N’hésitez pas à revenir régulièrement sur cet article, puisque nous l’alimenterons, jour après jour, avec tout que nous envoient nos amis dessinateurs, scénaristes, coloristes, libraires, organisateurs de festivals et éditeurs pour vous souhaiter de joyeuses fêtes : et ceci jusqu’à la fin du mois de janvier 2024 !
Lire la suite...« Comics USA : histoire d’une culture populaire » par Marc Duveau
La réédition inattendue et bienvenue d’un livre fondateur datant de 1975 et consacré aux comics permet de reprendre le fil de toutes les années qui se sont écoulées depuis sa parution et surtout de se plonger dans l’histoire passionnante des premiers héros américains de bande dessinée. C’est aussi l’occasion de rendre un bel hommage à Marc Duveau, passionné et érudit qui fut un des rares à écrire sur les comics dans ces années 1970, époque transitoire pour le médium.
En 1975, les comics sont une lecture encore honteuse en France. Nous sommes en pleine Strangemania, et la fameuse revue des éditions Lug est l’une des principales sources d’accès aux histoires de super héros Marvel depuis 1970, tandis que les pockets des éditions Arédit publient des récits de l’autre maison : DC. Par ailleurs, la revue Actuel nous présente les auteurs underground Robert Crumb et Gilbert Shelton, et L’Écho des savanes spécial USA tout comme Métal hurlant ont commencé à publier depuis un an à peine Richard Corben, Berni Wrightson, Barry Windsor Smith, Michael Kaluta, Neal Adams, John Buscema et consorts. Il faut dire que l’on est alors en plein âge de bronze (on le nommera ainsi après coup) et que les comics vivent une période de maturité, se politisant ou s’érotisant énormément. Cependant, quasiment aucune revue spécialisée critique grand public sur ce médium particulier n’existe et quelques albums brochés aux pages se décollant sont l’unique façon de ranger quelques comics dans sa bibliothèque. On ne parle même pas encore de TradePaperBack, ou alors, c’est que l’on est déjà très féru et que l’on lit des importations en VO.
Dans les pages des revues noir et blanc des éditions Publicness : Creepy et Vampirella, alors en vogue, on peut aussi se régaler des histoires des éditions Warren et des articles érudits de Marc Duveau. Édito et introductions aux albums de Jeff Jones (30/40, Futuropolis) ou Richard Corben (« Ogre », ed. Humanoïdes associés) font aussi partie de ses attributions. Auteur assez discret, mais passionné, il écrit depuis 1967 dans diverses revues, dont Métal hurlant, À suivre… Il a assuré le secrétariat de rédaction pour les revue Creepy et Vampirella, publié de nombreux romans aux Humanoïdes associés, les Presses de la cité, Presse pocket et Fleuve noir. Cet homme-là sait de quoi il parle et avec passion. Ça tombe bien, il publie alors « Comics USA », le premier vrai livre digne de ce nom consacré au sujet, chez Albin Michel dans la collection Graffiti dirigée par Marjorie Alessandrini. Un pavé qui restera une référence durant quarante ans. Sa réédition augmenté de près de 200 pages (normal, il s’en est passé des choses depuis 1975) est une aubaine.
Depuis « Comics USA », quelques ouvrages, plutôt récents en comparaison, ont été publiés sur le sujet des comics en général, sans oublier quelques revues plus anciennes. Si Les Cahiers de la bande dessinée dans les années 1980-1990 (voire Spot BD, via la rubrique « BD étrangères » voir ci-dessous), ont permis à de nombreux amateurs de se régaler d’articles critiques et documentaires sur le médium (dont un fameux numéro 66 des Cahiers : « Spécial USA », en 1985), il ne faudra pas oublier non plus la revue Comic Box, dirigée par Xavier Fournier qui a offert dès 1998 un support spécialisé très apprécié, avec critiques et dossiers.
