Alors qu’il a une vingtaine d’années, Stevenson se rend sur l’île où son père, ingénieur, construit un phare. Jusque-là, du côté d’Edimbourg, l’étudiant Stevenson s’est plutôt laissé vivre et ce séjour forcé n’est pas vraiment de son goût. Il faut dire que Earraid (Aros, dans le récit) est un îlot difficile d’accès : on peut, deux fois par jour, y accéder à pied sec depuis l’île voisine de Mull au large des côtes écossaises…
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Suite de la première page et début de la deuxième du premier épisode remontée dans le poche n° 1 paru à la SFPI en juin 1963.