Vincent van Gogh. Il y a principalement étudié diverses techniques de gravure. Il devient rapidement célèbre de part son style basé sur le contraste noir/blanc et voit ses œuvres exposées dès 1936. Ses thèmes de prédilection seront le folklore, les légendes flamandes et la souffrance humaine. Outre ses nombreuses illustrations pour revues et livres, on lui doit aussi beaucoup d’ex-libris. Il débute sa carrière d’illustrateur au journal Ons Land en tant qu’assistant sur des strips et bandes dessinées de Pink (Eugeen Hermans), le premier dessinateur flamand ayant intégré des bulles dans ses bandes dessinées. Après-guerre, il est embauché par les éditions Averbode, où il fera de la mise en page et remplacera Renaat Demoen pour illustrer les couvertures des Vlaamsche Filmkens. On trouve notre lien avec Jean Ray.

Le bandeau-titre.

Un autre "Capitaine Haddock" ?

Le récit « In de greep van den octopus »  est construit sur le même modèle que « Vers les îles du soleil », à savoir qu’on y retrouve presque les mêmes ingrédients : deux orphelins (Dan et Mary), un bateau, un secret de famille, des monstres marins (beaucoup), une île et des personnages haut en couleur (un prêtre, un détective, un domestique ancien marin, des créanciers, un mystérieux méchant, un saint…). On retrouve ainsi beaucoup de facettes et sujets chers à Jean Ray, avec des pointes de « Malpertuis », de « Harry Dickson » et des Presto-Films et Vlaamsche Filmkens. L’histoire est ici complète. On peut même se demander si ce n’est pas une réécriture de « Op zoek naar de zonne-eilanden », mais en plus adulte, avec des idées scénaristiques parfois extravagantes. Ici aussi, la linéarité et la logique de l’histoire sont absentes, dans le seul but de donner un maximum d’évènements et d’emmener le (jeune) lecteur le plus loin possible et le pari est gagné.

            Côté dessin, Herckenrath présente un style qu’il a du mal à gérer, alternant de superbes images à d’autres inquiétantes de naïveté. On croit parfois lire une bande dessinée de fanzine scolaire et, à la page suivante, on découvre un style fin et précis, presque parfait, pour ensuite retomber sur des cases aux perspectives moyenâgeuses… Autre caractéristique, beaucoup de bulles de texte sont inversées (dans le sens où vous devez d’abord lire celle d’en bas avant celle du dessus), créant parfois une certaine confusion dans les dialogues.

Les surprises: des bulles inversées et de superbes dessins.

            Il découle de cette association histoire-dessin, un charme certain et de grandes surprises. Tout comme dans une boîte de chocolats, vous ne savez pas sur quoi vous allez tomber en tournant la page.

Un style qui fait parfois peur...

  • « In de greep van den octopus » – « Le Secret de l’octopus ». 56 planches couleurs dans Zonneland – Petits Belges du 02/04/1950 au 29/04/1951. (Anonyme)

             Petite pause de quelques semaines.

            Jean Ray reprend son rôle de scénariste de bandes dessinées en juin 1951, d’une part avec son retour sur « Thomas Pips » dans deux nouvelles histoires (évoquées dans la 2ème partie) et, d’autre part, en s’associant avec un nouveau dessinateur, Gray Croucher,  pour une série de trois histoires mettant en scène des animaux.

Le style très "Disney" mais superbe, de Croucher.

            Gray Croucher (Lionel Graham Croucher), né en 1920 à Porsmouth en Angleterre, arrive sur le continent lors du débarquement en Normandie.  Il rencontre sa future femme à Bruges en Belgique, où ils s’installent. En 1949, il devient dessinateur pour les éditions Averbode. Il est l’auteur de plusieurs séries de strips parfois scénarisées par Nonkel Fons (Daniel de Kesel), mais aussi de trois histoires écrites par Jean Ray : « De Verloste stad » – « La Cité délivrée », « Het Spookeiland » – « L’Île au mystère », « Het Vliegend konijntje » – « Le Lapin volant ».

Dernière planche de « La Cité délivrée » (ici en noir et blanc).

Couverture de l'album - 1952.

