N’hésitez pas à revenir régulièrement sur cet article, puisque nous l’alimenterons, jour après jour, avec tout que nous envoient nos amis dessinateurs, scénaristes, coloristes, libraires, organisateurs de festivals et éditeurs pour vous souhaiter de joyeuses fêtes : et ceci jusqu’à la fin du mois de janvier 2025 !
Lire la suite...PLANÈTE BD N°1 : UN NOUVEAU MAGAZINE SUR LA BD !
Après une phase test (qui a, manifestement, donné de bons résultats) effectuée sur le Havre, en Lorraine et dans les Vosges, début avril, voici, enfin, dans tous les kiosques et maisons de la presse, ce fameux Planète BD (aucun rapport avec nos amis du site planetebd.com), lancé par les éditions Hachette.
Depuis le 5 août, le numéro 1, avec lequel est offert un tiré à part numéroté(1), est vendu seulement 0,99 € (attention, ce n’est qu’une offre de lancement ; le suivant sera au prix de 2,99 €, puis ce sera 4,99 €) : quarante pages détachables consacrées principalement à « Astérix », mais proposant aussi des prépublications (les prochains « Thorgal » et « XIII Mystery »), des reprises (« Astérix », « Boule et Bill » et « Zig et Puce », en attendant « Cubitus », « Lucky Luke », « Spirou », « Gaston Lagaffe », « Calvin et Hobbes », « De Gaulle à la plage »…) et une partie à vocation encyclopédique, comme l’indique son sous-titre (La BD – son histoire – ses héros – ses auteurs – sa réalisation).
Cette publication, distribuée sur le même mode que diverses autres collections de presse (avec cadeaux, classeurs et abonnement à la clé)(2), n’est donc pas un nouveau magazine d’actualité : elle se veut didactique et, vous l’avez compris, orientée à destination du grand public ; même si son contenu, dressant un large (mais partial, évidemment) panorama du 9ème art, est susceptible d’éveiller la curiosité et l’intérêt des amateurs, des collectionneurs(3)…, voir même des spécialistes qui prendront plaisir à pinailler sur le contenu, comme je vais d’ailleurs le faire, un peu plus loin, dans cet article…
Pour ce qui est des prépublications, on ne trouve évidemment que des « blockbusters » destinés à attirer le lecteur lambda : à raison de deux pages par semaine en ce qui concerne les reprises (notons la louable volonté de proposer quelques monuments bien délaissés par les lecteurs d’aujourd’hui, comme les « Zig et Puce » d’Alain Saint-Ogan) et de quatre pour les avant-premières, lesquelles sont systématiquement précédées d’une page de rapide présentation illustrée par des crobards inédits ou des extraits de la série : le nouveau « Thorgal » (« La Bataille d’Asgard », épisode réalisé en couleurs directes par Grzegorz Rosinski et écrit, comme le précédent album, par Yves Sente) et le troisième « XIII Mystery » (« Little Jones », où le scénariste Yann, fort bien secondé par le trait précis du dessinateur Eric Henninot, lève le voile sur la jeunesse de la mystérieuse major Jones). Dès le n°2, nous aurons droit au quatrième « Blacksad » (« L’Enfer, le silence ») de Juanjo Guarnido et Juan Diíaz Canales puis, par la suite, au tome 17 de « Largo Winch » et au tome 20 de « Blake et Mortimer » : que du lourd, on vous dit !(4)
La seconde partie de ce périodique consiste en des fiches perforées, censées enrichir les connaissances des non-initiés (sur le 9ème art, exclusivement) et destinées, au final, à être réunies dans un classeur (le premier étant offert aux abonnés mais, par la suite, ils leur en coûtera 6,95 € à l’unité) : chaque rubrique a sa propre couleur pour retrouver l’information en un clin d’œil, avec des sous-rubriques pour affiner le classement.
