En 1972, Maxime Le Forestier célébrait une maison bleue « adossée à la colline », là-bas, « Quand San Francisco s’embrume, Quand San Francisco s’allume ». C’est une maison noire qui sert de sous-titre à « American Parano », où l’on évoque dès le début les beatniks qui s’amusent à repeindre les maisons de toutes les couleurs. On est en mai 1967, dans le French District…
Lire la suite...Un double Echo des Savanes pour l’été !
A déguster sur la plage, ce nouveau numéro de l’Echo des Savanes propose en outre un livret de « jeux stupides » pour développer son Q.I. en bronzant.
Ne cherchez pas de surprises particulières dans le contenu éditorial de l’Echo des Savanes n°228 daté de juillet/août 2003, le mensuel profitant du retour de la période estivale pour développer quelques dossiers de saison, avec l’humour qui le caractérise, sur la drague en vacances, les lieux à éviter ou encore le Brésil (« paradis de l’amour ») et les dégats du soleil sur la peau. Le tout est enrobé des rubriques habituelles et de BD d’excellentes factures (Momo le coursier de Margerin, les sales blagues de l’Echo de Vuillemin, Salomé de MAnara, Trois d’entre elles de Veyron, etc.).
Pour cet été qui s’annonce chaud, la surprise vient d’aileurs : avec son supplément , un cahier détachable composé de jeux très amusants (à prendre à tous les degrés possibles) : des mots fléchés thématiques (devinez le thème !) aux énigmes de logiques ou de bon sens, en passant par le Bingo plage, l’Echo nous amuse. Bonnes vacances ! LT