Les amateurs de son œuvre le savent bien : Jacques Tardi est un boulimique de travail qui dessine matin, midi et soir. Or, « Dessins matin, midi et soir », c’est le titre d’un beau petit recueil édité par Oblique Art (structure dirigée par Pierre-Marie Jamet) qui nous propose pas moins de 160 pages rassemblant des illustrations réalisées par le créateur d’« Adèle Blanc-Sec », sélectionnées dans les nombreux carnets qu’il a noircis (voire mis en couleurs) tout au long de sa remarquable carrière d’auteur du 9e art : croquis, études de personnages… et même courtes bandes dessinées iconoclastes inédites.
Lire la suite...Le Tarzan d’après-guerre (1ère et 2ème série) : troisième et dernière partie
Dans le cadre de nos études des revues éditées par Cino Del Duca après-guerre (voir Cino Del Duca : de la presse du cœur à la BD…), voici la suite et la fin de la reprise réactualisée — et réadaptée en trois parties pour BDzoom.com — d’un article de Michel Denni publié dans les n° 91 et 92 du Collectionneur de bandes dessinées, datés de l’été et de l’hiver 2000. Pour consulter les deux premières parties, cliquez ici Le Tarzan d’après-guerre (1ère et 2ème série) : première partie et ici Le Tarzan d’après-guerre (1ère et 2ème série) : deuxième partie !
Nous avons vu, dans la précédente partie de ce dossier, que par peur de la censure et, surtout, par crainte d’être privé de ces avantages financiers, Cino Del Duca a préféré interrompre la première série du Tarzan d’après-guerre en la faisant fusionner avec L’Intrépide 2ème série (voir aussi L’Intrépide, un hebdomadaire classique [deuxième partie]).
Mais il ne s’agit que d’un premier adieu à Tarzan, car onze mois plus tard, il ressort une nouvelle série, le 28 mars 1953, sur 12 pages tout en couleurs. La bande quotidienne du « Tarzan » de Bob Lubbers occupe trois pages avec une histoire de pirate suivi d’un affrontement avec la reine de Saba.
Malheureusement, la qualité du graphisme varie d’un strip à l’autre : des passages soigneusement travaillés succédant à d’autres à peine esquissés dus à quelques assistants médiocres.
Au n° 19, débute la bande hebdomadaire de Bob Lubbers où Tarzan découvre des Incas en Afrique…
Mais le journal passe en petit format au n° 25 et les planches se retrouvent sabotées par les coupures et les couleurs.
René Giffey et Alexandre Dumas
Cette fois, c’est Alexandre Dumas qui remplace Victor Hugo dans les adaptations de René Giffey. Dès le n° 1, sort « Le Comte de Monte-Cristo » déjà publié en 1941-1942 dans L’Aventureux et L’Audacieux. Au n° 7, c’est au tour des « Trois Mousquetaires » de paraître.
Une première version était sortie en 1942-1943 dans l’hebdomadaire, puis bimensuel Les Belles Aventures, mais plus proche de l’histoire en image, sans bulle, avec un texte explicatif sous chaque vignette commentant l’action.Â
Ici, tout est redessiné par l’auteur : les personnages s’expriment par phylactères et la voix off est réduite au minimum.
Parallèlement, Giffey a aussi créé au n° 1, toujours dans ce Tarzan 2ème série, « Jean Bart, le lion des mers » sur scénario de Fabien Richelmy. Avec « Buffalo Bill » qui continue dans L’Intrépide 2ème série (voir toujours L’Intrépide, un hebdomadaire classique [deuxième partie]), il livre donc jusqu’à quatre planches par semaine pour les productions Del Duca. Et toujours sans jamais bâcler, avec le talent d’un artiste de grande classe auquel nos braves censeurs restent évidemment totalement imperméables en cette année 1953.
« Pour l’Honneur !… », à nouveau
« Duck Hurricane », qui débute aussi en ce premier numéro, est un western italien créé en 1951 sous le titre « Bufalo Bill » (avec un seul f) dans l’hebdomadaire Il Intrepido par Carlo Cossio, sur scénario de Luigi Grecchi.
