Les amateurs de son œuvre le savent bien : Jacques Tardi est un boulimique de travail qui dessine matin, midi et soir. Or, « Dessins matin, midi et soir », c’est le titre d’un beau petit recueil édité par Oblique Art (structure dirigée par Pierre-Marie Jamet) qui nous propose pas moins de 160 pages rassemblant des illustrations réalisées par le créateur d’« Adèle Blanc-Sec », sélectionnées dans les nombreux carnets qu’il a noircis (voire mis en couleurs) tout au long de sa remarquable carrière d’auteur du 9e art : croquis, études de personnages… et même courtes bandes dessinées iconoclastes inédites.
Lire la suite...Philippe Caza (troisième partie)
Voici le troisième et dernier volet de notre dossier sur Philippe Caza, particulièrement consacré à son incursion dans le cinéma et à sa série « Le Monde d’Arkadi », par l’intermédiaire d’une interview fleuve très illustrée que Jean Depelley avait réalisée, en 2001, en vue d’un livre qui devait paraître aux USA. Ceci afin de saluer, comme il convient, la parution de ses deux nouveaux albums : « Le Jardin délicieux », bande dessinée de soixante pages où ce fabuleux dessinateur revisite, avec autant de talent que d’humour, le mythe originel d’Adam et Eve, et « La Fin du monde ne passera pas ! », joli recueil de cinquante dessins écolos (voir http://www.bdebookcaza.com) !
bdzoom.com : À cette époque, en 1987, vous avez réalisé avec René Laloux votre dessin animé « Gandahar ». Pourriez-vous revenir sur cette réalisation ?
 Philippe Caza : C’est Laloux qui m’a contacté. Il avait déjà fait « La Planète sauvage », mais pas encore « Les Maîtres du temps ».
Il faut dire que le projet « Gandahar » a pris douze ans entre cette rencontre et le moment où on a attaqué le film ! Ce n’est pas rare dans le cinéma.
Laloux ne connaissait pas mes bandes dessinées, mais mes illustrations de science-fiction. Il m’a fait lire « Gandahar », qui était le premier roman de Jean-Pierre Andrevon. J’avais trouvé qu’effectivement cela se prêtait bien à l’animation, qu’il y avait matière à s’amuser.
J’ai commencé par faire quelques dessins de principe, histoire de monter un dossier de projet.
Quelques années plus tard, il m’a dit : « J’ai un début de financement, on peut commencer à storyboarder ».
On a fait comme ça quelque vingt minutes de story-board, puis on a eu les moyens de réaliser un « pilote » de 5 ou 6 minutes, dans un studio que Laloux montait à Angers.
Simultanément, René a attaqué « Les Maîtres du temps » avec le même producteur.
Ce projet a pu démarrer beaucoup plus vite, peut-être un peu sur le nom de Mœbius, ou parce qu’il avait été conçu initialement comme un projet télévision assez « cheap ».
Il s’est enrichi au fur et à mesure, par la suite…
 J’ai des souvenirs sympas de ces moments passés chez Laloux à Angers, avec MÅ“bius. Chacun travaillait de son côté et on se retrouvait le soir pour manger ou le matin pour courir dans les bois (MÅ“b mangeait macrobiotique et me mettait 500 mètres dans la vue au jogging !) !
« Les Maîtres du temps » a continué sa production alors que « Gandahar » s’est à nouveau arrêté, faute de financement ; à tel point qu’on a cru que le projet était enterré.
Quatre ans plus tard, Laloux me téléphone – c’est vraiment une histoire à rebondissements ! – pour me dire qu’il avait de nouveau un producteur et qu’il avait trouvé un studio en Corée. Il m’a demandé si j’étais partant pour reprendre du service.
Lui-même était un peu sceptique. Il n’osait pas relire l’adaptation. Nous nous sommes revu pour regarder l’adaptation et les dessins que j’en avais faits. Mais on ne voyait plus les choses de la même façon…
Il fallait reprendre à zéro. Le premier story-board et le pilote sont donc restés inédits ! Nous nous sommes donc remis au travail, mais plutôt que de repartir en arrière, nous avons suivi nos envies présentes.
