« De l’autre côté du mur »… de Berlin !

02/06/2023
Par Didier Quella-Guyot

Berlin, son mur, la chute du mur… Près de 30 ans sépare son édification, en 1961 et son mémorable démantèlement en 1989. La division de l’Allemagne en deux parties, RDA et RFA, monde communiste et monde capitaliste, avait poussé à cette situation ubuesque : diviser la ville de Berlin (située en RDA) en deux parties également, la RDA souhaitant protéger ses habitants des tares de la société occidentale. Dès lors, nombreux sont ceux à vouloir déserter la dictature russe… et c’est tout le sujet de cet album…

Actualités

« Le Khan » : une Chine, déjà rouge… de sang !

01/06/2023
Par Patrick Bouster

Cette nouvelle intégrale, qui change d’éditeur, redonne vie et hauteur aux cinq tomes du « Khan », pour les amateurs d’Histoire et de vastes fresques. L’ensemble narre la biographie — peu connue — de ce « plus grand des chefs de guerre », lequel a uni Chine et Mongolie dans un même empire. Cette fabuleuse épopée nous plonge aux XII^e et XIII^e siècles, sauvages, cruels et tumultueux, en nous contant la destinée hors normes d’un homme qui bataille pour réunir les tribus d’un peuple déchiré, entre « crimes de guerre » et grandes conquêtes : un livre impressionnant !

Michel Vaillant et les 100 ans du Mans !

31/05/2023
Par Henri Filippini

« Bon sang ne peut mentir », récit complet en quatre pages — signé Jean Graton — publié dans le n° 433 de l’hebdomadaire Tintin du 7 février 1957, voyait apparaître pour la première fois Michel Vaillant : le deuxième fils d’Henri Vaillant, le constructeur des Vaillantes (modèle grand sport). Les lecteurs venaient, sans le savoir, de faire connaissance avec un héros qui fêterait un jour ses 66 ans. Précoce inventeur d’un carburateur à super-injection, dans ce court premier récit, le jeune homme volera de victoire en victoire sur tous les circuits du monde. Dans le but de fêter dignement le centenaire des 24 Heures du Mans, les éditions Graton publient un nouvel épisode de la série et un dossier consacré au fameux circuit mythique.

Course-poursuite sous les Tropiques : des vacances à la Réunion qui tournent au cauchemar, dans une réinvention en BD d’un roman de Michel Bussi !

29/05/2023
Par Gilles Ratier

Et de deux pour Didier Cassegrain et Fred Duval ! Après leur très réussie version BD du célèbre « Nymphéas noirs » (pourtant réputé comme étant inadaptable dans un autre format que celui d’origine) — publiée également dans la belle collection Aire libre des éditions Dupuis en 2019, elle fut un succès autant critique que public —, les deux compères récidivent leur exploit avec « Ne lâche pas ma main » : autre thriller haletant écrit par l’auteur rouennais qui est, depuis quelques années, un habitué des meilleures ventes à chaque sortie d’un nouveau bouquin.

Le métier le plus dangereux du monde n’est pas celui qu’on croit…

28/05/2023
Par Laurent Lessous

Après l’excellente série jeunesse « Frnck » et sa reprise remarquée de la série « Spirou » (avec « Le Triomphe de Zorglub »), Olivier Bocquet revient avec le scénario surprenant et astucieux du « Métier le plus dangereux du monde ». Plaisir double, car cette nouvelle série démarre par deux albums qui racontent concomitamment l’histoire d’un frère et d’une sœur qui veulent devenir des super-héros : un métier bien plus dangereux qu’ils ne le croient…

« Les Ombres de Thulé » : ou quand mythologie celte et dark fantasy font bon ménage !

27/05/2023
Par Henri Filippini

C’est à la toute fin du siècle dernier que Patrick Mallet et Lionel Marty ont publié leurs premiers ouvrages, chacun de leur côté. Avec « Les Ombres de Thulé », ils signent leur premier travail commun, lequel s’annonce comme l’une des heureuses découvertes de cette première partie de l’année : un voyage magique et violent au cœur de l’Écosse ancestrale aux côtés de personnages éblouissants.

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Retour à l'article : « Sangsues » T1 par Daisuke Imai

hiru-japan

Par Gwenaël Jacquet

Date : Samedi 23 mai 2015

La taille originale est de 1220 × 867 pixels

Les couvertures japonaises de « Sangsues » (titré « Hiru » au Japon), très différentes de l’édition française en bichromie. Ici les couleurs aquarellées dominent et l’ambiance est bien plus joyeuse et moins oppressante.