Quel plaisir, après des années et des années de chroniques sur les nouvelles parutions concernant le 9e art, de continuer à découvrir des auteurs prometteurs qui, d’emblée, semblent vraiment maîtriser les codes narratifs et graphiques de la bande dessinée ! C’est d’autant plus méritoire quand il s’agit d’un premier album en ce domaine : ce qui est le cas de Pierre Alexandrine avec son « Amourante ». Ce dense ouvrage de 230 pages, édité chez Glénat, nous propose un voyage aussi palpitant qu’amusant à travers les époques et les lieux, en remettant en question notre obsession tout à fait compréhensible de plaire perpétuellement et de ne pas mourir…
Lire la suite...NOUVELLE AFFICHE POUR ANGOULEME
La Charente libre dévoile le nouveau projet d’affiche pour le 34° Salon de la BD
« Je ne suis pas Don Quichotte, je ne me battrais pas contre des moulins à vent. Je n’aime pas que quelqu’un qui milite contre le loi Lang soit sponsor du festival, je n’aime pas l’idée que l’accès des bulles soit payant, je n’aime pas qu’il y ait des guerres dans le monde, mais je n’ai pas d’armes contre cela » observe Trondheim. « Mon seul combat sera pour une plus grande reconnaissance de la bande dessinée et du dessin. C’est un tout petit combat de rien du tout, mais ça tombe bien, je suis petit comme rien du tout » confie Lewis Trondheim à