Nous avons pratiquement refait l’adaptation ensemble, en la storyboardant pendant trois ou quatre mois face à face à la table, moi dessinant et Laloux lisant le journal ! C’était un travail de type ping-pong très sympathique. Je crois que le film est pas mal réussi…
bdzoom.com : Effectivement ! Vous avez aussi illustré l’affiche du film « Lèvres de sang » de Jean Rollin. Comment est-ce arrivé ? C’est Jean Rollin qui vous a contacté ?
Philippe Caza : Oui ! C’est encore un entrecroisement avec Druillet, qui avait fait ses affiches précédentes (ndlr : « Le Viol du vampire », « Le Frisson du vampire » et « La Vampire nue », voir Entretiens avec Philippe Druillet (1ère partie)).
Druillet n’était plus disponible. Comme nous faisions stylistiquement parlant partie de la même famille, Jean Rollin m’a appelé et m’a montré le film sur la table de montage, ce qui m’a évité de me rendre compte à quel point ce film était…, particulier !
C’est probablement du surréalisme… Ou de la naïveté… Ou peut-être un mélange des deux… Un mélange d’amateurisme et d’ambitions intellectuelles… Du vrai cinéma-bis, quoi ! Cela a un peu le même charme que « Plan 9 From Outer Space » !
J’avais personnellement beaucoup apprécié Rollin lui-même, le peu qu’on s’était vu.
Je lui ai fait trois maquettes d’après le film. Mon moment préféré du film était quand les femmes-vampire sont décapitées et que le héros baise la bouche de la tête coupée de la vampire en chef, avant de la jeter dans le feu : Salomé à l’envers !
J’avais fait une maquette d’après cette belle image, mais elle n’était pas passée en commission de censure. Je l’ai recyclée plus tard dans le tome 1 d’« Arkadi »…
En plus du projet d’affiche retenu, il y avait une troisième maquette, dont j’ai donné l’original à Rollin. On y voyait une scène de la fin du film représentant une fille (vampire, bien sûr !), dans un cercueil sur une plage…
bdzoom.com : Pour en revenir à votre collaboration aux Humanoïdes Associés, c’est chez cet éditeur que vous commencez votre série du « Monde d’Arkadi ».
Philippe Caza : Oui, mais ça, c’est du post-Métal hurlant…
bdzoom.com : Oui, effectivement… Vos deux éditeurs, les Humanoïdes Associés et Dargaud, avaient du plomb dans l’aile à l’époque. Comment avez-vous vécu cette époque difficile des années 80-90 ?
Philippe Caza : Il y a eu une période où les magazines se sont arrêtés. Or, les magazines étaient mon support privilégié, les albums n’étant que secondaires, en quelque sorte.
C’était la raison pour laquelle j’avais toujours travaillé sous forme d’histoires courtes. Métal s’est arrêté… L’équipe a d’ailleurs très longtemps gardé dans ses tiroirs une histoire inédite, « Lulla, ou le Dévorant », qui est sortie par la suite dans l’album « Laïlah », en 1988 seulement…
Du côté de chez Dargaud, c’était un peu pareil, avec l’arrêt de Pilote en 1989, entraînant l’interruption de la série « L’Âge d’ombre» qui avait fait 2 albums.
N’ayant plus Pilote, j’ai quand même présenté une suite – les scénarios de deux albums – aux gens de chez Dargaud, qui l’ont laissé traîner dans un coin pendant des mois, sans trop savoir quoi me dire.
J’ai fini par laisser tomber et j’ai proposé ça aux Humanoïdes Associés qui semblaient repartir sur de nouvelles bases, grâce à la gestion de Fabrice Giger.
Mais ils ne voulaient pas reprendre la suite de « L’Âge d’ombre », ils voulaient du neuf…
Afin d’enclencher les choses, ils ont sorti l’album « Laïlah », que j’ai donc complété avec une troisième histoire courte faite spécialement, « Frogue, ou le cloaque ».
Ils ont également sorti « Chimères » (1989), qui est une compilation d’illustrations.
Ils m’ont alors demandé une série à suivre, ce qui était logique car il n’y avait plus de magazines pour les histoires courtes. C’est ainsi qu’a commencé « Le Monde d’Arkadi », dont je concoctais en secret le scénario depuis quelques années.
