Elle s’appelle Louison : Louison Bobard. Évidemment, c’est un pseudo, ce que découvre son collègue journaliste : Yves-Portat Remington. Lui, ce n’est pas un pseudo ! Tous les deux sont les héros de la nouvelle série concoctée par Bruno Bazile, et ça démarre au printemps 1967, sur les chapeaux de roue, et même, « à tombeau ouvert »…
Lire la suite...Assassine
Le début :Simon Davenport rentre chez lui après une semaine d’absence. À la une du quotidien régional, il découvre une photo où l’on aperçoit sa maison. À la fenêtre du premier étage, il distingue une silhouette qui ressemble à son épouse …
Le début :Simon Davenport rentre chez lui après une semaine d’absence. À la une du quotidien régional, il découvre une photo où l’on aperçoit sa maison. À la fenêtre du premier étage, il distingue une silhouette qui ressemble à son épouse Sylvia… morte depuis deux mois ! Bien vite, d’autres signes troublants apparaissent. Des inscriptions étranges sur les murs de la cave. Des objets brisés. L’atmosphère s’alourdit de menaces autour de Simon …
Notre avis : Une sombre et mystérieuse histoire teintée de fantastique, des protagonistes inquiétants et à double visages, une ambiance lourde, etc., bref, du bon vieux polar comme on les aime avec ce récit de Patrick Delperdange (S.T.A.R.) digne de la fameuse « série noire », mis en image (en noir et blanc, cela va de soi) par un André Taymans (Caroline Baldwin) qui, tout en gardant son graphisme clair, a durci pour l’occasion les traits de ses personnages. LT