Apparue pour la première fois dans le mensuel Tchô ! en 2003, Lou est devenue un best-seller de l’édition, avec plus de trois millions d’albums vendus, une série d’animation, un long métrage, des traductions dans le monde entier… Un tel succès méritait bien cet ouvrage anniversaire, qui nous propose — en plus de 300 pages — de revenir sur l’histoire de l’héroïne qui a grandi avec ses lecteurs. Tout en ouvrant généreusement ses carnets de croquis, Julien Neel évoque — au cours d’un long entretien — son propre destin, lié depuis 20 ans à celui de la petite fille blonde devenue grande.
Lire la suite...Les Cahiers de la BD : 6e livraison…
Nous ne pouvons que saluer la belle régularité de parution de ces Cahiers de la BD revenus d’un long sommeil grâce à la persévérance de Vincent Bernière. Une formule riche qui, hélas, laisse peu de place à la bande dessinée classique, une fois encore boudée par une équipe de journalistes et critiques qui snobent probablement sans le vouloir le lecteur « grand public ». Faudra-t-il à notre tour revêtir des gilets jaune pour nous faire entendre ?
Ce terme de « bande dessinée grand public » interpelle dans ce même numéro l’essayiste L. L. de Mars qui se demande pourquoi un éditeur peut reprocher à un auteur de ne pas être « grand public ». La réponse est toute trouvée avec ce numéro des CBDqui propose un panorama de « la BD de science-fiction aujourd’hui » dans lequel le nom de Leo (« Les Mondes d’Aldebaran ») – entre autres auteurs classiques – n’est pas cité une seule fois. Pourquoi l’œuvre du plus populaire des auteurs du genre aujourd’hui ne figure-t-il pas dans la revue ? Tout simplement parce que Leo est un auteur « grand public » et qu’aux yeux des rédacteurs vendre le fruit de son travail et connaître le succès, c’est un gros mot inconciliable avec le talent ! Monsieur de Mars a sa réponse et peut enfin dormir tranquille.
Revenons au sommaire néanmoins passionnant de cette sixième livraison: entretien fleuve avec Luz, auteur d’ « Indélébiles » chez Futuropolis, rencontre avec le grand Stephen King qui évoque sa passion pour les comics, bilan avec Joe G. Pinelli qui après cinq années de travail publie son adaptation de « Das Feuer » d’ après Henri Barbusse, portait du mangaka atypique Taiyo Matsumoto, copieux dossier superbement illustré sur l’américain Richard Corben grand prix d’Angoulême, dossier un rien élitiste consacré à la science fiction aujourd’hui, retour sur la carrière de dessinateur de presse d’Alain Saint-Ogan, présentation de Frans Masereel graveur sur bois et artiste engagé du début du vingtième siècle…
Un travail sérieux et intéressant pour le lecteur curieux qui, hélas, laisse peu de place à cette bande dessinée « grand public » que nous évoquions en début de chronique. Notons pourtant un sympathique mais trop court clin d’œil d’Yves Frémion à Martine Berthélémy, dessinatrice qui fit les beaux jours du Journal de Mickey. (Trimestriel, 200 pages, 12,50 €, en kiosque, info@lescahiersdelabd.fr, 45 rue d’Hauteville, 75001 Paris).
Henri FILIPPINI
le texte « bande dessinée et grand public » n’a pas été écrit pour les Cahiers, ce que l’article ne permet pas de comprendre. C’est un extrait d’un texte publié chez Adverse. Je n’interpelle donc personne dans ce numéro. Nuance importante.
Publication pour ceux qui lisent des BD en se faisant chier. Un truc pour bobo. Du roman graphique qui n’a sa place que dans une fosse septique.
