Elle s’appelle Louison : Louison Bobard. Évidemment, c’est un pseudo, ce que découvre son collègue journaliste : Yves-Portat Remington. Lui, ce n’est pas un pseudo ! Tous les deux sont les héros de la nouvelle série concoctée par Bruno Bazile, et ça démarre au printemps 1967, sur les chapeaux de roue, et même, « à tombeau ouvert »…
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Le début : Speed One, une société américaine d’équipement sportif détenue majoritairement par le Groupe W, a dû délocaliser quatre sites de production pour enrayer la chute du cours de ses actions en bourse. Si le bilan financier est remarquable, …
Le début : Speed One, une société américaine d’équipement sportif détenue majoritairement par le Groupe W, a dû délocaliser quatre sites de production pour enrayer la chute du cours de ses actions en bourse. Si le bilan financier est remarquable, le bilan humain est lourd : deux mille cinq cents travailleurs licenciés, un directeur mettant fin à ses jours et une comptable assassinée…
Pour la presse, pour l’opinion publique et bien sûr pour la justice, le responsable (le coupable ?) est tout désigné : Largo Winch !
Notre avis : Revoilà (comme tous les ans) le milliardaire en Blue jean, dans la suite et fin du diptyque haletant débuté avec Le prix de l’argent. Van Hamme est dans une forme olympique et mène de main de maître son intrigue, avec l’aide d’un Francq qui excelle dans les scènes de situation et met visiblement du cœur à l’ouvrage, tant les détails des lieux sont nombreux et soignés. Encore ! LT