Ainsi, différents articles présentent-ils, de façon ludique et condensée, les secrets de fabrication d’une bande dessinée (la naissance d’une idée pour le n°1…, le synopsis, la création des personnages, la mise en couleur…, étant aussi prévus), les biographies des « maîtres de la BD » (cela commence par un portrait de Jacques Tardi dans le n°1 et, ensuite, ce sera au tour de William Vance, Stan Lee, Albert Uderzo, Hergé, Edgar-P. Jacobs, René Goscinny, Moebius, Robert Crumb, Frank Margerin…), les grandes séries du genre (« Astérix » et « Arzach » dans le n°1, puis on aura droit à « XIII », « Batman », « Gaston Lagaffe », « Maus » -tiens, c’est une série ?-, « Naruto », « Titeuf », « Lanfeust », « Blake et Mortimer », « Lapinot », « Blueberry », « Tintin »…), et des repères historiques, dans un ordre curieux qui n’a rien de chronologique (la naissance du journal Pilote est dans le n°1, en attendant celle de Tintin et de Spirou, et on nous annonce aussi divers sujets comme les premières bulles, l’école de la ligne claire, la naissance des mangas, le festival d’Angoulême…), avec l’éphéméride d’une année clé de l’histoire de la bande dessinée dans chaque numéro…
Après examen minutieux du premier numéro (au menu éclectique, certes, mais qui ne va guère au-delà des valeurs sûres -produits d’appel cependant nécessaires-), nous allons positiver et en conclure que le pari de base est, en grande partie, déjà gagné : c’est-à-dire inciter un large public à s’intéresser où à renouer avec la bande dessinée ! On verra d’ailleurs, grâce au résultat des ventes (dont dépend, évidemment, la poursuite de ce magazine), si le 9ème art est alors, oui ou non, un art vraiment populaire ! Quant aux plus exigeants, ils n’ont qu’à aller voir ailleurs : sur bdzoom.com, par exemple, ou dans d’autres revues et ouvrages de référence (voir : http://bdzoom.com/spip.php?article4384)…
De toutes façons, nos craintes avaient été d’entrée balayées à la lecture de l’ours (le générique, si vous préférez), lequel comporte des noms synonymes de sérieux et de précis, tels ceux de Patrick Gaumer, Brieg F. Haslé ou le scénariste Rodolphe ! Mais ont-ils eu les coudées complètement franches et assez de temps pour peaufiner leurs écrits ? Et les autres rédacteurs cités, Abigaël Abercombie, Rodolphe Lachat ou Virginie Bottemane, la directrice artistique, ont-ils été à la hauteur (aucun article n’étant signé d’un quelconque nom) ?
Car en ce qui nous concerne, comme annoncé en début d’article, nous n’avons pu nous empêcher de pinailler ! En effet, si l’ensemble, une fois de plus, est plutôt agréable, quelques erreurs et approximations font vraiment tâche : problème inhérent, d’ailleurs, à tout magazine de vulgarisation qui veut aborder l’histoire du 9ème art (on retrouve les mêmes défauts dans les dBD, dans CaseMate et dans feu Bo Doï).
Faisons fi des incohérences rédactionnelles (pourquoi ne pas avoir regroupé, dans ce premier numéro consacré à « Astérix », tout ce qui le concernait : les biographies de ses auteurs, l’année de sa naissance en 1959… ?) et des doublons qui ne font guère sérieux, « journalistiquement » parlant(5), et signalons seulement les imprécisions de l’article consacré au détail de l’année 1954 : si « Pom et Teddy » sont bien apparus dans la version française du journal Tintin en 1954 (sauf que c’est le 11 février et non en juin), ils étaient déjà bien présents dans l’édition belge depuis l’année précédente (à partir du 4 mars 1953, exactement), quant à « La Patrouille des Castors » et à « Jerry Spring », ils ont été créés, respectivement le 25 novembre et le 4 mars 1954, et non en mars et en mai comme affirmé ici ; et encore, on ne vous parle pas des oublis (créations de « Luc Junior » et de « Bill Blanchart » par Albert Uderzo et René Goscinny, en octobre et novembre dans La Libre Junior, de « Mique » par Robert Bressy et Pierre Cobore dans L’Aurore, le 1er octobre, de « Max l’explorateur » par Guy Bara dans les quotidiens Le Soir et France-Soir, du mensuel Bugs Bunny édité par La SPEI puis par la SAGE, en juillet…) !
