Créé par l’écrivain irlandais Bram Stoker en 1897 — et inspiré par le personnage historique du comte Vlad III de Valachie, qui vécut au XVe siècle —, « Dracula » s’apparente autant à un roman qu’à une étude ethnologique ou géographique : l’auteur décrivant pourtant la Transylvanie, sans jamais être allé dans cette région austro-hongroise, en se documentant uniquement dans des bibliothèques. En effectuant un retour aux origines du mal présentes dans l’œuvre originale, tout en s’inspirant librement, cette version — sous-titrée « L’Ordre du dragon » — est une somptueuse bande dessinée d’horreur coéditée par Glénat et Lo Scarabeo.
Lire la suite...Le DBD change de formule
Le dossier « auteur » sera désormais regroupé au sein du magazine, qui s’enrichit pour l’occasion de nouvelles rubriques
C’est fin janvier, pour le Festival d’Angoulême, que sortira le premier numéro de la nouvelle formule du DBD, qui marque la fin de la formule Cartonné + broché. Que les fans se rassurent, le dossier de 30 pages consacrées à un seul et même auteur reste d’actualité, puisque après Zep viendront les tours de Dufaux, Léo et Rosinski. « L’avantage de cette rubrique, souligne l’éditeur du DBD, fait que l’ensemble ne sera plus présenté sous plastique, ce qui permettra une disponibilité et une lisibilité plus facile en librairie et surtout un ensemble compact. »
Dans ce numéro n°25 du DBD, vendu 15€, les lecteurs pourront retrouver les rubriques habituelles du magazine auxquelles s’adjoignent désormais les « rétro critiques » (coup d’oeil sur la production des 2 mois passés), « les planches s’encrent » (extraits d’albums à venir), « Sous les planches » (les dessous de la BD) et un Tableau des étoiles Manga.
Laurent Turpin