Le graphisme est d’une médiocrité confondante (décors bâclés, personnages en poses rigides, ellipses quasi inexistantes, etc.) et le scénario est d’une rare mièvrerie. Lorsqu’on fait le parallèle avec le « Buffalo Bill » de René Giffey paraissant alors dans L’Intrépide 2ème série, c’est un peu comme comparer le château de Versailles avec une cabane à lapins.
L’interminable saga se continuera dans Hurrah ! 2ème série, puis dans L’Intrépide-Hurrah !, jusqu’en 1962 (voir Le Hurrah ! d’après-guerre… [première partie] et Le Hurrah ! d’après-guerre… [deuxième partie]).
« Pour l’honneur !… » de Rémy Bourlès, que nous avons laissé au n° 293 de la première série de Tarzan, s’est poursuivi sur quelques numéros dans L’Intrépide 2ème série (n° 132 à 135) ; voir encore et toujours L’Intrépide, un hebdomadaire classique [deuxième partie]. Il revient au n° 1 de ce nouveau Tarzan, avec un épisode d’espionnage antinazi qui démarre en Suisse en 1943, puis se déroule à travers l’Europe. Le scénario de Prado est rempli de passionnants rebondissements et le graphisme de Rémy Bourlès reste toujours empreint de finesse et d’élégance. La série se continuera dans Hurrah ! 2ème série jusqu’en 1957 démontrant (comme pour le « Buffalo Bill » de Giffey) que quantité et qualité ne sont pas forcément antinomiques dans la bande dessinée-feuilleton, contrairement à ce que pourrait laisser croire le « Duck Hurricane » cité plus haut.
Robin des Bois et Nat devenu Yann
Toujours en ce premier numéro, Robin des Bois, le Saxon en révolte imaginé par Walter Scott, est de retour, lui aussi, toujours sous le crayon de Jacques Souriau.
Nous l’avions abandonné dans sa forêt de Sherwood en mars 1949 dans la première série de Tarzan.
La bataille d’Hasting ayant livré les îles britanniques aux Normands, la guerre de partisans ne s’arrête plus en ces débuts du XIIe siècle, toujours sur scénario de Renaud Fontenay ; et en page tout en couleurs, ce qui n’ajoute rien au talent de Souriau plus à l’aise dans le noir et blanc.
L’épopée se continuera, elle aussi, en feuilleton BD dans Hurrah 2ème série jusqu’en mai 1959 (voir Le Hurrah ! d’après-guerre… [première partie]). À noter qu’à partir de juillet 1958, « Robin des Bois » sera réédité en petit format dans Crack, puis Creek.
Enfin, terminons l’évocation de ce premier numéro avec la réapparition de « Nat de Santa-Cruz » sous le nom de « Yann, mousse du Goëland ».
Il était passé, lui aussi, dans L’Intrépide 2ème série après la fin de Tarzan 1ère série (voir L’Intrépide, un hebdomadaire classique [deuxième partie]) et y était resté jusqu’au n° 156 d’octobre 1952 (1).
Il est question, dans cet épisode, de la participation à un tour du monde sur mers certes, mais aussi sur terre et dans les airs avec l’envolée du héros à bord d’un ballon sphérique, puis de démêlés en Afrique lors de la guerre des Boers.
Le scénario de Giacomo Dalmasso reste toujours riche en suspense et le graphisme de Ferdinando Tacconi d’excellente facture.
La bande se poursuivra dans Hurrah 2ème série jusqu’en octobre 1955 et sera reprise dans le petit format Djinn en 1958-1959.
Au n° 25, le 12 septembre 1953, le journal double son nombre de pages et passe de 12 à 24, mais c’est au détriment de la superficie qui tombe de moitié, en format moyen.
Cinq nouvelles bandes font leur entrée, mais l’hebdomadaire n’a plus que six semaines à vivre.
« Don Winslow », déjà rencontré à la fin de la série précédente de Tarzan, a continué jusqu’en mai 1952 dans L’Intrépide 2ème série (voir L’Intrépide, un hebdomadaire classique [deuxième partie]).
Il revient, soi-disant dépositaire d’un important secret, sur le vaisseau amiral Alabama qui dirige de grandes manœuvres dans le Pacifique. L’épisode, une banale affaire d’espionnage, s’arrête au bout de six numéros.
