Elle aime regarder le ciel étoilé depuis les toits de Paris et, pourquoi pas, la constellation dont elle porte le nom : Cassiopée. Cette jeune fille bien dans sa peau fait preuve d’une grande empathie avec ses camarades du lycée Carnot, qu’elle vient d’intégrer. Elle cache bien sa deuxième vie plus aventureuse : cambrioleuse sur commande avec son frère aîné. Ses escapades nocturnes se révèlent bien plus dangereuses qu’elle ne le soupçonnait…
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Lire un article ou une rubrique ayant trait à la bande dessinée dans l’un ou l’autre quotidien national est devenu monnaie courante, mais nous aimons toujours remarquer un travail plus fouillé comme ce « papier » de Olivier Delcroix dans le Figaro du lundi 18 décembre 2000
Tardi à l’honneur dans le Figaro
Lire un article ou une rubrique ayant trait à la bande dessinée dans l’un ou l’autre quotidien national est devenu monnaie courante, mais nous aimons toujours remarquer un travail plus fouillé comme ce « papier » de Olivier Delcroix dans le Figaro du lundi 18 décembre 2000 : « Avec Tardi, sur les pavés du faubourg Saint-Martin ».
Que Jacques Tardi aime le vieux Paris n’est plus un secret pour personne, mais sa dernière adaptation de Léo Malet, l’aventure de Nestor Burma M’as-tu vu en cadavrequi vient de paraître chez Casterman, a donné l’occasion à Olivier Delcroix de le suivre dans les ruelles populaires et souvent tortueuses du Xème arrondissement
Cette promenade a offert à Tardi le plaisir de retrouver les différents coins et recoins où il a réalisé certains repérages pour l’album l’hiver précédent, expliquant au passage que grâce au choix de cette période de l’année « on n’est pas embêté par la frondaison des arbres » !
Ces repérages sont très importants bien sûr, mais pour retrouver les ambiances ou les décors de l’époque il précise son rôle de magicien : « j’étale les clichés sur mon bureau, et là, hop, les McDo disparaissent, les magasins de moto ou d’électroménager deviennent des bistrots »…
« En fait, ajoute-t-il, pour moi, illustrer cette histoire était le prétexte pour une balade dans un quartier triste, une sorte d’errance personnelle et mélancolique . »