En ce qui concerne les livres, on pourra citer parmi les plus intéressants : « Histoire du comic book T1 : Des origines à 1954 » de Jean-Paul Jennequin, paru en 2002 aux éditions Vertige graphic. Ce livre qui avait connu une prépublication en chapitres dans une rubrique spécifique de la revue Comic Box première formule, traitait de manière assez sobre et bien illustrée, comme son nom l’indique de l‘histoire des comic books. Bien que pouvant être rapproché de « Comics USA » sur le fond (et on regrettera d’ailleurs que ce dernier n’apparaisse pas dans les ouvrages consultés pour sa réalisation, ni Marc Duveau cité), il est regrettable que le tome 2 prévu n’ai jamais paru, faisant de ce livre une sorte d’histoire avortée assez frustrante pour les lecteurs. Le deuxième ouvrage particulièrement intéressant est davantage un guide de lecture, ceci dit très spécialisé et très agréable, resituant chaque ouvrage dans son contexte. Il s’agit de « Comics : les indispensables de la BD américaine ! » par Thierry Mornet (Huggin & Munnin, 2012). Enfin : « Super-Héros : l’envers du Costume », par Xavier Fournier chez Huggin & Munnin (collection Fantask) en 2016, se propose de compiler les meilleurs articles de la rubrique « Les Chroniques du docteur Psycho » paru précédemment dans la revue Comic Box. N’oublions pas aussi « Des comics et des hommes : histoire culturelle des comic books aux États-Unis » de Jean-Paul Gabilliet, paru aux éditions du Temps en 2005. Ouvrage un peu plus universitaire, et très peu illustré. De plus, si beaucoup d’ouvrages grand public ont paru depuis 1975 sur les comics, en sus de ceux déjà cités, il ne faut pas perdre de vue que la plupart se sont souvent focalisé sur des héros, des courants, des maisons d’édition, et l’on a même eu droit à des livres de coloriage, mais aucun n’a abordé le sujet des comics avec autant de précision et de passion que Marc Duveau.
L’auteur, après une courte introduction sur la mort des super héros Superman et Captain America, débute son essai au début du XIXe siècle, avec les Dime Novels, les Story Papers, abordant les revues Spicy Detective érotiques, les novelty, puis les pulps, développant le sujet sur 29 pages, et mettant en exergue les premiers super-héros : The Shadow, Doc Savage ou Tarzan. Tout cela illustré avec de nombreuses reproductions très intéressantes. Il aborde ensuite plusieurs chapitres conséquents, intitulés :
- « L’Âge d’or, naissance d’un roi ». L’auteur développe ici l’aspect économique du comic book dans les premières années, tel qu’on le connaît, s’autorisant des détours vers des publications incroyables, telles Nights of Horror (1954), revue sado masochiste dans laquelle Joe Siegel, créateur de « Superman », a été réduit à publier ses dessins par manque de contrats.
- « Le Spirit de Will Eisner » aborde sur 20 pages l’importance fondamentale de ce titre dans la culture comics, évoquant rapidement dans un dernier gros paragraphe l’aspect biographique de son créateur, jusqu’à sa mort.
- « Sang et horreur ou Censeurs, protégez nos enfants », nous immerge dans les années cinquante et les éditons EC Comics sur 18 pages. Wallace Wood faisant le lien avec la revue Mad.
- Sur « Stan Lee : de Timely à Marvel », l’auteur choisit de parler du développement de Marvel par le biais de son créateur le plus connu, en resituant son parcours biographique dans l’édition, avec les éditions Atlas, les revues Strange Tales et Journey Into Mystery… avant d’aborder la face plus connue des années soixante. 15 pages y sont dédiées.
- « DC l’autre côté du miroir » évoque le passage de l’âge d’or à l’âge d’argent, en focalisant d’abord sur l’auteur Joe Kubert, de ses récits de guerre au westerns, avant d’évoquer les grands classiques de DC : « Flash », « Hawkman », « Atom », la revue de science-fiction Strange Adventures, puis « Green Lantern », « Batman », The House of Mystery, « La Créature des marais ». Une manière bien personnelle de s’attarder sur cet éditeur incontournable.