Fâcheux (non ?) pour un périodique qui voudrait nous inculquer l’histoire de la bande dessinée ! D’autant plus qu’un simple coup d’œil au « Dictionnaire mondial de la BD », d’un certain Patrick Gaumer, aurait pu éviter ce genre d’erreurs qui risquent de rendre désagréable la lecture de Planète BD aux spécialistes et aux érudits (à moins qu’ils ne soient trop contents d’y déceler la moindre billevesée…).
Ceci dit, je le répète, ceci n’est que pinaillage (mais bon, quand même !)(6) : d’ailleurs, la preuve, comme beaucoup d’autres certainement, je me suis abonné ! En espérant, toutefois, que cela ne se répètera pas à chaque livraison ! À bon entendeur…
Gilles RATIER
(1) Un dessin extrait d’« Astérix » est ainsi offert dans le n°1 ; par la suite, il y aura du « XIII », du « Lucky Luke », du « Blake et Mortimer »…
(2) Cela fait déjà quelques temps que le secteur de la bande dessinée commence à investir ce « nouveau » marché (trusté, pour le moment, par les éditions Atlas et Hachette), en recyclant des séries comme « Michel Vaillant » ou « Alix », voire même « XIII » (vente promotionnelle d’albums en partenariat avec Le Figaro).
(3) Ce lectorat est particulièrement choyé puisque, outre les ex-libris offerts et des annotations succinctes sur la valeur des albums, des tirés à part et des planches originales, dans chaque article, l’abonnement propose divers cadeaux comme un portfolio pour conserver les ex-libris, des fac-similés « collectors » (de l’édition originale de « Fort Navajo », le premier « Blueberry », et de « Spirou et l’aventure » de Jijé), le DVD du film « Largo Winch » ou une sculpture en résine représentant un Astérix et un Panoramix rigolards… : la prise de risque du consommateur étant limitée car les modalités de paiement permettent de mettre fin, à tout moment, à l’abonnement.
(4) À noter que, pendant la période de test, les lecteurs de Planète BD ont pu lire la prépublication du « Spirou » de Fabrice Parme et Lewis Trondheim et du dernier « I.R.$ » de Bernard Vrancken et Stephen Desberg.
(5) On retrouve, par exemple, la même anecdote sur la création d’« Astérix » par Uderzo et Goscinny (celle du remplacement, au dernier moment, de leur adaptation du « Roman de Renart » déjà illustrée, par ailleurs, par Trubert) à, seulement, deux pages d’intervalle ! À ce propos, attention aussi au prénom de ce dessinateur : officiellement, on devrait dire Jen (et non Jean) car, dans sa signature professionnelle, ce dernier amputait son prénom du « a ». Mais, comme même sa fille (Chantal Trubert) l’appelle Jean dans le corps de l’ouvrage qu’elle lui a consacré aux éditions L’Âge d’or (en 2005), alors qu’elle l’a bien titré « Jen Trubert et ses amis… » en couverture, on ne va pas en faire un fromage… Si ?
(6) Il vaut mieux s’en amuser, comme le font Philippe Dupuy et Charles Berberian dans les deux pages incluses dans le fascicule promotionnel offert avec le n°1 de Planète BD !
Bonjour,
Vous dites qu’il aurait été convenable de regrouper tous les articles et thème d’un auteur ou personnage dans un même fascicule. Dans ce cas moi qui suis un inconditionnel de franquin, j’achète seulement le n° lui étant dédié et puis point barre. Dans le cas de cette « collection » hachette je suis obligé d’acheter plus d’un fascicule. Et oui c’est du marketing ni plus ni moins.
Bonjour
oui, vous avez raison, c’est surement un point de vue marketing… Mais comme il y a des prépublications et des reprises diverses qui vont dans tous les sens et qui sont censées attirer le lecteur lambda, on aurait pu aussi penser qu’il aurait été bon de regrouper, au moins, quelques thèmes ; car on se demande vraiment pourquoi avoir choisi, dans ce premier n°, l’année 1954 comme éphéméride ! Mais je le répète, au cas ou vous auriez mal compris le propos essentiel de mon article, pour un magazine destiné principalement au grand public, c’est plutôt bien fait et j’encourage même les gens à se le procurer (en espérant toutefois un peu plus de sérieux au niveau des dates, comme je le fait remarquer, dans les prochains numéros)…
Bonne lecture du n°1, donc…
Cordialement
Gilles Ratier
J’ai lu des tas d’éloges sur cette publication, et du coup je l’ai achetée.
