Elle aime regarder le ciel étoilé depuis les toits de Paris et, pourquoi pas, la constellation dont elle porte le nom : Cassiopée. Cette jeune fille bien dans sa peau fait preuve d’une grande empathie avec ses camarades du lycée Carnot, qu’elle vient d’intégrer. Elle cache bien sa deuxième vie plus aventureuse : cambrioleuse sur commande avec son frère aîné. Ses escapades nocturnes se révèlent bien plus dangereuses qu’elle ne le soupçonnait…
Lire la suite...Les femmes en blanc : Si le coeur vous en dit
Le début : Si le cœur vous en dit, et surtout s’il est bien accroché, entrez découvrir le service des urgences du docteur Minet. Ici, chaque cas est particulier. Entre les victimes des apprentis sorciers de l’auto-médication, les grands nerveux …
Le début : Si le cœur vous en dit, et surtout s’il est bien accroché, entrez découvrir le service des urgences du docteur Minet. Ici, chaque cas est particulier. Entre les victimes des apprentis sorciers de l’auto-médication, les grands nerveux rongés par des ulcères et les jardiniers maladroits qui entaillent mieux leurs voisins que leurs haies, chaque malade mériterait d’entrer dans le livre des records des absurdités médicales si un tel ouvrage existait…
Notre avis : Une « femme en blanc », c’est une infirmière. Et elle n’a pas toujours la vie facile. Enfin, il vaut mieux en rire. C’est donc avec humour, parfois désabusé mais toujours féroce, tant dans le récit, signé Raoul Cauvin, que dans le dessin, assuré avec expressivité par Philippe Bercovici, que les auteurs ont choisi d’apporter leur contribution à la compréhension du quotidien des infirmières, du monde hospitalier à leur vie de famille (développées en histoires courtes pour Spirou depuis le n°2240 du 19 mars 1981, Les Femmes en blanc sont reprises en recueils par les éditions Dupuis à partir de 1986, à raison d’un ou deux volumes par an). LT
Editions Dupuis – 8,20€