Autre bande, en ce n° 25 : « Chandra, prince royal ». Héros indien, aux longs cheveux blonds, Chandra est le principal protagoniste d’une série-fleuve italienne (« Chiomadoro, il principe del Sogno ») qui a débuté en 1952 dans l’hebdomadaire Il Intrepido. Ici, il est encore enfant et l’ami de la tigresse Tana qui va le sauver des flammes. Plus tard, pilote de chasse, il combattra les Japonais durant la Seconde Guerre mondiale, déjouera moult conspirations de retour dans son palais, accompagné de sa fiancée Zaïra, de son tigre Marana, et chevauchant son cheval blanc Sciabar. Cette vision très hollywoodienne de l’Inde est dessinée avec un certain talent par Erio Nicolò et scénarisée par le spécialiste en mièvrerie Luigi Grecchi. Les aventures de Chandra vont se poursuivre, interminables, dans Hurrah ! 2ème série, L’Intrépide-Hurrah ! (voir Le Hurrah ! d’après-guerre… [première partie] et Le Hurrah ! d’après-guerre… [deuxième partie]), puis Mireille jusqu’en 1964 : voir Mireille, un hebdomadaire pour le lectorat juvénile féminin… (quatrième et dernière partie).
Toujours en ce n° 25, commence une série de science-fiction américaine : « Terres jumelles » (« Twin Earths »), dessinée par Alden McWilliams sur scénario d’Oscar Lebeck. Elle a été créée en bande quotidienne en 1953 et distribuée par United Feature Syndicate. Les habitants de Terrabella ont conquis l’espace bien avant les Terriens et visitent notre planète en soucoupes volantes peuplées de jolies filles. Les décors appartiennent à la panoplie futuriste des années 1950. Les commentaires des sémillantes extraterrestres sont empreints de didactisme et d’humour potache. Alden McWilliams (1916-1993) a débuté dans l’illustration des pulps en 1935, avant de travailler dans les comics books de science-fiction avec « Space Cadets », « Stratosphère Jim », « Flash Gordon », etc. ou de guerre : « Spitfire », « Captain Flag », etc. Honnête artisan de la BD, il dessinera aussi « Star Trek », des strips de « Buck Rogers » et deviendra l’un des assistants de John Prentice pour « Rip Kirby ». « Twin Wars », qui reste son œuvre la plus personnelle, se continuera en France dans Hurrah ! 2ème série jusqu’en janvier 1954 (voir Le Hurrah ! d’après-guerre… [première partie]), reviendra dans Fantasia en 1960-1961, avant de se terminer aux États-Unis en 1963. Quelques pages seront aussi proposées dans Johnny en 1970, dans Rétrospective BD en 1978, et dans un album confidentiel [99 exemplaires] proposé par Le Cousin Francis dans sa collection Spatialen 2008.
Une bande animalière comique, « Francis le mulet qui parle », apparaît aussi en ce n° 25 de septembre 1953, distribuée aussi par United Feature Syndicate.
Son auteur, Cliff Rogerson, totalement inconnu des encyclopédies de bandes dessinées, tant américaines que françaises, doit de ne pas avoir sombré dans l’anonymat grâce à la précaution qu’il a prise de signer lisiblement chacune de ses planches.
Ces aventures d’un mulet irascible et de son maître (qui ressemble à Laurel) dans les studios de la télévision ne sont pas dénuées d’intérêt et, à raison de deux planches couleurs par numéro, amusèrent les jeunes lecteurs de cette fin de Tarzan, avant de passer dans Hurrah ! (voir encore Le Hurrah ! d’après-guerre… [première partie]) !
Toujours en ce n° 25 paraît « Le Capitaine Gordon », une bande quotidienne créée en 1935 dans The Brooklyn Daily Eaglepar John Hales pour le dessin et Bob Moore pour le scénario, sous le titre « Gordon Fife and the Boy King » qui deviendra « Gordon Soldier of Fortune ». Gordon Fife est un aventurier américain qui résout des intrigues à la cour du royaume de Kovnie en Europe Centrale, dans une atmosphère rappelant beaucoup le « Prisonnier de Zenda », le roman d’aventures d’Anthony Hopes. Précisons que la bande fut reprise en planche du dimanche par Carl Pfeufer, avec le même scénariste, en août 1940.