J’ai été déçu, ça se lit vite ! Ca me parait relativement vide.
Les informations présentes sont assez générales. Les prépublication sont limitées, de toute façon elles seront disponibles sur divers sites internet. Pas de vrai bonus : pages de crayonnées, travaux de recherches… Les séries traitées sont des séries à grande diffusion, pas de pépite à découvrir.
D’un autre coté un revue généraliste sur la BD implique des généralités, il suffit de lire les entêtes des intégrales ou de faire quelques recherches sur le net pour en avoir autant.
Le tiré à part est sympa, c’est la seule note positive selon moi.
Y aurait-il malentendu ? Ce titre ne vise pas l’élite des fans de BD. Sa vocation, selon moi (et je suis très satisfait de la formule au vu du N°1), serait plutôt de réconcilier un public qui aurait délaissé la BD(public quadra – quinca) et de faire oeuvre de « défricheur » pour les néophytes.
En quoi le dosage dossiers + prépublications me paraît de nature à convaincre ce public « dilettante »…
Longue vie à Planète BD ! Et ne boudons pas notre plaisir d’offrir une vitrine généraliste à notre chère BD (si oubliée des médias) dans plus de 30 000 points de vente, chaque semaine.
Je n’ai pas la prétention de faire parti d’une élite de la BD. Si élite il y a, elle se trouve être constituée des vendeurs, des librairies spécialisées ou non., qui guident les clients, habitués, occasionnels, vers de bons choix pour des cadeaux à offrir ou à s’offrir.
Les prépublications concernent des album qui vont se retrouver en tête de gondole en septembre dans tous les supermarchés des blockbuster dont tout le monde parlera, pardon il y a aussi des histoires de Boule et Bill, pas celles des nouveaux auteurs, non, celles signés Roba. La plus grosse ficelle est celle du tiré à part, « l’objet de collection », en édition limité à 200000 exemplaire !
Pour amener des quidam à la lecture de BD, il y a le magazine Zoo : gratuit et très complet. Interview d’auteurs, critiques…
Annoncer que Planete BD va réconcilier les un public qui aurait délaisser la BD c’est comme vouloir reconcillier quelqu’un avec la cuisine italienne en lui présentant une pizza surgelée. Bon appétit.
J’ai également acheté ce numéro 1. À moins d’un euro, je ne prenais pas trop de risques.
Je suis agréablement surpris. L’idée du classeur est très sympa et évitera d’avoir une vingtaine de revues à conserver pour 3 pages de BD intéressante dedans.
Le retour de la prépublication « grand public » est très sympa.
Par contre, les erreurs de date ou approximation sont extrêmement dommageables. C’est le genre d’information qui va finir par trainer un peu partout et l’on ne saura plus le vrai du faux dans quelques années. Même si c’est une revue pour néophyte, il aurait fallu un peu plus de rigueur. De temps en temps, il vaut mieux oublier des choses que de dire des âneries. Dommage.
Bonjour,
J’ai posté le premier message pour dire que cette collection c’était du marketing (je voulais parler du mode de fonctionnement de cette collection). Après l’avoir acheté, car je préfère critiquer en ayant appréhendé la bête, j’affirme que cette collection n’est pas de l’arnaque et qu’elle assume parfaitement sa fonction d’encyclopédie pour grand public. Les puristes eux n’ont pas besoin de tels ouvrages pour parfaire leurs connaissances dans leur domaine de prédilection.
On peut reprocher effectivement quelques soucis de date (qui n’est vraiment pas dramatique en soi) mais dans sa globalité ces ouvrages restent accessibles à tout niveau. Le but est de présenter la BD dans son ensemble à travers les différentes périodes et les différents auteurs, ce qui demeure quand même un sacré travail de synthèse. Le but du classeur est de ranger les fiches par catégorie, donc les redites flagrantes d’articles qui se suivent, une fois chaque page à sa place dans sa catégorie, ces redites se dilueront.
