Quel plaisir, après des années et des années de chroniques sur les nouvelles parutions concernant le 9e art, de continuer à découvrir des auteurs prometteurs qui, d’emblée, semblent vraiment maîtriser les codes narratifs et graphiques de la bande dessinée ! C’est d’autant plus méritoire quand il s’agit d’un premier album en ce domaine : ce qui est le cas de Pierre Alexandrine avec son « Amourante ». Ce dense ouvrage de 230 pages, édité chez Glénat, nous propose un voyage aussi palpitant qu’amusant à travers les époques et les lieux, en remettant en question notre obsession tout à fait compréhensible de plaire perpétuellement et de ne pas mourir…
Lire la suite...Goldy
Résumé : Harrison Banks s’est échoué sur un lac gelé, bel et bien vivant. Une jeune femme qui ressemble étrangement à Léa, son amour d’enfance qui le surnommait Goldy, le recueille et le soigne. Mais le temps leur est …
Résumé : Harrison Banks s’est échoué sur un lac gelé, bel et bien vivant. Une jeune femme qui ressemble étrangement à Léa, son amour d’enfance qui le surnommait Goldy, le recueille et le soigne. Mais le temps leur est compté : Amber s’est postée aux abords du chalet avec un acolyte et pulvérise bientôt l’abri des deux jeunes gens. Ils parviennent à s’échapper in extremis par les airs, et prennent la direction de Golden City. Banks veut bien sûr déloger l’imposteur qui a pris sa place, mais pour cela, il lui faudra l’aide des gamins. Ceux-ci lui apprennent que Mifa a disparu…
Notre avis : Effficace, terriblement efficace. On a beau se dire qu’on ne se fera pas avoir, que Golden city utilise toutes les ficelles du genre, on plonge pieds et poings liés dans cette aventure à la mécanique terriblement bien huilée. Et même si la trame générale traine un peu en longueur, disons le tout net : plus c’est long plus c’est bon ! Editions Delcourt – Collection Série B – 12,5€