- Encore moins anodin est alors le chapitre suivant, dévolu entièrement à Steve Ditko, et se déroulant sur 32 pages. L’occasion de rendre hommage à un auteur encore mal connu du grand public, tout en traitant des éditeurs Marvel, Charlton, DC, Warren.
- Le chapitre suivant est une transition en douze pages consacrée aux revues en noir et blanc des années 1970 : « Rêves et cauchemar en noir et blanc ». l’occasion de traiter de Wallace Wood avec la revue Witzend, de Gil Kane et son « Doc Savage » ultra violent, de Vaughn Bodé, de Blazing Combat, Creepy, avec un lien établi par le biais de Harvey Kurtzman.
- « L’Âge de bronze, le poids des héros » met tout d’abord en valeur le travail de Jack Kirby avec son « Quatrième Monde », avant de se pencher sur les revues DC et la maturité de titres tels World Finest Comics, les fameux épisodes de « Green Arrow » et « Green Lantern », mais aussi, moins courant, les évolutions de Marvel sur la revue The Amazing Spiderman, mais surtout la revue Epic, ses titres d’horreur ou de science-fiction « Nick Fury », « Dracula », Chamber of Darkness, Savage Tales, et sa marque Curtis. Puis Jim Shooter est mis en avant avec la revue Dazzler, avant l’exploration dans une bonne partie de ce chapitre à DC et les bouleversements de la fin des années soixante-dix au début des années quatre-vingt et le renouveau sombre des comics. Quatre pages sont consacrées à la compagnie de Mike Richardson : Dark Horse, acteur majeur des années quatre-vingt.
- Avec « Le Choc des images », Marc Duveau évoque l’arrivée du label Image et les licences en Creator Owned, via l’épisode connu sous le nom « X-Odus », un référence au fait que la plupart des auteurs quittant le bateau Marvel ont brillé sur des comics consacrés aux X-Men. 34 pages allant jusqu’au phénomène « Walking Dead », et une aparté sur le label Malibu.
- Enfin, « Aujourd’hui les comics » s’attarde sur l’âge moderne dans lequel les comics se trouvent actuellement, développant sur 21 pages une analyse du marché depuis 1986, citant les principaux mouvements et titres marquant apparus.
En refermant le livre, proposant en addentum deux pages de bibliographie sélective, on peut néanmoins regretter que Marc Duveau ait principalement focalisé son propos sur les comics de super héros, n’abordant le sujet des éditeurs ou des auteurs alternatifs, souvent de romans graphiques apparus en majorité depuis les années quatre-vingt-dix, qu’à l’aune de l’éditeur Image et des auteurs du type Brian K. Vaughan, Fiona Staples, ou Mark Millar. Aujourd’hui, il apparaît pourtant que le milieu propose une diversité difficilement mesurable, et Marc Duveau l’exprime d’ailleurs clairement. Mais cette facette du comics ne semble pas avoir fait partie de son engouement. Cela aurait ceci dit mérité qu’un chapitre supplémentaire lui soit consacré pour que l’ouvrage soit définitivement complet.
« Comics USA », dont la réédition augmentée et actualisée est emballée dans un cartonnage coloré au graphisme séduisant, offre aujourd’hui un écrin particulièrement à la hauteur des textes précis et passionnés de son auteur. La riche proposition iconographie de l’ensemble du livre, ainsi que sa maquette sobre mais très lisible, font de lui un des ouvrages les plus intéressants sur le sujet, avec la réserve émise.
Franck GUIGUE
« Comics USA : histoire d’une culture populaire » par Marc Duveau
Éditions Huggin & Munnin (27 €) – ISBN 9782364805637
Toutes images intérieures du livre et la couverture : © Éditions Huggin & Munnin et Marc Duveau 2018
Quelques précisions.
Dans les années 70, la revue « Phénix » comportait régulièrement des informations sur les comics.
A la même époque, la revue « Zoom » évoquait aussi les comics. Les articles de ces deux revues étaient signées Jean-Pierre Dionnet.