Après c’est à chacun de savoir jusqu’à quand il est prêt à compléter cette collection et surtout à quel prix. Les fameux cadeaux de bienvenus sont la uniquement pour appater et fidéliser le client.
Bonjour !
Amusant de voir à quel point ce sujet déchaine les passions ! J’en rajoute donc une couche, encore une fois au cas où le propos de mon article aurait été mal perçu ! Autant je suis d’accord avec la première partie du dernier message dû à la personne qui signe Azerty (en gros : cette collection n’est pas de l’arnaque, est un bon travail de synthèse, et assume sa fonction d’encyclopédie pour le grand public), autant je continue de penser qu’il ne faut pas minimiser ces histoires d’erreurs de dates.
Quant on nous apprend (ou que l’on nous confirme), à l’école, dans les livres ou même sur Internet, que, par exemple, la prise de la Bastille a eu lieu le 14 juillet 1789, il faut espérer que cette date est bien la bonne et que ceux qui nous l’ont transmise, de génération en génération, ne se sont pas trompés : car, à un jour près (et même à quelques heures près) les conséquences en auraient été complètement différentes ! Certes, je ne veux pas insinuer que l’histoire du 9ème art art est aussi importante que celle de l’Histoire de France (qui, elle, prend un grand H pour l’occasion), mais quand même…
Alors quand un rédacteur écrit dans ce genre de revue destinée à initier le grand public que « Pom et Teddy » a été créé en juin 1954 alors que c’est le 4 mars 1953, il ne se rend pas compte que cette bourde va être répétée à l’infini par d’autres rédacteurs aussi peu consciencieux que lui ! Certes, tout le monde peut se tromper, mais quand ce genre d’erreurs (que l’on peut, je le répète, vérifier en un clin d’œil avec le dictionnaire de Patrick Gaumer ou même en cliquant sur certains sites fiables d’Internet) se multiplient dans un seul article, c’est que le rédacteur n’est peut-être pas si digne de confiance que l’on pourrait le croire et qu’il ne mérite peut-être pas son salaire !
Ceci dit, tout est améliorable (et tout écrit est pardonnable aussi, non ? Non, bon…) et c’est uniquement dans ce but que j’insiste sur ces faits ; en espérant, évidemment, être entendu par les collaborateurs de cette revue « grand public », laquelle mérite, en effet, d’être amplement soutenue : d’autant plus que, enquête faite, le principal fautif (dont le nom n’est même pas dans l’ours, alors qu’il n’est pourtant pas le dernier venu dans le monde de ceux qui écrivent sur la bande dessinée), a démissionné avant la parution du n°1 !
Que son remplaçant ne fasse pas les mêmes bévues, c’est tout ce que l’on souhaite, en plus du fait que cette revue, tirée à 190 000 exemplaires, ait le succès qu’elle mérite ! Elle semble d’ailleurs bien partie pour…
Cordialement
Gilles Ratier
Et je connais de très bonnes pizzas surgelées…
Bonne route à Planète BD !
Bonjour. J’attends les 2 rééditions et j’arrête…
Quelle déception.
Abonné, je reçois le N°2 avec un tiré à part
collé plié en travers de la reliure. Super glue ?
Le fait est que le tiré à part de XIII est
impossible à retirer. A force d’insister, je me
retrouve avec XIII englué de colle et froissé,
alors que la couverture de la reliure est
arrachée sur toute une bande !
Merci pour le respect du client !
Bonjour, je me retrouve dans la même situation que vous, avec exactement le même problème. J’ai envoyé un mail, il y a près d’une semaine, auquel je n’ai pas eu de réponse. De guerre lasse, j’ai téléphoné à planète bd, (0,35 euro la minute!!!!!) ou après 5 minutes j’ai eu le déplaisir d’avoir une téléphoniste peu sympa qui m’a promis de me renvoyer l’objet du litige….sans colle, ai-je demandé…ce qui ne l’a pas fait rire. A la demande de… pourquoi pas de réponse au mail envoyé ? réponse sèche…on a beaucoup de retard. Bien à vous.