Cela s’est bien passé jusqu’au quatrième album, puis ils ont eu une nouvelle période noire lorsqu’ils ont rompu leur contrat de distribution avec Hachette, un procès qui les a fait énormément souffrir pendant deux ans. Et les auteurs, donc !
Pendant ce temps, personne n’était payé mais, en même temps, ils essayaient de jouer la montre. Le chèque était toujours parti la veille ou allait partir le lendemain, etc. C’est idiot, ils auraient dit la vérité, j’aurais fait autre chose ailleurs en attendant qu’ils se retapent. Bref, période sombre !
Par la suite, leur activité a repris, comme ci comme ça, jusqu’à ce qu’ils me disent carrément qu’ils souhaitaient arrêter la série, alors que je commençais le tome 6. Ça ne vendait pas assez à leur goût, il faut croire…
Ils m’ont demandé de faire une fausse fin sur le tome 6, ce que je me suis refusé à faire. Je n’étais pas prêt au suicide. Je voulais privilégier l’œuvre et me laisser la chance de pouvoir la reprendre plus tard, ce qui s’est passé après, merci Delcourt…
bdzoom.com : Vous avez par la suite travaillé pour l’éditeur Soleil…
Philippe Caza : J’ai travaillé ensuite sur la série d’heroic-fantasy humoristique « Amiante », 4 tomes de 45 ou 46 planches chacun parus chez Soleil, mais c’est un travail entre parenthèses, car je n’y étais que scénariste (« La Cité perdue de Kroshmargh » en 1993, « L’ÃŽle du géant triste » en 1994, « Le Labyrinthe de la lune pâle » en 1995 et « La Clef de Pierre-étoile » en 1997).
Malheureusement, mon passage chez Soleil est aussi une sorte d’accident désagréable, à part le travail avec Patrik Lemordan au dessin, qui ne me laisse que de bons souvenirs…
L’aventure positive s’est plutôt produite chez Delcourt. Je connaissais Guy depuis toujours, parce qu’il était rédacteur en chef de Pilote pendant les dernières années du journal. Par la suite, on se croisait régulièrement sur les festivals et nos contacts étaient très sympathiques.Â
bdzoom.com : En tout cas, votre passage chez Delcourt marque une nouvelle évolution graphique dans votre œuvre.
Philippe Caza : J’ai commencé chez Delcourt avec la réédition de « L’Âge d’ombre », suivie de « Nocturnes ». Nous n’étions pas encore sûrs de pouvoir reprendre un jour « Le Monde d’Arkadi ». Pour « Nocturnes », l’idée a été de faire un one-shot, sans problème de continuité avec la série, mais s’y accrochant… Et donc qui puisse éventuellement servir ma cause auprès de Delcourt pour reprendre la série entière. Je pense que cela a joué son rôle. J’en ai profité pour graphiquement faire un saut…
bdzoom.com : Votre nouveau style fait assez penser à ce que l’éditeur américain Image a sorti à la même époque, avec des artistes comme Todd Mac Farlane ou Jim Lee, aux graphismes très dynamiques.
Philippe Caza : Oui… Peut-être par la dynamique et la richesse des couleurs… La comparaison ne m’était pas venue à l’esprit…
Ce sont des gens que j’ai lus, oui, mais je me référais plutôt à Mignola… Dans « Nocturnes », j’ai travaillé la narration de façon relativement classique, avec peu de récitatifs, des bulles et beaucoup d’action, comme dans « Le Monde d’Arkadi ».
C’est quand même de la bande dessinée d’aventure… En même temps, j’ai cherché à retrouver une richesse graphique qui était celle d’« Arkhê » ou de « Laïlah », exécutée en couleur directe, avec des apports informatiques en plus.
Mon but était d’obtenir une grande richesse graphique, tout en respectant la dynamique d’une BD d’aventure moderne.
bdzoom.com : « Arkadi » est un bon succès puisqu’il est réédité.
