Quel plaisir, après des années et des années de chroniques sur les nouvelles parutions concernant le 9e art, de continuer à découvrir des auteurs prometteurs qui, d’emblée, semblent vraiment maîtriser les codes narratifs et graphiques de la bande dessinée ! C’est d’autant plus méritoire quand il s’agit d’un premier album en ce domaine : ce qui est le cas de Pierre Alexandrine avec son « Amourante ». Ce dense ouvrage de 230 pages, édité chez Glénat, nous propose un voyage aussi palpitant qu’amusant à travers les époques et les lieux, en remettant en question notre obsession tout à fait compréhensible de plaire perpétuellement et de ne pas mourir…
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Détenu depuis six mois dans un bagne disciplinaire perdu au fin fond de l’Arctique, Harrisson Banks n’est plus qu’un numéro : le 990320. Désespéré, seul, Banks ignore pourtant que certains ne l’ont pas oublié et poursuivent malgré tout leur but …
Détenu depuis six mois dans un bagne disciplinaire perdu au fin fond de l’Arctique, Harrisson Banks n’est plus qu’un numéro : le 990320. Désespéré, seul, Banks ignore pourtant que certains ne l’ont pas oublié et poursuivent malgré tout leur but : le tuer.
Notre avis : Bien que dotée d’une intrigue moins consistante que dans les deux premiers volumes, « Nuit polaire » dévoile quelques clés qui pourront bien être utile à la suite du récit. La narration conserve son dynamisme, la mise en scène est efficace et le dessin de Malfin toujours aussi percutant. Golden city s’est imposé en 3 albums comme une série de référence symbole de la « génération Delcourt ». A lire sans hésitation.