Dans le cinquième volume de ses aventures, « Le Grimoire d’Elfie T5 : Les Reflets de Walpurgis », la jeune Elfie découvre le marais poitevin (entre La Rochelle et Niort) et des festivités réservées aux magiciens et sorcières depuis le temps de la mystérieuse fée Mélusine. Une nouvelle enquête pour la jeune adolescente, avec l’apport non négligeable de son grimoire magique, à l’issue de laquelle elle en aura appris beaucoup sur les dangers contemporains qui guettent cette zone humide remarquable et sa propre famille.
Lire la suite...Sarko Hebdo : des auteurs masqués !
Sous-titré Le journal décomplexé, Sarko Hebdo est un tabloïd, dont la présentation est visiblement inspirée par Charlie Hebdo, d’ailleurs remercié dans l’ours… La présentation aurait de quoi refroidir les éventuels acheteurs, à plusieurs reprises trompés par Satire Hebdo et Hara Kiri : deux magazines pirates, nés après l’attentat contre Charlie Hebdo et lancés par une bande de profiteurs qui, en toute illégalité, ne proposaient ni ours ni signatures des articles. Rien à voir avec ces vautours, Sarko Hebdo est un journal édité par le groupe Steinkis : la structure d’édition créée Moïse Kissous, promoteur du label Jungle !.
Dessinateurs et plumitifs avancent masqués, au fil des articles et dessins proposés dans ces douze pages de format tabloïd.
Simple note d’humour, puisque leurs véritables identités sont dévoilées dans l’Ours figurant en fin de journal : Paul Perdreau dissimule Lewis Tronheim, Zut est le pseudo de Man, R. Péhère est Jim, Jean-Benoît de Laurel est Aurel, Gasp est Gaston, Smat est Alteau, Efcé est Fabcaro, F est Frantico… Que du beau monde !
Inutile de vous dire que le candidat aux élections primaires de la droite est une cible idéale pour cette bande de joyeux lurons, lesquels se défoulent joyeusement au fil des pages de ce soi-disant trimestriel (un rythme bien trop long pour fidéliser les lecteurs), imprimé sur un papier de glacé de qualité.
Gaston, bien connu des amateurs d’humour (notamment chez Vents d’ouest), en est le rédacteur en chef. Réaliser un numéro unique entre copains, c’est sympa, mais auront-ils la persévérance de transformer l’essai et d’en faire un véritable journal avec une périodicité régulière ?
La bonne surprise qu’est finalement ce premier numéro nous incite à le souhaiter.