Bonne nouvelle pour les amateurs des BD style « Gil Jourdan », Louise Petibouchon est de retour pour une passionnante aventure qui va la mener jusqu’à Liverpool : de l’autre côté de la Manche… By Jove ! Évidemment, les références et les clins d’œil vont bon train dans cet amusant récit, bien huilé, que le scénariste Jean Depelley nous a concocté et que l’habile Éric Albert a dessiné dans la pure tradition franco-belge. À l’occasion de cette relance de la série chez Paquet, un fascicule de 16 pages, à l’imitation des Héroïc-Albums (où étaient publiées les investigations de Félix du génial Maurice Tillieux, auquel les auteurs vouent une admiration sans limites), est offert avec la première édition : il reprend une ancienne histoire de la sympathique enquêtrice limougeaude, entièrement refaçonnée à la sauce années 1950.
Lire la suite...Philippe Roba en correctionnelle
Le fils du créateur de Boule et Bill est poursuivi pour tentative de meurtre sur son épouse.
Les faits remontent au mois de juillet 1999, date à laquelle Philippe Roba aurait menacé son épouse à l’aide d’une arme à feu chargée, ajoutant à cela quelques menaces de mort…
A la suite de cette douloureuse aventure, elle a déposé plainte, son mari a alors été immédiatement arrêté et mis en détention. Estimant les faits comme étant d’une « extrême gravité » mais tenant compte de l’absence d’antécédents judiciaires du prévenu, il s’est limité à requérir une peine d’un an de prison avec sursis.
Pour sa défense, son avocat a fait valoir que « la vie de famille des Roba n’a absolument rien à voir avec la vie de famille décrite dans les albums de Boule et Bill », ajoutant que le père du prévenu n’avait, à la suite de cette douloureuse histoire, pas donné dans la tendresse : « mon client était employé par son père dans le cadre de ses activités plastiques. Lorsque Philippe a été mis en détention préventive après son geste malheureux, son père n’a rien trouvé de mieux que de le licencier parce qu’il ne s’était pas présenté au travail ! »… aussi, devant les conséquences déjà « lourdes » du geste de son client, l’avocat a-t-il réclamé la pleine clémence…