Ces trois récits vont paraître simultanément dans Zonneland et Petits Belges, l’un après l’autre, et vont rapidement attirer le lecteur qui retrouve, dans le style Croucher, celui des dessins issus des studios Disney. Les scénarios restent totalement hors cadre de l’univers de Jean Ray et s’adressent à un lectorat plus jeune que les précédents. Simplicité et bonheur, quelque peu perturbés par un problème loin d’être insurmontable, seront donc vite retrouvés. On est vraiment dans l’univers de Disney. Jean Ray aura vraisemblablement accepté ces scénarios pour raisons financières, préférant concentrer sa créativité sur les histoires de Thomas Pips.

            De ces trois histoires animalières, seule « Het Spookeiland » aura droit à une sortie en album, uniquement en néerlandais. Très rare sur le marché de l’occasion, il vous faudra débourser plusieurs centaines d’euros pour l’acquérir.

  • « De Verloste stad » – « La Cité délivrée ». 18 planches couleurs dans Zonneland – Petits Belges du 24/06/1951 au 21/10/1951. (Signé : John Flanders)
  • « Het Spookeiland » – « L’Île au mystère ». 30 planches couleurs dans Zonneland – Petits Belges du 28/10/1951 au 18/05/1952, et en album en fin d’année. (Signé : J. Flanders)
  • « Het Vliegend konijntje » – « Le Lapin volant ». 13 planches couleurs dans Zonneland – Petits Belgesdu 01/06/1952 au 24/08/1952. (Signé : John Flanders).

    Henri Clément, dit Rik.

                      Jean Ray réalisera un dernier scénario en 1952, avec le dessinateur Rik.

            Henri Clément, qui signera du pseudonyme de Rik ou Ric, est né le 24 décembre 1920 à Sint-Amandsberg, en Belgique. Après des études de peinture et d’architecture, il devient illustrateur puis intégrera le monde du journalisme et de l’édition, illustrant à l’occasion ses propres articles. Dans les années 50, il réalise quelques bandes dessinées, dont « Het Vuur van St. Elmus », sur un scénario, mais surtout une demande,  de Jean Ray qui voulait que ce soit Rik qui l’illustre. Les deux hommes se sont rencontrés à Averbode et deviendront bons amis. Rik avouera que sa carrière de dessinateur de BD a été lancée grâce à Jean Ray.

Illustration de Rik pour un conte de Jean Ray.

« Het Vuur van St. Elmus » – « Les Feux Saint-Elme »,  sous-titré :  légende écossaise, est un récit fantastique qui évoque un pacte diabolique et le phénomène électrique que certains marins ont pu observer en haut de leur mât de bateau. Jean Ray l’a utilisé quelques fois dans des nouvelles fantastiques. Concernant la présentation, on retrouve la méthode ancienne : des images surmontant un texte descriptif.

Premier album de « Dees Dubble » chez l'éditeur Het Volk.

Le dessin de Rik, en noir et blanc, est sobre, mais très expressif. On sent que les mots du scénariste sont bien traduits par le dessinateur. Constat que l’on pourra encore faire avec les nombreuses illustrations de Rik pour les contes de Jean Ray, où le dessinateur transpose admirablement en quelques coups de crayon l’univers ‘rayen’.

            Lancé par Jean Ray, Rik adopte la bande dessinée ; et sous la signature de Rik Leeman, il lancera son propre héros : « Dees Dubble », en 1955.

  • « Het Vuur van St. Elmus » – « Les Feux Saint-Elme ». 13 planches N&B dans ‘t Kapoentje du 20/11/1952 au 12/02/1953 et dans Le Petit Luron du 21/08/1954 au 13/11/1954. (Signé : John Flanders).

Jean Ray a écrit quelques scénarios qui ne seront pas mis en dessins, adaptant parfois ses propres nouvelles, ou empruntant les personnages de Demoen : Johnny et Annie (et on se pose la question du rôle éventuel de Jean Ray dans ces aventures). De tous les scénarios qu’il a écrits, un seul le sera en français : « Face aux Fantômes ! », sous-titré : « une aventure du célèbre navigateur anglais Matthew Flinders ». Le tapuscrit de 6 pages comporte quelques notes pour le dessinateur en fin de récit. C’est Rik qui avait ce scénario dans ses archives. Devait-il le réaliser ? Il ne l’a pourtant pas fait avant sa mort en 2008, alors qu’il adaptera en bandes dessinées plusieurs nouvelles de Jean Ray dans les années 80.

Dernière page du scénario de « Face aux Fantômes », avec indications pour le dessinateur .