« Comics 130″ de Futuropolis présentait aussi les publications américaines.
Arédit ne publiait pas que DC. Dans les années 70, l’éditeur de Tourcoing a fait paraître dans ses collection « Pocket » pour adultes (!) de nombreux titres de Marvel, à savoir tous les personnages qui n’apparaissaient pas dans les pages de Strange : The Avengers, Submariner, Hulk, Nick Fury, Dr Strange, Rawhide Kid, etc. Ce qui permettait parfois de raccorder rétrospectivement avec les épisodes publiés avec beaucoup de retard dans Strange et qui évoquaient des cross overs incompréhensibles aux lecteurs qui se limitaient à cette seule revue.
La collection Graffiti a comporté un autre livre dédié en partie aux comics : « La bande dessinée de science-ficition américaine ». Bien plus universitaire que celui de J-P Gabillet et plutôt diificle à lire. On y parlait aussi bien de l’underground (Corben, Vaugh Bodé, Jones) que du mainstream.
Bien que possédant la première édition de « Comics USA » (son cahier couleurs me faisait rêver à l’époque), je vais me procurer celle-ci.
Merci Capitaine pour ce commentaire complétif bienvenu. Oui, en effet, il y avait d’autre revues spécialisées dans ces années là et je connais ces titres, bien que je n’ai jamais eu en main un « Comics 130″, et je le regrette. ils se font rares aujourd’hui. Pour Aredit, on est bien d’accord, mais c’était un raccourci pour dire qu’il y avait une vie en kiosque en dehors de Marvel. Je n’ai pas souhaité trop développer afin de ne pas sortit de l’objet de ma chronique non plus. Sinon, je partais sur un essai Néanmoins, il faut bien « rendre à Cesar »… Pour le livre « la Bande dessinée de Science-fiction américaine », j’ai souhaité l’acquérir il y a peu pour compléter ma collection et mes données, mais pas encore fait. De plus, votre avis ne me motive qu’à moitié du coup. Merci de ces ajouts et au plaisir !
L’idée aussi était d’évoquer les débuts des critiques et articles sur les comics de l’âge de bronze et du renouveau du début des années quatre-vingt, qui ont bien chamboulé le médium. Les revues que vous citez (début ou milieu années 70) abordaient quand-même pas mal le comics sous sa forme (encore) assez « classique » des années 30-40, mis à part certains articles mettant en avant les mouvements underground de l’époque, tels les artistes Vaugh Bodé, Neal Adams… J’ai souhaité faire davantage ressortir l’esprit des années quatre-vingt, et le travail (entre autre) de Special USA ou de Spot BD, car ces chroniques régulières de la scène US ou anglaise alors en pleine effervescence (Frank Miller, Mazzuchelli, Dave Sim, Dave Gibbons, Alan Moore…) n’avaient alors quasiment pas de concurrents. Ces chroniques ont permis à de nombreux lecteurs de suivre les parutions d’auteurs devenus cultes depuis ces années là. Il s’agit à mon avis d’une période transitoire que le livre de Marc Duveau permet de faire ressortir, mais un autre élément que je souhaite mettre en avant à l’occasion, est le film « Comic Book Confidential » de Ron Mann sorti en 1988. J’y reviendrai longuement plus tard.
N’oublions pas aussi les fanzines « Scarce » depuis 1983, « Swof » (1990) et « Back Up », (1998) qui ont fait du très bon travail.
Ma bible, depuis 1994 (trouvé, à 17 ans, dans le bac d’occasions, lors d’un de mes tous premiers festivals de BD). Lisible, étonnamment accessible, même pour un public non spécialiste (ce que j’étais à l’époque). Comics USA, ou comment associer clarté, passion, et analyse : Une révélation.
La nouvelle maquette, les quarante années d’actualisation valent 100 fois d’en refaire l’acquisition.
Marc Duveau : 100 fois copié, jamais égalé.
Merci, Franck !