C’est une arnaque sur pattes. En effet, ça miroite beaucoup de choses, beaucoup de cadeaux … mais à l’unique condition de s’abonner pour les autres numéros, pour la modique somme proche de 50 euros ou plus ! Et encore, il se peut que ça s’arrête au numéro 1 et que ça n’aille pas plus loin ! Voir limite le n°2 ! Et alors pour que ça rentre dans les frais du chèque envoyé, ou paiement CB… Hachette / ou Atlas, envoie une nouvelle série, du genre « la jolie vaisselle » avec cadeau la sous tasse du service théière.
Ou alors le petit pompier de deux cm de haut peint à la main (la main d’un p’tit chinois ou la machine industriel et sa peinture toxique).
Là vous faites la promotion d’un produit dont on n’est pas sur d’en voir la suite !
On peut dire ce que l’on veut sur la versatilité des éditeurs presse, enclins à renoncer à la poursuite d’une collection si elle n’atteint pas les objectifs initiaux (ça s’appelle du commerce), mais le terme d’arnaque est pour le moins excessif puisque vous ne réglez que les numéros reçus par la poste, et à mesure des envois. Autrement dit, si l’on excepte le risque (éventuel) de choisir le prélèvement automatique, on reste maître des règlements et ce d’autant qu’on bénéficie d’un droit de retour sous 10 jours en cas d’insatisfaction (seuls les frais de port sont à notre charge).
Le « deal » me paraît plus que correct, non ?
Bonjour,
En tant que collaborateur de l’équipe rédactionnelle de la collection Planète BD, je peux vous annoncer que nous travaillons actuellement à la rédaction des numéros à venir. Les prochains numéros sont prêts, plus d’une vingtaine d’autres sont d’ores et déjà écrits et en cours de finalisation graphique. CQFD
Cordialement,
Brieg F. Haslé
oui oui, en cours, presque tout écrit, pas tout à fait prêt … on ne sait jamais demain on peut écrire sur les pompiers ou la petite vaisselle de la maison de poupée en 1936… peint à la main dans une machine qui balance de la peinture toxique.
Que c’est beau la certitude.
Bonjour, je m suis abonné à planète bd car il me semblait très sérieux mais voilà…..lorsque j’ai reçu le n°2 avec les suppléments le » tiré à part XIII » collait au classeur joint à l’envoi. Lorsque j’ai voulu enlever celui-ci, le tiré à part s’est déchiré en son centre. J’ai envoyé un mail à planète bd pour recevoir un nouveau « tiré à part » et depuis….silence complet. Sérieux tout ça !!!!!!
Le but du deal est plus « prenez tout les numéros ! » avec une légère promotion… un petit pourcentage de réduction, genre le numéro à 4,90 au lieu de 4,99 ! le coup psychologique.
Et comme vous le dites, si le nombre n’est pas atteint, ça s’arrête, et après on reçoit en échange des tas de courriers à choisir entre le pompier ou la vaisselle de la maison de poupée en 1936. Les 10 jours ici, ça fait foutaise ! ça ne rembourse jamais , ça propose autre chose.
Bonjour, je vous trouve de très mauvaise foi. L’abonnement n’est pas obligatoire et même si vous le choississez, vous pouvez à tout moment résilier l’autorisation de prélèvement voire faire une opposition auprès de votre banque (en + c’est maintenant gratuit) si on vous envoie d’autres produits auxquels vous n’avez pas souscrits. Vraiment aucun risque de s’abonner. Plus il y a d’abonnement et plus le produit a des chances de succès. Maintenant on peut discuter sur le produit même, mais ne pas oublier qu’il s’adresse surtout au grand public et non à des professionnels ou amateurs avertis. Il faut être positif et donner une vraie chance à cette opération pour rallier le maximum de gens (jeunes ou vieux) à notre passion.
C’est la seule solution oui ! Puisque on ne les trouvera pas en Kiosque les numéros suivants ! Si ce n’est même quand le libraire dit « désolé, mais ils ont arrêté la série ».
