En 2019, la romancière Bérengère Cournut publie « De pierre et d’os » : un récit polaire (et « solaire », dixit l’éditeur) qui reçoit le prix du roman Fnac 2019, ainsi que le prix Libr’à nous 2020. Bérengère Cournut nous y invitait à suivre Uqsuralik : une jeune Inuit contrainte à errer avec son chien Isakuk pour survivre sur la banquise arctique, après moultes mésaventures …
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Denise Millet emportée par le Covid-19…
« Pic et Pik », vous vous souvenez ? Ces deux jumeaux espiègles, mais oh combien attachants, sont aujourd’hui orphelins. Leur créatrice dans Astrapi, Denise Millet, est à notre connaissance la première dessinatrice victime du virus diabolique qui n’épargne pas le monde de la bande dessinée.
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Il serait criminel de passer à côté de « Sale Week-end »…
La série « Criminal » de Ed Bubaker et Sean Philips porte bien son nom et fait le bonheur des amateurs de polars. Ce « Sale Week-end », promit en titre, est une histoire complète se déroulant dans l’univers de la série. Néanmoins, il n’y a pas vraiment besoin d’avoir lu les autres titres pour apprécier cette histoire à part : une très belle mise en abîme dans le monde du comics, qui n’est clairement pas si rose, malgré le ton dominant de la couverture.
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Adieu la minijupe, bonjour le féminisme !
Quand on pense au catalogue de Soleil Manga, le mot féminisme ne vient pas forcément en tête immédiatement. Pourtant, « Sayonnara Miniskirt » est bien un pamphlet qui remet le débat du rôle des femmes-objets au goût du jour. Entre le groupe d’idoles sympathiques et une jeune fille effrayée au simple fait d’être en présence d’un homme, il y a un grand écart que ce manga n’hésite pas à mettre en lumière.
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Guerre froide sur les chapeaux de roue !
En 1956, en pleine guerre froide, Paris connait une présence russe indéniable, un milieu politique où s’affrontent, d’un côté, les Russes Blancs (des tsaristes) et, de l’autre, des Russes communistes. C’est dans ce contexte que, dans « L’Écho de la Taïga », Jacques Gipar enquête sur un mystérieux enlèvement…
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Encore plus dangereuses que le coronavirus, les sorcières veulent faire disparaître tous les enfants dans « Sacrées Sorcières » : l’adaptation du roman de Roald Dahl par Pénélope Bagieu…
Le premier livre qui traumatise la toute jeune, huit ans, Pénélope Bagieu, est le roman de Roald Dahl : « Sacrées Sorcières ». Elle y découvre une cheffe sorcière terriblement effrayante, la volonté de faire disparaitre tous les enfants et des événements vraiment dramatiques. Ravie d’avoir été ainsi terrifiée, l’autrice à succès adapte librement le livre, 30 ans plus tard, dans un superbe album jeunesse d’une grande richesse.
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De nouvelles propositions d’éditeurs face au confinement…
Depuis le début du confinement, différentes propositions sont offertes afin de rendre cette période moins difficile. Éditeurs, dessinateurs ou structures vous proposent gratuitement des solutions pour tous. Nous vous présentons, entre autres, les initiatives de la revue Les Rues de Lyon et du journal Biscoto.
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Les Serial Killers sont réunis chez Glénat : une collection pour traquer les origines du mal !
En janvier 1989, à la veille de son exécution capitale en Floride, Ted Bundy était devenu le tueur en série le plus célèbre des États-Unis. Surnommé Lady Killers par les médias et la presse à sensation, il avait alors abandonné dans son sanglant sillage plus d’une trentaine de victimes, pour la plupart enlevées, violées et assassinées entre 1973 et 1978. Revenant sur son parcours et inaugurant une collection Glénat dédiée aux serial killers d’hier et d’aujourd’hui, le criminologue Stéphane Bourgoin et le scénariste Jean-David Morvan tentent de comprendre l’innommable : si l’homme ordinaire n’est en général pas un monstre, comment savoir ce qui a pu déclencher le terrible passage à l’acte ? En résumé, et pour rejoindre cette énigme posée de tous temps à l’humanité : où se trouve l’origine du mal ?
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« Stella » : la fin d’un roman… le début d’une histoire, mais surtout une très belle BD de Cyril Bonin sur la création, l’identité, et la place de l’auteur…
Taylor Davis, écrivain new-yorkais, est en train de terminer son nouveau livre : le récit d’un couple situé dans les années cinquante et dont l’héroïne, déçue par son conjoint et qui s’interroge sur sa vie, se prénomme Stella. Or, cette dernière va littéralement entrer en communication avec lui par claviers interposés et finir par apparaître, chez lui, au moment même où il écrit le mot fin… Mais comment un personnage de fiction pourrait-il vivre au sein du monde réel, qui plus est dans une époque qui n’est pas la sienne ?
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Restons Vaillant lors du confinement !
Les lecteurs de comics, comme à peu près tout le monde, se retrouvent confinés actuellement, afin de lutter contre un virus mortel. Ce scénario qui pourrait être tiré d’une bande dessinée est en fait bien réel. Afin de s’occuper, pourquoi ne pas relire les titres déjà achetés ou découvrir de nouvelles créations sans bouger de chez soi ? C’est ce que proposent les éditions Bliss, en offrant plus de 600 pages de leur catalogue gratuitement, sous forme de PDF téléchargeables.
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L’adolescence : une période difficile pour ceux qui sont différents…
« Shino ne sait pas dire son nom », nouveau récit complet plein d’émotion de Shuzo Oshimi (l’auteur de deux autres mangas sur le mal-être des adolescents déjà publiés en France sous les titres « Les Fleurs du mal » et « Les Liens du sang »), porte bien son titre. Malheureusement, ce handicap va faire de Shino la risée de ses camarades : les jeunes pouvant être réellement intolérants entre eux, dès que l’autre est un peu différent.
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