LE RETOUR DE WALTER FAHRER AU POLAR!

LE RETOUR DE WALTER FAHRER AU POLAR!
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Chaque nuit, Wilson se réveill en sursaut. Il est hanté par d’horribles cauchemars au cours desquels il voit Véra, son épouse assassinée.

LE RETOUR DE WALTER FAHRER AU POLAR!
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Chaque nuit, Wilson se réveill en sursaut. Il est hanté par d’horribles cauchemars au cours desquels il voit Véra, son épouse assassinée.

Il assiste impuisant aux tortures qu’on lui fait subir. Ce sont des sueurs froides Sans cesse, il a l’impression que d’horribles vieillads ., tout de noir vêtus, ne le quittent pas d’un pas. Chaque matin, il se lève accompagné de sueurs froides Devenu paranoïaque, il vit dans la hantise de lajournée à venir.

Tel est le programme quotidien de cet ex-agent ayant démissionné de la CIA.

Fin limier, attentif aux plus petits détails, Wilson n’a pas son pareil pour résoudre énigmes ou enquêtes où s’entremêlent politique et pouvoir.

C’est d’ailleurs la raison pour laquelle Masterson, son ancien patron, continue à faire régulièrement appel à lui. : Envoyé en mission pour servir de garde du corps à la fille d’un avocat célèbre et puissant. Dans ce premier album, la mission confiée à notre protagoniste semble des plus banales

Wilson est reçu dans la riche demeure de celui-ci. Mais dissimulé derrière les hautes murailles, c’est un univers clos et trouble que l’attend où il découvrira que le pouvoir fait tout pour étouffer une affaire des plus explosives

Dans sa mission, il a trouve un argument de choc en la personne de Renata Schultz, une beauté qui le poussera à l’action… Un polar où plane l’ombre de James Hadley Chase. Une référence
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Serie : Mon nom n’est pas Wilson

Date de parution :11 novembre 00

Numéro de l’album : 1

Nombre de pages : 48

En couleurs

Edition : Casterman

Auteurs : Walter Fahrer et Carlos Trillo

WALTER FAHRER

Dessinateur et scénariste
Né à Santa Fé (Argentine) le 1 0 décembre 1939, Walter Fahrer a bâti sa carrière de dessinateur sur une passion : le noir et blanc. Il suit d’abord les cours de l’École des beaux-arts de Buenos Aires avant de débuter, comme illustrateur, en 1957. L’année suivante, il crée sa première bande dessinée, Ted Howard, et reprend le personnage d’Ernie Pike sur des textes de Hector Oesterheld. Durant les années qui suivent, Fahrer donne vie à plusieurs personnages restés, comme les premiers, inédits en France : Nat Mandell, Misterix et Rayo Rojo.
Au début des années soixante, il décide de quitter l’Amérique du Sud pour l’Europe. Sans un sou vaillant, il se arrive d’abord en Italie, où il retrouve Hugo Pratt, (ils se sont rencontrés auparavant, en Argentine et au Brésil), puis à Paris.

Engagé par l’agence Opera Mundi, Walter Fahrer dessine une suite impressionnante de bandes quotidiennes qui seront publiées dans des journaux aussi variés que L’Aurore, L’Humanité ou Le Parisien Libéré.

Parmi ces nombreux travaux, citons Le Roi de Paris, Les Dames de Croix-Mort, Les Indes noires, Le Pays d’où on ne revient jamais, Lady Stanhope, OSS 1 1 7, Aléonor dAquitaine, Janique Aimée, etc., avec ou d’après des auteurs comme Jules Verne, Georges Ohnet, Pierre Benoit, André Dhôtel, Anne et Serge Golon, Jean Bruce, Robert Gaillard, etc.
En 1968, Walter Fahrer fait la rencontre de Greg, alors rédacteur en chef de Tintin, avec lequel il crée Cobalt (deux albums aux éditions Lombard-Dargaud, 1976 et 1981). En 1973, retourné un temps en Argentine, il y entreprend Gato Montes, série qu’il reprendra, en 1991, en France (trois albums Dargaud de 1991 à 1996).
Sur des scénarios de Claude Moliterni, il lance en 1976 le personnage de Harry Chase (sept albums chez Dargaud de 1979 à 1989). Ces aventures policières paraissent dans divers supports comme France-Soir (les bandes sont alors remontées en strips), Télé 7 Jours (le temps d’un épisode intitulé Enquête en septjours) et CharlieMensuel 2e série.
Il collabore à l’ouvrage collectif, L’histoire du peiuple juif sur des scénarios de Claude Moliterni( 5 volumes de 250 pages- Dargaud)
En 1987, dans Vécu, Walter Fahrer s’associe à François Corteggiani le temps d’une histoire Le Casque et la fronde-Les Gentihommes de fortune (album Glénat, 1987) et publie, l’année suivante, dans Pilote, L’ Empire de Gilgamesh, première et unique aventure de Captain Hard (album Dargaud, 1989).

En 1989, Fahrer apporte sa collaboration à l’ouvrage collectif publicitaire La Stratégie du millefeuille (édité par le Crédit Agricole).
Installé en Corse, Walter Fahrer termine actuellement sa série Gato Montes, tout en poursuivant les aventures de Wilson, pour Casterman, sur des scénarios de Carlos Trillo..

CARLOS TRILLO
Carlos Trillo est né en Argentine en 1943.C’est un des scénaristes des plus originaux de sa génération. Il débute en 1966 en collaborant aux Patoruzu et Tia Vicente. En 1973, il collabore à différents journaux de presse. L’année d’après , il est nommé coordinateur de laq revue Satiricon et peu de temps après, il devient le rédacteur en chef de Mengano.
C’est pendant cette période qu’il écrit les scénarios de Un tal Daneri( dessine par (Alberto Breccia) et El loco Chavez (qui sur des dessins de Horacio Altuna paraît dans le quotidien Clarin et sera plus tard adapté a la télévision.
)
Il travaille ensuite avec Enrique Breccia à la série d’aventures El Buon Dios et adapte quelques textes classiques de la littérature pour la jeunesse, tout en s’intéressant à la littérature fantastique.
Toujours avec Enriqiue Breccia en 1977, il imagine les aventures d’Alvar Mayor , et El pelligrino en las estrellmas, ainsi que les voyages de Marco Mono.
En 1978, il collabore à la revue italienne Linus en écrivant le scénario Il regno blu. On le retrouve dans l’équipe de Sergio Bonelli pour la collection Un homme, une aventure.

Auteur prolifique et brillant, il est difficile d’établir une liste exhaustive de ses œuvres qui sont d’un niveau de très grande qualité. Rappelons Las puertitas del senor Lopez ( dessin d’Almtuna) Dragger( Avec Mandrafina), Custer avec l’espagnol Jordi Bernet) Bruno Bianco ( avec Seijas) Cybersix ( avec Carlos Meglia), Basura ( avec Juan Gimenez)
Trillo et Saccomanno ont signe ensemble un nombre impressionnant d’articles et de critiques sur l’histoire de la bande dessinée et plus particulièrement dans L’Histoire de la bande dessinée argentine éditée par les Editions Record en 1980.
On le retrouve en 1987 dans l’aventure éditoraile de Fierro, un mensuel de bandes dessinées..Il lance en décembre 1989, la revue Puerititas , bande dessinée et humour. En novembre 2000, il retrouve l’argentin Walter Fahrer pour une série de cinq albums chez Casterman :Mon nom n’est pas Wilson.

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