Après oui, on n’est pas obligé de l’acheter ce numéro, comme on n’est pas obligé de s’abonner tellement qu’on peut sentir l’arnaque ! (ça fait facile 4 fois que ça doit ressortir la BD sous cet angle là ! Comme pour les pompiers ! on ressort encore les héros du feu peint à la main avec une peinture industrielle toxique…. )
On s’en fous royalement de tes pompiers ou de ta porcelaine…
Si tu ne veux pas t’abonner, tu ne t’abonnes pas et tu arrêtes de raconter ta vie car tout le monde en a rien à foutre de toi.
En plus faut mieux attendre avant de parler car les 5 premiers numéros sont sortis et en plus disponible en kioque.
desoler mais sa a continuer et on et libre de se desaboner a tous moment
Je me suis abonné à ce magazine et….déjà un clash. Si j’ai bien reçu les cadeaux proposés, l’un d’eux, le « tiré à part XIII » était tellement….collé….avec de la colle si, si….au classeur offert que, lorsque j’ai voulu le retirer, ce cher XIII s’est déchiré. J’ai contacté, par mail, Planète BD pour me faire envoyer un nouveau « tiré à part » et depuis, silence total. Ca commence bien.
Nouveau rebondissement, et nouveau mépris du client : alors que le N° 7 pointe son nez en kiosque, les abonnés en attente du N° 3 reçoivent un courrier le 23/09/10 qui leur annonce un retard pour « réimpression » !
Autrement dit, « amis abonnés, vous passerez après les ventes en kiosque » !
Particulièrement incitatif pour les derniers naïfs qui hésiteraient à s’abonner…
Moi, personnellement, j’arrête les frais : trop d’amateurisme ou de mépris pour le cochon de payeur.
Si ce que vous dites est exact, vous avez plus de « chance »!!! que moi car je n’ai pas été averti de ce retard pour les abonnés mais, peut-être, pour la Belgique, le cas est-il différent….ce qui serait amusant. Bon, après avoir râlé, voici quand même une bonne nouvelle. Lorsque j’ai réclamé un nouveau « tiré à part » car le mien était indétachable suite à un abus de « super glue »…il m’a été envoyé un nouveau « tiré à part » accompagné du classeur n°1 ce que je n’avais pas demandé. Sympa quand même.
Incroyable ! Abonné de la première heure, je reçois ce mardi 12/10 un envoi groupé des N° 4 à 7 ! La semaine même de la parution du N° 10…
Encore deux mois et je serai (presque) à jour !
Hachette vient d’inventer l’abonnement à retardement…
Je voulais vous faire partager ma découverte : BDSphère (www.bdsphere.fr). Nouveau magazine qui traite des nouvelles tendances à travers la BD et publie des inédits en feuilleton. Ils ont pré-publié le dernier album de Tramp qui sort à la fin du mois et le 3ème tome d’O'Boys. Allez-y, pour le moment le magazine est gratuit. Amitiés. Ledauv.
bonjour,
documentaliste dans un lycée (filières générale et professionnelles), nous cherchons à proposer aux élèves une revue sur la BD. Afin d’avoir une idée précise du contenu de la vôtre avant de prendre une décision, serait-il possible de nous en faire parvenir un exemplaire ?
Merci d’avance pour l’attention que vous porterez à notre démarche,
cordialement,
–
Christophe Leautier
CDI / Lycée Sainte-Marie de Nevers
10 Rue du Périgord
31000 Toulouse
Bonjour !
Nous nous permettons de poster ce message en espérant ne pas être trop importuns… Voici de quoi il retourne : grâce à l’éditeur associatif Chemin Faisant, un récit graphique de notre composition (Le Sinetanque) paraît en ce frais mois de mars. Chemin Faisant fait un très bon boulot, en particulier dans les côtes d’Armor où il est implanté (nous, nous sommes normands ), mais n’a pas de gros moyens, et, bien évidemment, c’est la distribution qui pèche… D’où cette petite pub’, qui voudrait vous donner l’envie, sait-on jamais, d’en lire davantage.
Voici donc un lien vers le blog du Sinetanque… Bonne visite et n’hésitez surtout pas à contacter les auteurs (qui aimeraient tant vous faire de spirituelles dédicaces !)
Guerra et Anne
https://lesinetanque.jimdo.com/