De rien Laurent, et merci à toi de ce commentaire témoignage Oui, c’est un bel ouvrage, qui vaut le coup et Mr Duveau valait bien un (petit) hommage. Je l’ai pour ma part lu avec passion et envie dans les pages de Metal Hurlant, ou dans certaines éditions Publicness ou Triton.
H&M fait très fort dans les livres d’études sur les comics, j’ai vu hier en librairie un passionnant Super-War , consacré à la lutte entre DC et Marvel, depuis plus de cinquante ans, pour la suprématie super-héroïque.
Merci Michel. un livre paru apparemment fin janvier dans la collection « Fantask » de chez Huggin & Munnin (cf Amazon). Je n’en ai même pas entendu parler. Comme quoi
C’est vrai que cet éditeur au nom américain est très discret sur ses parutions. Pour l’instant on trouve notamment ce livre dans certaines Fnac. Et Cecil MacKinley en parle en bien dans le prochain ZOO!
Michel, j’ai lu le dernier Zoo #64 mais n’ai rien trouvé malheureusement. Dommage…
Comme précisé, c’est dans le prochain ZOO, actuellement chez l’imprimeur, qui sort la semaine prochaine pour Livre Paris, nouvelle appellation plus branchée du Salon du Livre. Vous trouverez parfois ma signature dans cette revue gratuite aussi intéressante que bien des payantes. Et si je ne participe plus à Scarce, cette revue d’études sur les comics continue.
Merci Franck pour ces réponses très complètes.
Je suppose que « Super-War » est la « traduction » de « Slugfest » de Reed Tucker (on remplace un titre anglais par un autre !), que j’ai lu l’année dernière en VO. Il complète très bien « Marvel Comics, the untold story » de Sean Howe, paru il y a quelques années et passé inaperçu en France, bien qu’édité par Panini. Il faut dire que la firme américaine n’en sort pas grandie. On peut d’ailleurs se demander pourquoi c’est Panini (propriété de Marvel) qui a sorti le livre en France et non un éditeur indépendant comme ce fut le cas aux Etats-Unis.
Les deux ne comportent d’ailleurs aucune image et c’est très bien ainsi.
C’est très simple, panini n’est plus une filiale de Marvel US depuis vingt ans environ! Donc ils publient des mangas, du DC et du Valiant (ça, c’est le passé, d’autres éditeurs ont repris les contrats) ) de l’Image, et du matériel indé, comme le livre de Sean Howe. Ces livres sont copieux (une dizaine d’heures de lecture), bourrés d’informations, et passionnants: cela se lit comme un roman. Pas d’image pour des questions de droits, mais cela leur permet d’être proposés à un prix raisonnable.
Je pourrai au mot près copier ce qu’à indiqué Mr Lefeuvre – Tout pareil – trouvé il y a plus de 35 ans ce livre que j’ai également relu de nombreuses fois et m’a permis notamment ensuite de chiner dans les bacs pour trouver des Hawk and Dove ou Question de Ditko
J’ai également sauté dessus lorsque j’ai vu la nouvelle édition que je vais aborder après avoir fini les 10 BD ou monographies déjà achetées et pas encore lues
Ne pas oublier dans vos éloges tous les fanzines comme Scarce qui ont bien complétés toutes nos connaissances
On est tous en retard de lectures je crois Pour Scarce, ce fanzine incontournable a été abordé dans un de mes précédents commentaires. Dur de parler de tout le monde dans une (simple) chronique. Merci du votre (commentaire) en tous cas.
Pour tous les amateurs de comics, les éditions NEOFELIS éditent un excellent fanzine de plus de 150 pages : « Comics Signatures » : https://www.neofelis-editions.com/culture-comics/comics-signatures-n-2/#cc-m-product-10029697852
Et de très bons albums axés sur le patrimoine de la Bande Dessinée américaine.
Merci Lionel de rappeler l’existence de ce fanzine assez luxueux, aux éditions plutôt limitées, très professionnel, et assez jeune ceci dit Je confirme qu’il est néanmoins particulièrement intéressant et sa maquette très agréable.