C’est un fait, le terrorisme au féminin a quelque chose de surprenant, mais uniquement parce qu’on attribue traditionnellement la violence, les armes, la guerre, aux hommes. On sait pourtant que, des femmes Vikings aux femmes de la Résistance, celles-ci ont toujours su se battre. Mais il y a combattre et combattre ! Avec les femmes tueuses au service de Daesh, ces « Fiancées du califat », on est par exemple bien loin de l’héroïne d’« Azizam » qui défend sa place dans la société iranienne…
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Contraint de fuir, Escobar peut toujours compter sur ses fidèles lieutenants pour maintenir la terreur (page 80 – Dargaud 2016)