Philippe Caza : « Arkadi » a repris sa vie sous l’égide de Delcourt. Nous en sommes au tome 3 (ndlr : aujourd’hui, au tome 9). Je viens de rendre la couverture du tome 4. Je pense qu’aux alentours du mois de septembre, je vais m’attaquer au tome 7. D’ici un an, les 6 premiers tomes auront été réédités par Delcourt. Vers la fin 2002, il devrait donc y avoir un tome 7.
bdzoom.com : On sent poindre une cohésion logique dans toute votre œuvre, puisque, outre « Nocturnes », le cycle de « L’Âge d’ombre » semble également compléter celui d’« Arkadi ».
Philippe Caza : Oui, c’est un petit jeu personnel … Je me suis aperçu que dans « L’Âge d’ombre », j’avais glissé des allusions au fait que la Terre tournait de plus en plus lentement sur elle-même, par une espèce d’effet d’usure du temps, avec des nuits qui durent aussi longtemps que les saisons… Il y avait déjà cette idée d’un monde qui va sur sa fin. Dans « Le Monde d’Arkadi », la Terre ne tourne carrément plus, c’est donc postérieur à « L’Âge d’ombre ». Tout auteur de science-fiction a pour ambition d’écrire son « histoire du futur »… J’ai même quelque part le scénario – je ne sais pas si je le réaliserai un jour – d’une petite histoire qui ferait le lien entre « Les Scènes de la vie de banlieue » et « L’Âge d’ombre » ! Cela bouclerait la boucle !
bdzoom.com : Pensez-vous que l’ère des magazines de bande dessinée soit réellement close en France ?
Philippe Caza : Peut-être pas… Il y a en ce moment une effervescence, puisque Delcourt sort un magazine appelé Pavillon Rouge (ndlr : qui aura duré 26 numéros sur deux ans).
Un autre projet de revue, appelée Kog, fait par des amis à moi, est en préparation (ndlr : il ne vivra que l’espace de 2 numéros en 2001). L’ambition est de faire un nouveau Métal hurlant. On verra !
J’ai aussi entendu parler de l’ambition de Giger de ressortir Métal hurlant (ndlr : la revue ressortira sur 13 numéros). Effectivement, si tout le monde s’y met, des têtes vont tomber. Mais c’est quand même bien, quelque part…
Cela prouve qu’il y a un public potentiel. D’un autre côté, une prolifération de revues peut faire augmenter l’intérêt du public. Dans les kiosques, une revue seule de son espèce peut disparaître sous le nombre ; mais quatre forment un panel remarqué.
bdzoom.com : Actuellement, vous collaborez directement à la version US de Métal, Heavy Metal.
Philippe Caza : Heavy Metal continue de ressortir régulièrement des histoires courtes extraites en particulier de « L’Âge d’ombre ». Quant aux collaborations directes, c’est assez ponctuel.
En 1997, pour le numéro spécial 20 ans, ils m’ont contacté via Fred Manzano de la librairie Déesse à Paris. Ils cherchaient à rameuter les Grands Anciens de Métal hurlant. Tant les Mœbius-Druillet-Dionnet que Bilal ou Denis Sire…
Je leur ai fait « L’lobo », une histoire originale qui s’inscrit dans le cycle de « L’Âge d’ombre » et qui se trouve aujourd’hui incluse dans la réédition Delcourt.
J’ai profité de l’occasion pour faire encore une expérience graphique, toute en couleur directe, peinte à l’acrylique. Graphiquement, c’est encore autre chose…
J’en ai profité aussi pour leur fourguer une autre histoire, intitulée « Vent », initialement publiée en noir et blanc dans Pilote, mais jamais sortie en album et mise en couleur pour l’occasion (HM janvier 98). Et puis, je leur ai proposé deux autres histoires courtes, qui ont été acceptées sur story-boards… Et que je n’ai toujours pas dessinées depuis tout ce temps. Shame on me !… Ils ont une couverture inédite dans leur tiroir, aussi…
bdzoom.com : Quelle est votre vision sur Métal hurlant après toutes ces années ?
Philippe Caza : Personnellement, j’ai gardé les 100 premiers numéros de Métal hurlant. J’y tiens comme à la prunelle de mes yeux. J’en ai même trouvé une collection en double, j’ai donc une deuxième pile des cents premiers numéros !! Après le numéro 100, j’ai tout donné…
À part les numéros dans lesquels je suis publié. Pour moi, Métal hurlant reste LE journal. De temps en temps, j’en reprends un au hasard, et comme un idiot, je relis tout, y compris les chroniques, les critiques d’autres albums, de films ou de disques de rock ! Je ne sais plus vraiment de quoi ça parle, mais c’est génial !
bdzoom.com : Pensez-vous que Métal hurlant a eu un rôle important dans l’évolution de votre carrière?
