Dans le cinquième volume de ses aventures, « Le Grimoire d’Elfie T5 : Les Reflets de Walpurgis », la jeune Elfie découvre le marais poitevin (entre La Rochelle et Niort) et des festivités réservées aux magiciens et sorcières depuis le temps de la mystérieuse fée Mélusine. Une nouvelle enquête pour la jeune adolescente, avec l’apport non négligeable de son grimoire magique, à l’issue de laquelle elle en aura appris beaucoup sur les dangers contemporains qui guettent cette zone humide remarquable et sa propre famille.
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A l’occasion d’un entretien avec l’hebdomadaire financier La Bourse pour Tous (n°8, semaine du 2 au 9 novembre 2000, un article de Pascale Besses-Boumard
Olivier de Bosredon, PDG du parc Astérix, se confie à l’hebdomadaire « La Bourse pour Tous »
A l’occasion d’un entretien avec l’hebdomadaire financier La Bourse pour Tous (n°8, semaine du 2 au 9 novembre 2000, un article de Pascale Besses-Boumard), nous apprenons que la saison 2000 n’a pas été très brillante pour le célèbre parc de loisir, cela en raison d’un mois de juillet catastrophique dû aux conditions climatiques.
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Si la chute de fréquentation est significative, elle n’en paraît pas moins redressable puisque les chiffres indiquent une fréquentation de 1,8 millions de visiteurs pour cette année contre 2 millions l’an dernier. De même, la dépense moyenne par visiteur se tasse aux environ de 80 francs
Pour faire face à cette situation, Olivier de Bosredon envisage « de rénover plusieurs restaurants du parc, d’élargir l’offre des boutiques et d’ouvrir de nouveaux restaurants au concept très moderne », un investissement d’environ 150 millions de francs. « Même si notre clientèle est en progression constante, ajoute-t-il, il faut bien avoir en tête que le parc Astérix ne pourra jamais accueillir plus de 2,5 millions de visiteurs par an, et, précise-t-il, comme nous affichons déjà un total proche des deux millions, la croissance sur ce site est donc limitée ».
Ils regardent donc ailleurs, nous informe l’hebdomadaire, et nous apprenons que la société dirigée par Olivier de Bosredon est actuellement propriétaire de sites comme l’aquarium de Saint-Malo, le musée Grévin à Paris, le complexe France Miniature et le parc de Bagatelle dans le Pas-de-Calais et finalise avec la région Alsace la construction du Bioscope, un complexe de loisir tourné autour de l’homme, la nature et l’environnement.