Quel plaisir, après des années et des années de chroniques sur les nouvelles parutions concernant le 9e art, de continuer à découvrir des auteurs prometteurs qui, d’emblée, semblent vraiment maîtriser les codes narratifs et graphiques de la bande dessinée ! C’est d’autant plus méritoire quand il s’agit d’un premier album en ce domaine : ce qui est le cas de Pierre Alexandrine avec son « Amourante ». Ce dense ouvrage de 230 pages, édité chez Glénat, nous propose un voyage aussi palpitant qu’amusant à travers les époques et les lieux, en remettant en question notre obsession tout à fait compréhensible de plaire perpétuellement et de ne pas mourir…
Lire la suite...Premières éditions avec suppléments
Avis ou rappel aux collectionneurs avisés. Quelques collectors que posséderont les détenteurs des premières éditions suivantes :
Premières éditions avec suppléments …
Avis ou rappel aux collectionneurs avisés. Quelques collectors que posséderont les détenteurs des premières éditions suivantes :
- « La marque du diable », premier tome du Scorpion, signé Marini et Desberg (Dargaud) contient un cahier graphique de huit pages comprenant esquisses et dessins préparatoires.
- Chez Delcourt, « Deus ex Machina », 5ème volume de Carmen Mc Callum, dévoile les éléments du dossier Earp dans un document exclusif consacré à ce criminel aux travers de coupures de presses datant des années 2046-2053 !. Dans Horologium 5, « Le grand rouage », un « répertoire machinique » de huit pages supplémentaires recense les plus étonnantes créations des inventeurs de la ville-machine .Le second tome de Koblenz, de Thierry Robin, possède également un cahier de 8 pages de repérages graphiques.
- « Déogratias », de Stassen, publié chez Aire Libre Dupuis bénéficie du traditionnel dossier de l’album, comme dans toutes les autres publications de cette collection.