Philippe Caza : Oui, bien sûr… Un épanouissement… J’ai pu y faire des choses que n’avais pas l’occasion de faire ailleurs, j’ai pu avancer, aller très loin dans la technique et dans le style…
bdzoom.com : Et sur le fait que vous fassiez maintenant autre chose que de la BD, à savoir de la peinture ?
Philippe Caza : Ça… oui et non… Évidemment, la liberté et l’ambition graphique que j’ai pu pratiquer dans Métal m’ont emmené vers le dessin « libre » ou la peinture, mais je ne fais pas une dichotomie très précise entre artiste de BD et Artiste à part entière. Je n’éprouve pas le besoin d’être au musée, j’adore être dans les magazines de bandes dessinées. J’ai toujours travaillé pour être publié. Il m’arrive également de dessiner pour moi, de peindre – assez peu, en fait. Si cela sera publié ou non, je n’en sais rien, mais c’est quelque chose d’annexe, ni au-dessus, ni au-dessous, mais à côté : je ne ressens pas ça comme plus « noble ». C’est juste autre chose que j’ai aussi envie de faire, une autre facette.
bdzoom.com : Avez-vous conservé des amitiés avec l’équipe Métal ?
Philippe Caza : Oui, mais je reste toujours un peu à part, ne serait-ce que géographiquement… Cela reste donc des relations lointaines, bien que très amicales… Par exemple, j’ai vu Druillet en juin au festival de BD de Clermont-Ferrand.
On a fait une interview télé ensemble et on a bien rigolé ! Pour en placer une avec Drudru à côté, c’est pas facile !
On se voit avec Mœbius un peu plus souvent. On a un peu plus d’affinités, d’amitiés communes, le hasard des festivals faisant le reste. On s’est vu aux journées de la science-fiction de Roanne, il y a peu de temps.
Quant à Dionnet, je l’ai revu à Gérardmer l’an dernier… Égal à lui-même, ce qui n’est pas peu dire ! Il présentait l’avant-première de « Sleepy Hollow », avec toujours la même fraîcheur, le même enthousiasme !
 Avec un tout petit peu de Gilles RATIER pour l’introduction, la bibliographie et la mise en page !
Pour en savoir plus sur Philippe Caza, consulter les revues suivantes Bédésup n°12, Falatoff n°14 -15, Graffiti n°5, Krukuk n°5, Houba n°4, Rumeur n°8, Swof n°12/13, Faille temporelle n°2, Auracan n°15, Ère comprimée n°28, Delcourt Planète n°9, n°12, K.O.G. n°1, Pavillon Rouge n°14, Bo Doï n°63, n°69, Calliope n°5, Bo Doï (HS) n°11, Bandes Dessinée Magazine n°4, On a marché sur la Bulle n°7, n°26 et Bédéka n°19, ou lire, surtout,  « Caza : une monographie » par Richard Comballot (avec l’aide de Jean-Pierre Andrevon, Yves Frémion, Karin Heller, Jean-Bruno Renard et Gilles Ratier) aux éditions Mosquito, en 2000, ou encore « Caza : Kronozone » aux éditions Delcourt, en 2004.
Pour lire les deux premières parties de ce « Coin du patrimoine », cliquez ici http://bdzoom.com/57251/patrimoine/philippe-caza-premiere-partie/ et ici http://bdzoom.com/57465/patrimoine/philippecaza-deuxieme-partie/.
Voir aussi :Â http://www.bdebookcaza.com
Enfin, pour boucler la boucle et constater le chemin parcouru (mais, aussi, simplement pour le plaisir !!!), voici l’une des premières bandes dessinées de Philippe Caza : « Jacno et Ozalide », six pages publiées uniquement dans le n°6 (et dernier) de la revue amateur A Comme…, au premier trimestre 1977. Alors, à qui on dit merci ? Au « Coin du patrimoine » de bdzoom.com, bien sûr !
Sur 500 mètres ?
^^
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