Hum… Je suis sceptique…
« vendre le fruit de son travail et connaître le succès, c’est un gros mot inconciliable avec le talent ! »
Bien dit, c’est malheureusement une pensée fort fréquente chez les journalistes de la presse pour bobos, et les comités de sélection en charentaises qui préfèrent privilégier les oeuvres à public confidentiel ou restreint, celles que l’ont trouve facilement dans les bibliothèques ou médiathèques, justement parce que personne n’a envie de les emprunter (mais auss iparce qu’ils sont dans les listes d’achat recommandés aux conservateurs). Un réflexe assez élitiste de la part de ces influenceurs d’opinion qui mériterait un blocage de gilets jaunes ou une distribution de tartes à la crême par l’entartreur belge. On peut aussi préferer acheter les publications en rapport avec les gros tirages, on y trouvera foule d’informations sur les livres qui permettent aux libraires de payer le loyer et offrent aux lecteurs d’excellentes heures de lecture. La présence d’un article sur l’excellent Saint-Ogan est sans doute lié à la réédition par cet éditeur de ses albums (en financement participatif)
Que de haine recuite dans ces commentaires. ce réflexe poujado et démago consistant à opposer sans cesse « grand-public » et « bobos » quelque soit le sujet contamine toute forme de discours sur internet. C’est éreintant. Savez-vous que les gens ne sont pas si idiots ? Que c’est la curiosité et le plaisir qui dictent leurs choix en matière de culture ? Qu’ils se soucient peu de savoir si une oeuvre est « grand public » ou « bobo » avant de commencer à la lire ? Pourvu que ça dure.
L’ héroïne nue de Corben allongée sur le tapis de mousse existe vraiment,c’est l’opulente Karen Gilbertson,qui s’est prêtée au jeu après avoir appris par la femme de Bruce Jones avec qui elle travaillait dans un magasin – Bruce Jones scénariste et modèle régulier de Corben également, pour ses références photos – que les deux créateurs étaient à la recherche d’un modèle féminin.Corben, incrédule, avait trouvé sa muse .
Vivement Angouleme que l’on se marre, pour des commentaires qui seront ne le doutons pas de haut niveau.
Enfiler un gilet jaune dans la BD comme les poujadistes en mal de curiosité qui encombrent les ronds-points pour proclamer leur détermination contre la négation dont ils sont l’objet par l’omnisciente fine fleur de ce bas monde et, leur refus catégorique de la récupération par les mêmes?Pourquoi pas,en effet,c’est de circonstance.
Surtout quand la réécriture de l’histoire,par omission le plus souvent ,l’orientation déterminée des faits pour imposer les personnifications d’une classe,qui fermente au chaud en circuit fermé,et leurs boutiques ,se fait à coups de provisions,salaires et subventions issues de l’argent de tous:les plus rutilants d’entre-nous et les quantités négligeables…..
Pour le reste les tracts pro-domo auto-financés de ce genre,réalisés par des exigeants sans concession qui connaissent leur public et savent ce qu’ils doivent lui vendre,font ce qu’ils veulent,personne n’est obligé de les lire.Même si l’absence de contrepoint,et les relais et reprises comme l’exposition dont ils sont l’objet,peuvent laisser croire que c’est la vérité qui s’expose.En effet,il y a un danger.
Comme toujours,comme pour l’eau minérale pour éviter surdoses néfastes et carences:multiplier les sources.
Ho purée !!! 2019 commence fort
Une galerie d’images vaguement alignées ,autour d’une sommaire narration ,commentaire du réel ,pontifiant en substance ,qui donne à voir le monde, à bonne hauteur…. Un cas d’école.
On savait que ça allait lui plaire,au vainqueur .
Comme quoi,quand on connaît son public,on le balade.Il accourt,au sifflet.
2019 comme 2018 alors!
Gné??
I beg your pardon, sir?
On ne comprend rien à votre discours mais vous avez certainement dû vous faire plaisir. Comme pour cette revue aux sujets « captivants »… Quelques journalistes en mal de reconnaissance pour des lecteurs bobos.
