Elle s’appelle Louison : Louison Bobard. Évidemment, c’est un pseudo, ce que découvre son collègue journaliste : Yves-Portat Remington. Lui, ce n’est pas un pseudo ! Tous les deux sont les héros de la nouvelle série concoctée par Bruno Bazile, et ça démarre au printemps 1967, sur les chapeaux de roue, et même, « à tombeau ouvert »…
Lire la suite...Nuit polaire
Détenu depuis six mois dans un bagne disciplinaire perdu au fin fond de l’Arctique, Harrisson Banks n’est plus qu’un numéro : le 990320. Désespéré, seul, Banks ignore pourtant que certains ne l’ont pas oublié et poursuivent malgré tout leur but …
Détenu depuis six mois dans un bagne disciplinaire perdu au fin fond de l’Arctique, Harrisson Banks n’est plus qu’un numéro : le 990320. Désespéré, seul, Banks ignore pourtant que certains ne l’ont pas oublié et poursuivent malgré tout leur but : le tuer.
Notre avis : Bien que dotée d’une intrigue moins consistante que dans les deux premiers volumes, « Nuit polaire » dévoile quelques clés qui pourront bien être utile à la suite du récit. La narration conserve son dynamisme, la mise en scène est efficace et le dessin de Malfin toujours aussi percutant. Golden city s’est imposé en 3 albums comme une série de référence symbole de la « génération Delcourt ». A lire sans hésitation.