« Les Amants d’Hérouville » est un album atypique, à plus d’un titre : la biographie d’un artiste peu connu du public, mais qui a marqué la vague créative des années 1960 et 1970, compositeur de musiques de films et chef d’orchestre. Planches de BD, avec parfois incrustations de photos d’époque, textes explicatifs illustrés, photos d’archives, filmographie, discographie, et hommages pour clore l’ensemble, tout cela en fait plus qu’une BD, un livre complet.
Lire la suite...NICK RODWELL SE CONFIE A LA TRIBUNE DE BRUXELLES DE RETOUR D’HOLLYWOOD

Interviewé par Emmanuelle Jowa, Nick Rodwall fait le point sur les négociations avec Dreamworks et Universal qui vont financer le film. Après sept voyages à Los Angelès, après avoir négocié dans un premier temps avec la Warner et l’équipe de Harry Potter,
Nick Rodwell a été recontacté une deuxième fois par Steven Speilberg et il est arrivé à un accord en six mois. Dans cet interview, il souligne la jeunesse des scénaristes, le tout entouré d’avocats , d’agents . une vraie famille . Nous les européens, nous sommes des étrangers .A Hollywood vous restez toujours un étranger explique-t-il. Son but est de faire exploser Tintin outre-atlantique.Le héros belge aurait ainsi une vraie vocation belge.
Par ailleurs, au sujet du musée Tintin qui devrait s’ouvrir en 2007 ou 2007,, il confie :
- Peut-être que tout va arriver en même temps, le musée et le film. Le but serait d’ y parvenir en 2006. On y travaille en parallèle et cela avance très bien. Le scénario pour le musée est en cours. On ne construit pas un bâtiment pour après décider ensuite de ce qu’on va y mettre. C’est la même chose pour le film.