« des commentaires qui seront ne le doutons pas de haut niveau. », dites-vous Monsieur Cacaramel. Oui espérons qu’ils seront d’un meilleur niveau au niveau Ventes que certains albums récemment primés. Une médaille en chocolat (ou en Caramel?) n’apporte rien si l’album ne plait pas au public de la Fnac, Cultura et Canal BD et cie. La branchitude, vous savez ce que l’on en pense? Maintenant, on aura peut-être de bonnes surprises, la liste du FIBD renferme quand même quelques albums lisibles, je note une amélioration par rapport aux années précédentes! Ce qui est chose aisée!
Mouais… vous avez l’air d’être préoccupé par les ventes. Des actions dans votre portefeuille peut-être ?
Un prix n’a jamais été décerné en pensant que cela va se vendre ou c’est bien vendu, sinon autant se référencer aux meilleures ventes de bdzoom et chaque semaine vous avez votre prix.
Votre commentaire me fait penser au journal Pif qui publiait corto maltese contre l’avis des lecteurs et des dirigeants financiers, on connait la suite.
Heureusement que des personnes prennent des risques autant artistique qu’éditorial pour emmerder les grincheux qui ont perdu le sens de l’art.
Cacaramel franchement triste
Désolé, Car-amer, j’ai beau chercher, je ne vous aucun éditeur BD coté en Bourse (à part Hachette, mais ce n’est pas un spécialiste). Je ne suis pas libraire non plus. Simplement je m’irrite de ce décalage entre l’image qui peut être donné de la BD dans des revues aussi prétentieuses qu’élitistes, et la réalité éditoiale. De trop nombreux « journalistes BD » semblent snober le tout-public qui se vend bien, dans le simple objectif de divertir. Une situation qui rappelle un gouvernement totalement déconnecté des réalités…
Branchitude et beaufitude sont à renvoyer dos à dos.
Bien dit ! En revanche, je crois qu’on peut critiquer la BD d’aujourd’hui sur un point fondamental : elle ne traite pas les sujets qui fâchent – rien sur les problèmes de l’immigration et l’extrémisme islamo-gauchiste (forcément!) , les problèmes sociaux (les fameuses fins de mois difficiles) , la crise de l’Etat providence, nos « élites » soupçonnées de collusion avec des puissances étrangères, etc., Seul est traité le sujet (certes important) de la perte de liberté individuelle avec le développement des technologies de l’information. D’autre part, il y a un problème avec tous ces scénaristes « embourgeoisés », qui n’ont rien vécu, et qui donc n’ont rien à dire- et qui répandent sur ce site leur aigreur de manière quotidienne; mais les lecteurs se détournent de plus en plus de ces récits où il n’y a ni suspense, ni rigueur, ni originalité.
» on peut critiquer la BD d’aujourd’hui sur un point fondamental : elle ne traite pas les sujets qui fâchent – rien sur les problèmes de l’immigration et l’extrémisme islamo-gauchiste (forcément!). »
Vous avez apparement plein de sujets qui vont enchanter les éditeurs. Si ça ne marche pas vous pouvez aussi vous auto-éditer.
Ho ! mais c’est bête j’ai sous les yeux le programme du RN, on dirait du Patydoc.
C’est la loose ça.
Patydoc, pour les problèmes sociaux et les fins de mois difficiles, il y a Largo Winch, et pour les problèmes d’immigration, il y a Bibi Fricotin…
Toujours un plaisir en revenant de congés de lire les commentaires sales de BDzoom. A croire que ce site les attire.
Quant à ceux qui osent affirmer que la BD d’aujourd’hui ne traite pas de sujets qui fâchent. Au contraire, elle ne fait que ça, de ce que j’en vois moi. Mais comme les mêmes commentateurs ne parlent que de choses qu’ils ne lisent pas et donc ne connaissent pas, on n’avancera jamais avec eux. Bien triste… pour BDzoom, comme pour la BD en général.
Au fait, « UN3″, chez Bliss, chroniqué le 20 octobre, traite justement de l’immigration. Etonnant, non ?
