Dans le cinquième volume de ses aventures, « Le Grimoire d’Elfie T5 : Les Reflets de Walpurgis », la jeune Elfie découvre le marais poitevin (entre La Rochelle et Niort) et des festivités réservées aux magiciens et sorcières depuis le temps de la mystérieuse fée Mélusine. Une nouvelle enquête pour la jeune adolescente, avec l’apport non négligeable de son grimoire magique, à l’issue de laquelle elle en aura appris beaucoup sur les dangers contemporains qui guettent cette zone humide remarquable et sa propre famille.
Lire la suite...LA MORT DE BARA
Né à Riga en Lettonie le 11 juillet 1923, Guy Bara, de son vrai nom Guy Herzog, vient de mourir le 18 juin 2003 d’un arrêt cardiaque à Marseille, au seuil de ses 80 ans.
Guy Herzog était le fils d’un diplomate belge. (c’est ce qui explique qu’il soit né sur les bords de la Baltique, en Lettonie, le 11 juillet 1923.
A la fin de la Seconde Guerre mondiale, il embrasse la carrière de journaliste Rapidement, il se destine au dessin et livre quelques illustrations à différents journaux .Le trait, lui, est déjà très nerveux et le dessinateur a fait le pari de privilégier l’action au détriment du décor à l’instar des cartoonists américains. En 1948, il entame une carrière de caricaturiste à La Dernière Heure. Puis, en 1950, il s’installe à Paris,une longue maladie l’ oblige d’interrompre pendant quatre années ses activités. Il se dirige alors vers la bande dessinée.Publié par France-Soir, Max l’explorateur fait ses premiers pas puis on le retrouve dans les pages du quotidien Le Soir.En 1964, Max devient l’une des stars de Spirou sur des scénarios de Rosy et Vicq.
En 1968, il passe à TintIn, toujours avec le même succès. Dans les années 80 et 90,Max connaîtra, une seconde jeunesse sur de très nombreux écrans de télévision
Toujours pour le magazine Spirou, Bara créera à partir de décembre1963, le personnage de Kéké le perroquet. Bara signera (à partir de 1968) une autre série pour le magazIne TintIn :Monsieur l’éphémère. Cro-Magnon, la dernière grande création de Bara, apparaîtra en 1974, toujours dans les pages de Tintin, puis dès 1977, dans les pages de Super-As. . Son humour décalé avait séduit les lecteurs par la simplicité de son trait. Peu d’albums sont venus consacrer un talent qui lui permettait de rivaliser avec les meilleurs cartoonists américains comme Johnny Hart, Brant Parker ou Mel Lazarus. CM