Guy Lefranc est de retour, pour une aventure très lointaine, périlleuse et aux enjeux politiques : ce qui n’est pas la première fois. Naturellement, cette régate lui réserve de graves imprévus et, tout aussi certainement, le journaliste déploiera tout son courage et sa compétence pour sortir par le haut de la situation. Il se joint à Théa, une bonne amie — sans qu’une relation plus intime soit même suggérée — pour faire partie d’une des équipes concourant lors de cette course maritime autour du globe. Et le reportage qu’il en tirera sera destiné à son journal : Le Globe, justement. Pesant sur ce contexte, le père de Théa (Van Toor) est un homme d’affaires international qui vend du minerai et le fait convoyer en Indonésie. Tous les protagonistes vont converger vers cette zone sensible, indépendante depuis peu, et très convoitée. Un album d’une excellente équipe d’auteurs, à l’action soutenue, et à lire au premier degré.
Lire la suite...Frank Margerin illustre Les Szgaboonistes

Le célèbre auteur de « Lucien » a dessiné la pochette de l’album « Les Szgaboonistes chantent Ferrat », qui vient de sortir.
Après avoir fait « la fête à Ferrat » sur de très nombreuses scènes françaises, le groupe français engagé, adepte du cocktail musical Musette, Punk et Manouche a enregistré à sa sauce atomique une compilation de 14 titres du célèbre auteur-compositeur-interprète français décédé en 2010, parmi lesquels « Ma môme », « Que serais-je sans toi », « Potemkine » ou encore « Camarade ». Le groupe est composé de John Szgabounian, dit le Szgab, au chant et à l’accordéon bi-atomique, François Hégron, aux guitares, Ghali Hadefi à la contrebasse et aux choeurs et Meivelyan Jacquot, à la batterie, aux percussions et aux choeurs.
Laurent TURPIN