Tu es bien dur mon ami ; me dénier une connaissance des BD, je ne crois pas que ce soit honnête ! Evidemment, un simple lecteur comme moi doit payer ses BD, ce qui change tout par rapport aux chroniqueurs qui reçoivent les BD à l’œil ; ce qui explique également une moins grande tolérance envers les BD de mauvais aloi qui encombrent les bacs des librairies: le lecteur a eu le sentiment de s’être fait avoir! On peut trouver des contre-exemples ( heureusement ! ); il n’en reste pas moins que le niveau des scénaristes sur le plan politique, économique et social reste TRES FAIBLE. Pour un Fabien Nury, combien de scénaristes analphabètes , incompétents, sans imagination! Sans compter bien sûr la vulgate marxiste version 1850 qu’on nous sert à chaque album, comme le fait Marazzano
J’ajoute qu’UN3 n’est pas une œuvre de fiction, mais un ouvrage de propagande du WFP, si j’ai bien compris ta critique, que j’ai lue en son temps (car en plus d’acheter toutes ces BD, je te lis ! )
« mon ami » introduction pour amadouer son interlocuteur
» doit payer ses BD » Vous n’êtes pas obligé de tout acheter il ya les bibliothèques, il suffit d’attendre un peu.
« chroniqueurs qui reçoivent les BD à l’œil » dans le style vous êtes tous dans des conflits d’intérêts. Franchement un chroniqueur va perdre du temps et de l’énergie à casser un auteur et vu le nombre de sorties, impossible de tout lire.
» les BD de mauvais aloi qui encombrent les bacs des librairies » Vu vos activités sur un grand site de vente par internet on rigole
» niveau des scénaristes, analphabètes , incompétents, sans imagination »
Mouais rien de bien original dans tout ça venant de votre part. On attend votre production, les maisons d’éditions restent ouvertes à toute bonnes propositions.
On va faire l’impasse sur vos vues politiques et nous évitez cette souffrance dont vous nous faites part.
Les lecteurs jugeront: les chiffres sont là! Et la faiblesse des scénaristes français est bien connue – d’où le succès incroyable d’un Van Hamme par exemple qui a bénéficié du vide constaté autour de lui pendant très (trop?) longtemps; en ce qui concerne les bibliothèques, comme le dit H. Khanan, elles sont encombrées de BD non vendus et parfois peu attractives (toujours le fameux capitalisme de connivence prôné par le petit monde de la BD). Quant à mon budget BD il bénéficie plus à Canal BD qu’au fameux site internet! Je passe sur le reste, les attaques ad hominem, par quelqu’un qui n’a même pas le courage de révéler son identité (comme pepe malin, et joh bob), mais qui n’hésite pas en revanche, à divulguer des infos personnelles sur mon compte, avec la complicité de ce site web, en contradiction avec la législation en vigueur
non vendues
Pourquoi ne pas faire votre propre site bd afin d’y déverser vos gouts et vos couleurs.
Une partie gentille intitulée ça c’est bien ça se vend mais attention scénariste français.
Une partie mechante intitulée Patidoc se fache tout rouge (oups je ne sais pas si c’est la bonne couleur). Avec tout le langage que l’on vous connait.
Vous pouvez même faire des copiers-collers pour vos articles (déjà vu) on ne vous en voudra pas.
On à hate de vous lire.
Je veux bien être complice, puisque je suis responsable de ce site, mais de quoi exactement ? Toute diffusion d’informations personnelle a été modérée; S’il en reste, dites moi où car je ne l’accepte pas.
Sinon, je suis toujours embêté par vos (là, je m’adresse à Patydoc, Carmael, Henri Kanan, Crissant Clavier et quelques autres) remarques, souvent très pertinentes, qui dénotent de votre profonde connaissance à chacun du 9e art et même de ses rouages internes, pour certains. Mais pourquoi toujours finir vos propos de façon agressive ou provocatrice envers les uns ou les autres ? Nous ne sommes pas sur un ring et il y a de la place pour tout le monde. C’est surtout dommage car les autres lecteurs du site, qui pourraient prendre plaisir à votre érudition, se lassent de vos querelles stériles. C’est le moment des bonnes résolutions, pensez-y, je ne voudrais pas être amené à supprimer totalement les commentaires. Merci et bonne année à tous.