  Conclusion: La période de scénariste de bandes dessinées de Jean Ray – celle que l’on connaît, car nous ne sommes pas à l’abri de découvrir de nouveaux travaux insoupçonnés – se concentre principalement entre 1947 et 1952. Cinq années durant lesquelles les scénarios se succéderont sans réel temps mort. Si Jean Ray fait paraître durant cette période quelques romans, principalement aux éditions Averbode, il continue sa recherche de supports pour y faire publier ses écrits. Nouvelles, articles, chroniques, sont largement distribués.

La machine à écrire de Jean Ray.

Il s’adapte aux supports, retouchant des nouvelles pour les faire paraître dans une autre revue destinée à un autre public ; il se traduit lui-même pour publier alternativement dans des revues néerlandaises/françaises ; il est sur tous les fronts, il fait feu de tout bois. Il était presque logique qu’en côtoyant le milieu de la presse pour jeunes, il rencontre la bande dessinée et donc se (re)lance plus sérieusement dans le scénario. Une corde de plus à son arc = un peu plus d’argent pour vivre.

            Si Buth ou Rik sont (encore) connus de nos jours en Belgique, ils le doivent à ce scénariste. Cet homme qui, pour vivre de sa seule arme : sa « plume », a dû vendre son âme à sa machine. Une vieille Underwood, qui a vu passer un nombre effrayant de textes : on dénombre à ce jour pas moins de 1500 textes de fiction et près de 5000 articles/chroniques. On doit y ajouter une vingtaine de scénarios de bandes dessinées.

« De Zwarte veroveraar » - De Dageraad (1978).

 Précisions :

- Nous avons choisi, tout au long de ces 3 articles, de ne créditer que le nom de Jean Ray, et non celui de John Flanders. Certains scénarios n’ont jamais été signés, d’autres l’ont été « J. Flanders ». Aussi, nous avons opté pour le nom générique de Jean Ray, définissant l’homme derrière la plume et non le signataire. Rappelons que le choix de la signature qu’utilisait Jean Raymond Marie de Kremer pour ses écrits était basé sur le support dans lequel allait être publié le récit en question. Le schéma courant, qui veut que les romans destinés à la jeunesse étaient signés « John Flanders » et ceux destinés aux moins jeunes « Jean Ray », est faux. Des récits comme « La Ruelle ténébreuse » ou « Le Psautier de Mayence » ont été publiés pour la première fois sous la signature de John Flanders.

- Nous avons abordé ici uniquement les travaux scénaristiques de Jean Ray et les strips et/ou bandes dessinées qui en ont découlé. Il s’agissait d’un travail d’équipe avec un scénario voué à être dessiné. De nombreuses nouvelles ont fait l’objet d’illustrations, ou de mise en bandes dessinées, sans que l’auteur ait travaillé son texte dans ce but. Ces derniers cas n’ont donc pas été évoqués.

 Bibliographie sélective :

  • Sur Jean Ray/John Flanders et les scénarios de bandes dessinées en général :

-    « Jean Ray/John Flanders en het stripverhaal » de Jozef Peeters – Lobergen 2 (1997).

-    « Het Dossier Averbode » de Danny De Laet, in « De Zwarte veroveraar » – De Dageraad (1978).

-    « Jean Ray et ses dessinateurs » de Thierry Martens, in Le Collectionneur de bandes dessinées n°95 (Hiver 2001).

-    « JR/JF, scénariste de BD » de Francis Goidts et André Verbrugghen, in Les Dossiers de Phénix n°3 – « Jean Ray/John Flanders » – CLE (1995).

9e Art : les cahiers du musée de la bande dessinée n°9 (octobre 2003).

  • Sur Frits van den Berghe en particulier :

-    « Les Bandes dessinées de Frits Van den Berghe » d’Erwin Dejasse, in 9e Art : les cahiers du musée de la bande dessinée n°9 (octobre 2003).

-    « Frits van den Berghe » Piet Boyens – SDZ (1999).

  • Sur Jean Ray/John Flanders :

-   « Jean Ray, l’alchimie du mystère » Arnaud Huftier – Encrage (2010).

Nous vous invitons par ailleurs à visiter le site de l’Amicale Jean Ray : http://www.jeanray.be/

Mes sincères remerciements à André Verbrugghen, Jean Depelley, Gilles Ratier et Jean Ray.

 Hervé LOUINET

Pour les précédentes parties, cliquez ici :

Jean Ray / John Flanders scénariste de bandes dessinées (1/3)

 Jean Ray/John Flanders, scénariste de bandes dessinées (2/3)

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