En 1972, Maxime Le Forestier célébrait une maison bleue « adossée à la colline », là-bas, « Quand San Francisco s’embrume, Quand San Francisco s’allume ». C’est une maison noire qui sert de sous-titre à « American Parano », où l’on évoque dès le début les beatniks qui s’amusent à repeindre les maisons de toutes les couleurs. On est en mai 1967, dans le French District…
Lire la suite...Décès de Maxime Roubinet…
Nous apprenons, avec un léger retard, le décès de Maxime Roubinet qui a eu lieu le 2 octobre dernier, au Mans, des suites d’un cancer. Inhumé au cimetière de Bagneux, il aurait eu 94 ans vendredi dernier.
Aux côtés de Jean Pape, André Ouliè, Claude-Henri… il a collaboré, avec une belle régularité, à la plupart des magazines de la Société française de presse illustrée (SFPI) de Zorro aux petits formats.
Admirateur de l’œuvre réaliste de René Pellos, il a dessiné des milliers de pages dans un style très personnel.
Plutôt que de revenir sur son œuvre foisonnante, nous vous invitons à (re) lire le long article que nous lui avons consacré voici quelques semaines : Maxime Roubinet : l’exotisme au cœur de la grande Histoire….
Nous adressons, évidemment, toutes nos condoléances à sa famille.
HENRI FILIPPINI