Aux n° 29 et 30, alors que la fin du journal approche, la direction propose deux histoires complètes : « Les Ailes de la gloire » (n° 29) et « Prisonniers de la Terre » (n° 30). Au n° 30, grande innovation ! Grâce à des lunettes bicolores jointes au numéro, on peut voir en relief « Don Winslow », « Pour l’honneur », « Yann mousse du Goéland », « Le Comte de Monte-Cristo » et « Le Capitaine Gordon », en ayant soin de bien placer le vert devant l’œil droit et l’orangé devant l’œil gauche.
La seconde mort de Tarzan
Mais l’existence de l’hebdomadaire est à nouveau remise en question en cette rentrée 1953. Les pressions de la Commission de surveillance s’intensifient.
Raoul Dubois, dirigeant des Francs et Franches Camarades, mène l’offensive et s’acharne particulièrement contre Tarzan.
Il considère lors de la séance du 28 mai 1953 « que la presse enfantine devient de jour en jour de plus en plus nocive » et est rejoint par le député démocrate-chrétien Lacaze pour qui « la reparution de Tarzan ne peut être ressentie par la Commission que comme un camouflet ». On laisse entendre que le journal ne pourra survivre qu’en supprimant définitivement les aventures de l’homme-singe et en changeant de titres.
La colère des commissaires est aussi réactivée par leur impossibilité à faire aboutir des poursuites judiciaires contre le récit complet Tarzan. En refusant de lancer des poursuites à son encontre, le ministère de la Justice a, en fait, étroitement délimité le pouvoir d’intervention de la Commission, note Thierry Crépin (2).
D’ailleurs, nos censeurs, aussi hypocrites que prudents, connaissent parfaitement les limites à ne pas franchir : ils n’ont jamais mis en cause, par exemple, les albums « Tarzan » publiés par Hachette, certes plus aseptisés, mais tout autant dédiés au mythe de l’homme-singe.
De plus, Cino Del Duca, qui vient d’être nommé chevalier de la Légion d’honneur par l’un des principaux dirigeants de la IVe République, Georges Bidault, reste un personnage bien en cour.
Parallèlement, le tirage de cette nouvelle série de Tarzan est tombé de 250 000 exemplaires par semaine au n° 1 du 28 mars 1953 à 185 000 au printemps 1953. Car depuis l’année précédente, c’est L’Intrépide 2ème série qui a le vent en poupe, grâce évidemment à la première disparition de Tarzan qui l’a fait passer, en mai 1952, de 112 700 à 246 000 exemplaires.
On comprend, dès lors, que Cino Del Duca, avant tout homme d’affaires avisé, plus intéressé par la courbe ascendante des tirages de ses publications que par la défense d’un « mythe humilié », ait finalement préféré éviter un conflit avec la Commission, même avec pas mal de chances de gagner. Le 24 octobre 1953, il change le nom du journal qui devient Hurrah !, le n° 1 de cette publication se confondant avec le n° 31 et dernier de Tarzan 2ème série. Toutes les bandes, excepté celle de l’homme-singe, se continueront dans ce nouvel hebdomadaire (voir encore et toujours Le Hurrah ! d’après-guerre… [première partie]) !.
Il n’en reste pas moins que, même indirectement, la sottise, l’ignorance et les préjugés ont finalement obtenu gain de cause. L’une des publications destinées à la jeunesse, parmi les plus captivantes de l’immédiate après-guerre, disparaît, vilipendée par des esprits haineux et rétrogrades se réclamant d’une morale étriquée et de méthodes d’éducation datant au mieux du Second Empire. Cette attitude, écrit Francis Lacassin, « appartient à des gens qui n’ont pas connu d’enfance ; et il n’est rien de plus tyrannique ni de plus digne de pitié que des adultes n’ayant pas connu l’enfance ».
Heureusement, les inquisiteurs périssent souvent sur les bûchers qu’ils ont allumés. Il fallut moins d’une décennie pour qu’un vaste mouvement de protestations stigmatise les préjugés et les goûts « artistiques » surannés de certains maîtres à penser, et parviennent enfin à réhabiliter Tarzan et la bande dessinée en tant qu’art cinétique, 9e du nom, à la face effarée des censeurs.
