Depuis 2021, chaque année, Tiburce Oger rassemble une belle équipe de dessinateurs et dessinatrices pour évoquer l’Ouest américain à travers des personnages authentiques – le Far West, donc – et l’exploitation de ces territoires par des individus qui oubliaient, bien souvent, qu’ils n’étaient que des colonisateurs assoiffés de richesses…
Lire la suite...SPIROU: 4 OCTOBRE 2000
Spirou (Super Poilant Irresistiblement Rigolo : Ouverture Urgente, annonce la couverture) n°2360 ouvre ses pages à Oscar, un nouveau personnage créé par Lapière (texte) et Durieux (dessin),dans un graphisme plus proche de Benito Mambo (publié en solo chez Les Humanos l’an dernier) que d’Avel (Glénat, scénario de Dufaux) ou de Foudre (Le Lombard, scénario de Delisse), pour citer les précédentes œuvres du dessinateur.
Spirou (Super Poilant Irresistiblement Rigolo : Ouverture Urgente, annonce la couverture) n°2360 ouvre ses pages à Oscar, un nouveau personnage créé par Lapière (texte) et Durieux (dessin), dans un graphisme plus proche de Benito Mambo (publié en solo chez Les Humanos l’an dernier) que d’Avel (Glénat, scénario de Dufaux) ou de Foudre (Le Lombard, scénario de Delisse), pour citer les précédentes œuvres du dessinateur.
Les quatre pages initiales de la première aventure de ce jeune personnage nous font découvrir un enfant des rues à l’imagination et à l’énergie débordante, dont le lecteur apprendra un peu plus tard qu’il s’est enfui d’un centre d’accueil.
Denis Lapière est décidément à l’honneur de ce numéro daté du 4 octobre 2000 puisque le magazine belge poursuit la prépublication du nouveau Charly, « Messages d’Outre temps », à paraître prochainement dans la collection Repèrages. Charly y apparaît plus agé que dans les épisodes précédents, mais toujours aussi « visionnaire ».
Une autre série de la même collection, le nouveau Kogaratsu (Bosse et Michetz) , « La stratégie des Phalènes » figure également au sommaire de l’hebdomadaire. Quelques planches de Jojo, le héros de Geerts toujours aussi attachant, complètent, avec « La chance de Sébastien », la partie des récits à suivre, que l’on peut qualifier de « haut de gamme » sans risquer de se tromper.
Que du bon également du coté des gags en une ou plusieurs planches. Constatez plutôt : Le boss (Bercovici et Zidrou), L’agent 212 (Kox et Cauvin), Mélusine (Clarke et Gilson), Garage Isidore (Olis et … Gilson), Cactus club (Bercovici et … Gilson !), Pierre Tombal (Hardy et … Cauvin) , Kid Paddle (Midam),…
A noter une étonnante et régulière demi page signée Thiriet, intitulée « Le figurant » qui n’est pas sans rappeler l’Elan de Frank, qui sévissait sur le même format et dans le même magazine au début des années 80. Quant aux histoires complètes, le numéro est agrémenté d’un amusant « Wondertown », signé Féroumont et Vehlmann, où il est question avec humour d’une maison hantée, ainsi que d’un « Universalité », récit de science fiction humoristique, de Kélilan et Janssens, au graphisme et au scénario beaucoup moins convaincants.