Mangas

Les « Insomniaques » de l’observatoire au chat…

Lorsque l’on n’arrive pas à dormir la nuit, il faut bien rattraper ces heures de sommeil perdues. Quoi de mieux pour ça qu’un lieu abandonné où l’on peut se réfugier discrètement ? C’est dans cette cachette idéale que vont se retrouver Ganta Nakami et Isaki Magari pour dormir au calme, loin de leurs camarades bruyants. Éloge du sommeil réparateur, « Insomniaques » nous replonge dans l’univers sensible et calme de Makoto Ojiro

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Fable réaliste et humoristique chez les yakuzas…

Quand vous êtes un tueur professionnel, et que vous ne savez rien faire d’autre, il semble difficile de stopper toute tuerie durant une année entière. C’est pourtant ce que va devoir faire Fable, à qui son patron a demandé de se tenir à carreau et redevenir normal. Sauf qu’être normal pour lui, c’est tuer…

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L’appel badass de « Dear Call » !

Des monstres fabuleux, un jeune homme ingénu prêt à tout pour progresser et apprendre, des jeunes femmes plantureuses et badass, des armes démesurées, des animaux extraordinaires, et des incantations magiques à tour de bras : voilà tous les ingrédients d’un bon scénario de shonen. Quand, en plus, le dessin suit les derniers canons du genre, tout est là pour obtenir une série à succès.

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L’amour est un jeu de bluff avec « Kaguya-Sama Love is War »…

Les mangas sont un vivier inépuisable d’histoires d’amour improbables. Les éditions Pika se sont d’ailleurs longuement penché sur la question, dés leur création, avec des titres emblématiques comme «  Ah ! My Goddess » de Kyosuke Fujishima et l’incontournable « Love Hina » de Ken Akamatsu. Plus récemment, le catalogue s’est enrichi de titres comme « Nos précieuses confidences » de Robico ou « The Quintessential Quintuplets » de Negi Haruba. Leur nouveau titre (« Kaguya-Sama Love is War ») ne détonne pas dans ce catalogue rempli de romances sujettes à des aventures rocambolesques où déclarer sa flamme serait une défaite cuisante.

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Poursuite castillane avec « Elio le fugitif »  !

Conclue en cinq volumes, la série « Elio le fugitif » ne fait pas dans la dentelle. Ça bastonne et ça charcute à tout va. Elio, le héros de cette aventure, a pourtant un bon fond et une morale irréprochable, malgré son passé qui l’a conduit directement en prison. Un shonen pur jus qui nous entraîne dans une quête menée tambour battant dans une Espagne médiévale surréaliste.

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L’ombre de la nostalgie…

Les parents d’aujourd’hui ont sûrement été bercés, en 1988, par la série d’animation « Creamy, merveilleuse Creamy », sur la défunte cinquième chaîne, ou lors d’une de ses rediffusions sous le titre « Creamy, adorable Creamy », dés 1994, sur TF1. Aujourd’hui, c’est leur progéniture qui est visée par cette série de manga intitulée « Dans l’ombre de Creamy ». L’histoire qui nous est contée se focalise sur la rivale de toujours de Creamy la Magical-Girl  : Megumi Ayase (rebaptisée Chantal dans la version française de la série d’animation).

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Les rêves de « Nos meilleures vies »…

60 ans après le « Contes cruels de la jeunesse » de Nagisa Ōshima, l’un des premiers films de la nouvelle vague japonaise, Kii Kanna nous livre sa vision des errances de la jeunesse d’aujourd’hui, sous forme de manga. À un âge où l’on n’est plus un enfant, mais pas encore pleinement un adulte, les questionnements des jeunes n’évoluent guère selon les époques. Moins violente, plus connectée, tout aussi aventureuse, mais toujours batifolante et tout autant paumée ou amoureuse, la jeunesse actuelle s’étale sous la plume d’une autrice au trait langoureux dans « Nos meilleures vies .»

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Retour aux sources avec « Olympia Kyklos » !

Mari Yamasaki se plagie elle-même avec « Olympia Kyklos » : son dernier manga en date. Comme dans « Thermæ Romae », il est question de voyage dans le futur influençant le passé. Cette nouvelle série est pourtant bien différente dans son thème et ses objectifs, même si le gimmick de base est vraiment proche. Petit voyage en Grèce antique, avec quelques détours par le Japon et, notamment, les Jeux olympiques de Tokyo de 1964.

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Écrin de noir pour « La Guerre des mondes » !

Écrit en 1898 par H.G. Wells, « La Guerre des mondes » reste un incontournable de la science-fiction. Le récit apocalyptique, extrêmement novateur pour l’époque n’a pas perdu de sa saveur, malgré son âge. La version en manga éditée en France chez Ki-oon se veut somptueuse, et nous plonge dans l’ambiance victorienne de cette invasion extraterrestre hors du commun.

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Féminisme futuriste dans « Le Siège des exilées »…

On a découvert Akane Torikai avec son portrait de femmes désabusées dans la série en huit volumes « En proie au silence ». Cette mangaka revient avec un diptyque où la femme est encore une fois au centre du récit : « Le Siège des exilées » ou la science-fiction abordée du côté féministe.

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