Michel DENNI
Mise en pages et mise à jour du texte : Gilles Ratier
(1) À propos des bandes passant de Tarzan 1ère série à L’Intrépide 2ème série à partir du n° 293/131, voir notre étude sur cette dernière publication et le tableau synoptique, in Le Collectionneur de bandes dessinées n° 31.
(2) In « Haro sur le gangster ! La presse enfantine entre acculturation et moralisation (1934-1954) » par Thierry Crépin, thèse de doctorat d’histoire 1999.
TABLEAU SYNOPTIQUE
TITRE | DURÉE | AUTEURS | GENRE | PAYS |
 |  | 2ème SÉRIE | ||
Tarzan | n° 1 (28-03-53) à 31 (24-10-53) | Bob Lubbers | aventures exotiques | U.S.A. |
Le Comte de Monte-Cristo | n° 1 (28-03-53) à 31 (24-10-53) | René Giffey (d’après Alexandre Dumas)(suite dans Hurrah ! 2ème série) | aventures romantiques | FRANCE |
Les Trois Mousquetaires | n° 7 (09-05-53) à 31 (24-10-53) | René Giffey (d’après Alexandre Dumas)(suite dans Hurrah ! 2ème série) | aventures historiques de cape et d’épée | FRANCE |
Jean-Bart, le lion des mers | n° 1 (28-03-53) à 31 (24-10-53) | René Giffey (sc. Fabien Richelmy)(suite dans Hurrah ! 2ème série) | aventures maritimes | FRANCE |
Duck Hurricane (Bufalo Bill) | n° 1 (28-03-53) à 31 (24-10-53) | Carlo Cossio (sc. Luigi Grecchi)(suite dans Hurrah ! 2ème série) | western | ITALIE |
Pour l’honneur !… | n° 1 (28-03-53) à 31 (24-10-53) | Rémy Bourlès (suite dans Hurrah ! 2ème série) | aventures militaires | FRANCE |
Robin des Bois | n° 1 (28-03-53) à 31 (24-10-53) | Jacques Souriau (sc. Renaud Fontenay)(suite dans Hurrah ! 2ème série) | aventures médiévales | FRANCE |
Yann, mousse du Goëland (Nat del Santa Cruz) | n° 1 (28-03-53) à 31 (24-10-53) | Ferdinando Tacconi (sc. Giacomo Dalmasso)(suite dans Hurrah ! 2ème série) | aventures maritimes | ITALIE |
Don Winslow | n° 25 (12-09-53) à 30 (17-10-53) | Leon A. Beroth (sc. Frank V. Martinek) | aventures militaires, maritimes et de science-fiction | U.S.A. |
Chandra, prince royal (Chiomadoro, il principe del Sogno) | n° 25 (12-09-53) à 31 (24-10-53) | Erio Nicolò (sc. Luigi Grecchi) (suite dans Hurrah ! 2ème série) | aventures exotiques | ITALIE |
Terres jumelles (Twin Earths) | n° 25 (12-09-53) à 31 (24-10-53) | Alden McWilliams (sc. Oskar Lebeck) (suite dans Hurrah ! 2ème série) | science-fiction | U.S.A. |
Francis, le mulet qui parle | n° 25 (12-09-53) à 31 (24-10-53) | Cliff Rogerson (suite dans Hurrah ! 2ème série) | aventures humoristiques et animalières | U.S.A. |
Le Capitaine Gordon (Gordon, Soldier of Fortune) | n° 25 (12-09-53) à 31 (24-10-53) | John Hales (sc. Bob Moore) (suite dans Hurrah ! 2ème série) | aventures policières | U.S.A. |
Salut, me semble reconnaitre quelques « emprunts » notamment l’image du buvard….La bise
Oulah ! Toutes mes excuses Fabrice, grâce à ton intervention, je me rend compte que la note habituelle des remerciements de rigueur aux divers sites à qui nous avons empruntés quelques images est passée à l’as !
Donc remerciements tardifs, mais sincères, aux sites http://conchita.over-blog.net et http://m-bd.over-blog.com.
Vraiment désolé, c’était pourtant prévu, je ne sais ce qui s’est passé !
La bise et l’amitié
Gilles