Vous avez raison Franck G, de nombreuses BD récentes traitent de l’immigration, de la jungle de Calais, mais aussi de la Palestine et même du transexualisme!
Henri, arrêtez s’il vous plaît, vous vous ridiculisez. Oui, tout ces sujets sont abordés. Ça s’appelle justement des romans graphiques ou des docus-fiction, et en sortant des sentiers battus, on les trouve. Si vous voulez vraiment des références, je vous les donne. Mais malheureusement pour vous, il faut justement lire des revues comme les Cahiers de la BD, La revue dessinée, Pandora, ou XXI pour s’en rendre compte. (Et les chroniques de BDzoom à l’occasion). Les petits éditeurs alternatifs sont pile dans ce genre de créneau, mais pas que, et si album complet il n’y a pas toujours, ces revues ou brochures servent justement à traiter de ces sujets. Une récente justement sur calais, par Laurent Lefeuvre : http://laurentlefeuvre.blogspot.com/2017/10/exposition-breizh-migrants-de-la-jungle.html
Désolé, je crois que je n’avais pas perçu que vous étiez sincère dans votre propos Henri. Ce qui semble, après relecture plus lente, être le cas. Dont acte. Vu le ton des discussions, cela devient dur de faire la part des choses. Bah…
Tu as toi- même envoyé un missile agressif à ma critique qui présente un argumentaire que j’estime recevable ; et en tout cas à discuter!
Bonsoir Franck. Comme vous le reconnaissez vous-mêmes, je pense que vous avez lu mon post trop vite. Ce que j’y disais l’était sans ironie ni cynisme, juste le constat de mes passages en librairie BD (voire à la Fnac). ou sur des sites plus ouverts aux publications récentes et parfois branchées avec l’air du temps. Oui, de nombreuses BD parlent des mêmes sujets que les journaux TV ou les hebdos d’actualités. Cela s’éloigne de la BD classique, mais si je lis des BD, c’est justement pour ne pas avoir le sentiment de regarder le journal TV en bandes dessinées, ou de lire les articles du Monde, Télérama ou l’Obs, qui mettent surtout l’accent sur les atrocités ou les injustices de la vie réelle. Donc oui, la BD s’est ouverte aux sujets contemporains, mais ce n’est pas ce que j’y recherche, je suis suffisamment informé de notre triste monde, et je n’ai pas envie d’être encore plus dépressif. La triste réalité suffit, je cherche surtout à oublier cette quotidienneté, notamment en plongeant dans le passé magnifique dont votre site parle si bien. Amitiés à toute l’équipe!
On peut en effet reprocher aux nouveaux Cahiers leur côté élitiste. Mais n’oublions pas que la BD grand public est largement traitée dans DBD et Casemate. Dès lors, pourquoi positionner un nouveau magazine sur le même créneau et prendre le risque de disparaître pour cause de concurrence ? Ajoutons également que si ces Cahiers s’intéressent surtout à ce type de BD, les articles n’en sont pas pour autant rédigés dans une prose élitiste et restent parfaitement lisibles. Contrairement à ceux que propose Pré Carré, la revue confidentielle dans laquelle officie L.L. de Mars.
Et moi-aussi, je regrette que les discussions démarrent au quart de tour sur ce site. Après tout, nous sommes tous des passionnés avant tout. Nous avons nos différences de sensibilités, nos préfèrences de genres.. mais ce qui nous réunit, c’est l’amour et l’admiration des bonnes BD. Donc, foin des insultes stériles et des commentaires méprisant en 2019, que diable!
Page 124, colonne 2, ligne 3, je lis ceci : « Les très populaires Mondes d’Aldébaran de Leo ».
Ceci au milieu d’une phrase où l’auteur de l’article cite Godard et Ribera, Bilal, Schuiten, Bourgeon, Andreas. Tous auteurs grand public.
Leo pour Aldebaran, Bilal et Bourgeon se vendent quand même un peu plus que les autres qui sont tout aussi talentueux…